L’agent de la banque Rothschild Emmanuel Macron a annoncé lors d’un déplacement à Berlin la volonté des gouvernements d’occupation en France et en Allemagne de créer un nouveau fonds de plusieurs dizaines de milliards d’euros dans le cadre de la crise de l’invasion. Ce fonds serait abondé dans un premier temps par le contribuable français et allemand à hauteur de 10 milliards d’euros. Les autres pays sont « invités » à se joindre à l’initiative.
Il s’agit de « financer la sécurité des frontières [sic] et l’accueil des réfugiés » selon le ministre du grand patronat. Cela fait beaucoup de milliards pour accueillir des médecins et des ingénieurs censés relancer l’économie européenne.
Le ministre allemand Sigmar Gabriel a précisé qu’une partie de cet argent serait envoyé aux pays non européens qui accueillent les prétendus ‘réfugiés’ comme le Liban, la Jordanie et la Turquie. Rappelons que les pays proches de la Syrie et de l’Irak, Israël, l’Arabie séoudite ou le Qatar n’accueillent aucun ‘réfugié’ alors qu’ils sont directement responsables de la situation. Leur aide financière, humanitaire ou même verbale est proche de zéro sinon inexistante, pendant que ces pays colonisent l’Europe et y rachètent, avec l’argent des Européens, notre patrimoine culturel, économique, historique, avec la complicité active des mêmes gouvernements d’occupation, notamment en France.
Ce nouveau fonds s’ajoute aux nombreux gouffres financiers que sont l’Agence européenne pour la gestion de la coopération opérationnelle aux frontières extérieures des États membres de l’Union européenne (AEGCOFEÉMUE, dite Frontex, FronTières extérieures) l’agence censée protégée les frontières extérieures de l’Union européenne (UE) mais qui favorise activement l’invasion et les trafics, et les nombreux programmes européens d’aide aux ‘réfugiés’ comme au coût exorbitant de l’accueil des envahisseurs dans chaque pays, notamment la France qui en compte déjà plusieurs millions des précédentes vagues, et l’Allemagne qui devrait recevoir plus d’un million d’étrangers rien que pour l’année 2015.
Au risque de très graves répercussions économiques, ces gouvernements continuent à favoriser l’invasion. Le ministre des Finances allemand Wolfgang Schäuble a affirmé mardi que l’accueil et l’intégration (sic) étaient « la priorité numéro un » de la politique allemand aujourd’hui, devant même la lutte contre les déficits. Il rappelait ainsi que pour les dirigeants mondialistes, à la demande du grand patronat et l’aide de l’extrême gauche, les réfugiés ne sont pas des individus dans le besoin devant être hébergés avant de retourner reconstruire leur pays, mais des agents importés vers l’Europe pour satisfaire les besoins de la finance, sans égard pour les répercussions dramatiques sur les sociétés vidées de leurs populations, et surtout sur les sociétés « d’accueil » vouées à la destruction et à la guerre.