L’Europe raciste accueille les envahisseurs, Israël humaniste les déporte : le double standard juif en action
Parmi les nombreux ennemis et occupants que compte la France, l’élément juif a été l’un des plus en pointe dans la propagande pro-invasion ces dernières semaines. Les organisations antifrançaises comme le Conseil représentatif des institutions juives de [sic] France (CRIJF) ont réalisé des campagnes publicitaires pour inciter les Blancs à se laisser envahir et détruire. L’Union des étudiants Juifs de (sic) France (UEJF) appelait il y a quelques jours ses adhérents à participer à un concert organisé par une autre association pro-israélienne, SOS Racisme pour dire « bienvenue » aux réfugiés. Pourtant, aucune de ces organisations n’a demandé qu’Israël – ni le Qatar, ni l’Arabie séoudite d’ailleurs –, qui occupe des terres voisines de la Syrie, accueille des millions de réfugiés, de migrants et autres envahisseurs comme la France et ses voisins le font.
Plus étrange : l’Europe accueille des centaines des milliers d’envahisseurs, elle est tout de même accusée de racisme, de xénophobie, de ne pas en faire assez ; mais Israël non seulement ne les accueille pas, mais il les déporte dans le désert, il construit un mur sur l’ensemble des frontières du territoire qu’il occupe, sans soulever la moindre protestation. Aucune indignation n’a été notée non plus quand, en août dernier, des réfugiés ont été tirés à vue par des soldats israéliens.
L’enquête (israélienne) le confirme : ce sont bien les soldats juifs qui ont tiré sur les réfugiés
Plus d’un mois après les faits, Israël a reconnu que ses militaires avaient ouvert le feu à plusieurs reprises sur des migrants à la frontière entre la Palestine, qu’occupe l’État criminel, et l’Égypte. L’armée israélienne a menti à plusieurs reprises à ce sujet. Selon l’une des versions données, les réfugiés étaient présentés comme ayant attaqué la frontière. Dans une autre, les militaires juifs affirmaient qu’ils avaient été blessés par des tirs effectués par l’armée égyptienne. Le gouvernement de l’entité sioniste avaient refusé de commenter les faits.
Une enquête de la justice militaire israélienne, qui a pourtant de manière régulière et massive « blanchi » des individus auteurs de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, vient de démontrer que les trois migrants blessés par balles ont été visés directement par les militaires israéliens et sans raison.
Selon l’enquête, les militaires israéliens ont ouvert le feu sur les trois réfugiés désarmés alors qu’un autre incident impliquait des militaires égyptiens et un homme armé qui n’approchait pas de la frontière avec la Palestine occupée.
Le responsable militaire de la zone, Sami Turgeman, a avoué que ses hommes ont agi d’une manière « injustifiée » et contraire aux règles d’engagement.
« Un soupçon s’est installé à propos d’un ministre, dans un pays démocratique, qui ne répond pas aux questions sur des tirs contre des réfugiés »,
a commenté la députée Michal Rozin, à propos des mensonges, au moins par omission, de Moshé Yaalon.