La postérité du terroriste africain Nelson Mandela est assurée. Si le grand-père, avec le Congrès national africain (ANC, African National Congress), inventeur du « supplice du pneu » entre autres tortures réservées à ses compatriotes noirs, a pu échapper à la justice, ce n’est pas tout à fait le cas de son petit-fils. Il est actuellement jugé pour un viol sur une mineure de quinze ans.
Selon l’accusation, il a attaqué une jeune fille dans les toilettes d’un restaurant. Il a ensuite fait intervenir des membres de sa famille pour empêcher que l’affaire ne soit portée devant la justice et rendue publique. Il a évidemment confié cette mission à sa grand-mère, la tristement célèrbe Winnie Mandela. Cette dernière a demandé à la famille de la victime de ne rien faire dans l’attente de trouver un arrangement financier. Mais en lieu et place de cela, elle a finalement envoyé son garde du corps les menacer.
Winnie Mandela fut longtemps la femme de Nelson Mandela. Elle a été reconnue coupable dans le passé d’innombrables affaires. Pour les crimes de sang, elle n’a été condamnée que pour avoir fait enlever, torturer et assassiner un jeune noir de 14 ans, que cette paranoïaque affirmait être un « espion ».
Antiraciste, Winnie Mandela n’en avait pas oublié d’être une républicaine exemplaire : outre les meurtres et les tortures, elle s’était spécialisée dans l’escroquerie. Elle fut reconnue coupable de 43 cas de fraudes et de 25 autres de vols. Pour l’enlèvement, les tortures et le meurtre d’un mineur noir elle n’avait écopé en appel que d’une amende, pour les escroqueries, elle fut condamnée à cinq ans de prison, peine fortement réduite en appel.
« Un Boer : une balle »,
était le slogan favori de cette tueuse qui n’a jamais caché son racisme antiblanc. Elle ne montrait pas plus de pitié pour ses compatriotes noirs :
« Avec nos boîtes d’allumettes et nos pneus enflammés, nous libérerons ce pays »,
lança-t-elle à Munsieville, justifiant l’abominable et subhumain « supplice du pneu ».
Elle, qui fit assassiner James Seipei, le Dr Abubaker Asvat, et s’est rendue coupable d’innombrables autres crimes, tortures et meurtres compris, est toujours libre actuellement. C’est elle qui a envoyé l’un de ses gardes du corps menacer la famille de la victime d’un viol pour qu’elle retire sa plainte.
Comme Marion Maréchal-Le Pen le qualifiait avec une pertinence jamais démentie, le paradis multiculturel sud-africain, aux mains de l’ANC est bien un « exemple des communautés réconciliés ». Entre autres…