Angela Merkel a lancé de nouvelles négociations avec le gouvernement islamiste de Turquie dans le cadre de la crise de l’invasion. Après avoir perdu l’un de ses principaux partenaires, la Russie, la Turquie se (re)tourne vers l’Union européenne (UE). Le gouvernement turc, qui soutient différents groupes rebelles et terroristes en Syrie, devenant l’un des principaux facteurs de division au Proche-Orient, a annoncé en milieu de semaine dernière la relance du processus d’adhésion à l’UE. Ce dimanche, la Turquie a marchandé avec plusieurs responsables européens la venue en Europe de réfugiés syriens. Pour freiner le flot des migrants, la Turquie a déjà réclamé des sommes colossales ; elle avait ironisé sur les trois milliards d’euros proposés par l’UE, considérés comme nettement insuffisants.
La dirigeante allemande, ancienne dirigeante du parti communiste est-allemand reconvertie dans le mondialisme de tendance capitaliste, a répondu favorablement. Elle a convaincu huit de ses collègues, à commencer par François Hollande, mais aussi les dirigeants autrichiens, belges, finlandais, grecs, luxembourgeois, néerlandais et suédois, d’organiser l’importation de 400 000 prétendus ‘réfugiés’ depuis la Turquie vers leur pays. Les négociations se déroulent sous l’égide également de Jean-Claude Juncker. Le plan initial de ce dernier concernait quelques dizaines de milliers d’envahisseurs ; les quotas seront donc très largement augmentés.
Ces 400 000 envahisseurs s’ajouteront, sans compter les dizaines de millions d’étrangers inassimilables déjà présents en Europe, à plus d’un million d’autres entrés cette année sur notre continent.
L’Allemagne et la France seraient les deux pays les plus touchés. Selon le Frankfurter Allgemeine Sonntagzeitung, Angela Merkel a honteusement négocié son soutien contre l’État islamique (ÉI, ed-dawla el-Islāmiyya) en échange de l’accueil par la France de plusieurs dizaines de milliers d’étrangers supplémentaires, alors même que plusieurs des tueurs de Paris sont entrés grâce aux frontières ouvertes et parmi les prétendus « réfugiés ».
Pour ne pas changer les dirigeants de l’U.E.,et notament Hollande et Merkel,baissent leur pantalon et offrent leurs postérieurs à la Turquie.Erdogan doit être content de traiter avec de tels gens