Le président tchèque, qui a déjà plusieurs fois dénoncé l’invasion de l’Europe et ses conséquences a participé à un long entretien interactif dimanche.
Il a critiqué l’utilisation par les envahisseurs d’enfants comme « boucliers humains », malgré les risques encourus par ces jeunes :
« Les enfants servent de boucliers humains à des individus avec des iPhones pour justifier la vague de migrants. Ceux qui se cachent derrière des enfants […] ne méritent pas de compassion »,
a-t-il précisé, rappelant :
« Ils amènent des enfants dans des petits bateaux, sachant qu’ils risquent de se noyer ».
Milos Zeman, qui avait rappelé aux envahisseurs qui osaient protester contre leurs conditions de vie meilleures que celles des Européens les plus pauvres que « personne ne les a invités ici », s’est aussi attaqué aux voiles intégraux et burqas de plus en plus présentes parmi les envahisseurs, et dont il sait que, majoritaires, les islamistes tenteront rapidement d’imposer aux Européennes. Cela « nous prive[rait] de la beauté des femmes, puisqu’elles [seraient] couvertes de la tête aux pieds. Bien sûr, pour certaines femmes, c’est un avantage, mais elles ne sont pas nombreuses », a-t-il commenté.
Le président tchèque a également dénoncé les mensonges et les manipulations des médiats allant contre les intérêts de la Tchéquie :
« 83 % de la population tchèque est contre les réfugiés, alors que 90 % des journalistes tchèques sont pour les réfugiés »,
a-t-il constaté, déplorant le parti-pris et les manipulations quotidiennes des journalistes, véritables activistes pro-invasion. Les mêmes qui n’ont que les mots « démocraties » à la bouche se sont empressés d’attaquer le président, élu par une majorité de Tchèques, et une encore plus large majorité de Tchèques sur cette question. Étrange paradoxe pour des individus ne servant que les intérêts de quelques oligarques et leurs propres lubies.
Le message du président tchèque, bien loin de tout extrémisme, a été résumé ainsi :
« La première phrase signifie : personne ne vous a invités ici. La seconde : lorsque vous êtes déjà ici, alors vous devez respecter nos règles, tout comme nous respectons vos règles quand nous allons dans vos pays. La troisième : si vous n’aimez pas notre pays, partez de chez nous ».