Les médiats serbes ont révélé l’identité présumée d’un second tueur ayant participé à l’attentat du Bataclan vendredi soir. Parmi les attaques qui ont fait au moins129 morts, celle perpétrée dans la salle de spectacle fut un véritable massacre avec 82 décès et de nombreux blessés très graves.
Le tueur, à en croire les papiers qu’il portait, s’appelait Ahmed Almuhamed ; ce Syrien ‘réfugié’ avait 25 ans. Il a été enregistré comme envahisseur officiel de l’Europe en octobre 2015, il y a donc seulement quelques semaines, le 3 octobre sur l’île de Leros. Le terroriste a attaqué l’Europe par les îles grecques, celles-là mêmes qui ont été plus qu’abondamment instrumentalisées pour culpabiliser les Blancs par les médiats comme les politiques durant l’été. Pour un « Aylan » mort, 129 personnes ont payé le prix fort des politiques immigrationnistes et mondialistes.
Il a ensuite rejoint l’Ancienne République yougoslave de Macédoine, puis la Serbie, par le poste de Miratovac, où il a été contrôlé le 7 octobre, la Croatie avant de passer en Autriche. Les autorités ont perdu sa trace qui a tragiquement été retrouvée à Paris vendredi. Son parcours entre-temps est incertain. Il pourrait avoir rejoint l’Allemagne, comme un autre terroriste arrêté la semaine dernière, puis la France. Il a traversé, avec la complicité active des différents gouvernements, d’extrême gauche, libéralistes ou centristes, d’au moins sept pays.
Les autorités serbes ont transmis les empreintes du tueur présumé pour que les autorités françaises puissent l’identifier, celles de l’un des déjà plus de 800 000 étrangers qui ont pénétré en Europe depuis le 1er janvier 2015 et qui seront probablement plus d’un million au 1er décembre.
À l’inverse, les autorités françaises ont fait parvenir à leurs homologues grecs les empreintes d’un deuxième tueur qui serait également un ‘réfugié’ syrien arrivé il y a peu en Europe.
Le fait que, à peine arrivé en Europe, le tueur a pu former ou rejoindre un commando opérationnel, lui-même intégré au sein d’un groupe de trois équipes coordonnées, démontre autant la solidité de l’organisation de l’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya) que l’incapacité des services de renseignements à vouloir ou pouvoir agir efficacement.