La Bulgarie, comme de nombreux pays d’Europe, a terriblement souffert de l’occupation islamique. Si, en France, le peuple a oublié les enlèvements, les massacres, les viols, les razzias, commis par les islamistes entre le VIIe et le XIXe siècle, ce n’est pas le cas des Bulgares, qui souffrent toujours des dégâts de l’occupation ottomane, qui a duré près de cinq siècles. Elle s’est achevée quand les héros de Bulgarie ont versé leur sang pour la délivrance de la patrie en 1876 et 1877.
« On massacre un peuple. Où ? En Europe. Ce fait a-t-il des témoins ? Rien qu’un témoin, le monde entier. Les gouvernements l’aperçoivent-ils ? Non ! Aura-t-il une fin, le martyre de ce peuple héroïque ? Il est grand temps que la civilisation l’interdise »
dénonça Victor Hugo devant le Parlement français en août 1876, alors que les islamistes turcs massacraient les Bulgares par dizaines de milliers.
Alors que le pays est à nouveau déstabilisé par l’islamisme, l’Église orthodoxe bulgare a officiellement demandé au gouvernement d’intervenir, et d’empêcher l’invasion du pays par les prétendus ‘réfugiés’ musulmans.
« Nous aidons les réfugiés déjà arrivés dans notre patrie, mais le gouvernement ne doit en aucun cas laisser entrer plus de réfugiés. Il s’agit d’une vague qui adopte tous les traits de l’invasion. [Les problèmes] doivent être résolus par ceux qui les ont créés et le peuple bulgare ne doit pas en payer le prix par sa disparition »,
alerte le Saint Synode.
La Bulgarie abrite une forte proportion de musulmans, environ 15 %, de Turcs, de Gitans islamisés et de Bulgares invertis. La proportion pourrait basculer rapidement dans ce petit pays de moins de huit millions d’habitants. Le pays est attaqué régulièrement depuis plusieurs semaines par des groupes de ‘migrants’ qui tentent d’envahir le pays, notamment pour se rendre ensuite en Allemagne ou dans les pays de l’Ouest et du Nord de l’Europe.
« J’ai peur et le peuple bulgare a peur, ne serait-ce qu’en ce qui concerne les religions. Nous sommes chrétiens, ils sont musulmans »,
a déclaré vendredi le premier ministre conservateur Boïko Borissov.