Des groupes organisés de criminels étrangers pour attaquer des Blanches
Ce n’est pas moins d’une centaine de viols et agressions sexuelles, au moins, qui ont été commis sur des Européennes par des prétendus ‘réfugiés’ durant la nuit de la Saint-Sylvestre dans la seule ville de Cologne. Au moins dix cas ont déjà été répertoriés à Hambourg.
Il ne s’agit pas d’actes isolés, mais d’un véritable « pillage sexuel » commis par les envahisseurs appelés en Allemagne par le grand patronat avec l’appui décisif du gouvernement de l’ancienne (?) activiste communiste Angela Merkel.
Les faits ont été perpétrés par des groupes de 20 à plusieurs dizaines de criminels étrangers autour de la gare et de la cathédrale de Cologne. Les victimes ont été également souvent volées de leurs biens. Considérant l’ethnomasochisme imposé et développé par les Allemands – une manifestation prévue après ces révélations s’intitule « Les filles de Cologne contre le racisme » (!) –, le nombre de cas est vraisemblablement plus important encore.
Devant l’ampleur et l’horreur des faits, le gouvernement de cette dernière a été contraint à intervenir aujourd’hui pour « condamner » (verbalement) ces crimes de l’invasion, s’étonnant d’une prétendue « dimension nouvelle » alors même que ces crimes sont loin d’être un fait nouveau en Europe envahie. Toutes les victimes ont décrit des violeurs de type « arabe ou nord-africain », dans une tranche d’âge de 18 à 35 ans.
Les témoignages des victimes ont mis en lumière des attaques organisées impliquant « plus d’un millier » d’envahisseurs et d’individus les ayant aidés – gouvernement non compris.
« Il s’agit d’une nouvelle forme de criminalité organisée. Il va falloir qu’on réfléchisse, qu’on pense aux moyens à mettre en œuvre pour y faire face »,
a affirmé le ministre de la Justice Heiko Maas.
Des faits cachés pour ne pas accabler les envahisseurs
Plusieurs ministres et officiels ont été contraints à intervenir, notamment pour rattraper l’ignoble position de la police qui, au lendemain du réveillon, s’était officiellement réjoui d’une « soirée détendue ».
Cela a sûrement été le cas lors du réveillon de la direction de la police allemande fêtant à fort renfort d’alcool la nouvelle année avec l’oligarchie régionale pendant que des dizaines de Blanches étaient attaquées. Pourtant, dès le 31 au soir, la police sur le terrain avait reçu les premiers témoignages :
« Peu après minuit, les premières femmes sont venues vers nous. Elles pleuraient, étaient choquées ; elles ont décrit comment elles avaient été harcelées sexuellement massivement ».
Il a poursuivi en précisant avoir dit à une jeune femme venue les prévenir que trois de ses amies étaient attaquées :
« Vos trois amies, nous n’avons pas pu les sauver de la horde parce que nous avons été bombardés avec des pétards ».
La direction de la police a empêché la diffusion de l’information sur ces crimes par « peur d’alimenter le sentiment anti-réfugiés » a précisé Die Welt. Le journal du système tient lui-même à défendre – contre toute évidence – les envahisseurs de la dernière génération, pour attaquer ceux arrivés… il y a deux ans. « Leur intégration n’est jusqu’ici apparemment [sic] pas réussie » ose le journaliste.
Il n’y a eu ce mardi soir depuis les faits que cinq arrestations sur ce millier de criminels. Huit autres avaient été arrêtés dès jeudi soir : il s’agissait à chaque fois de « demandeurs d’asile ».
Il n’y a eu aucune rafle massive dans les camps de réfugiés et les quartiers occupés pour déporter immédiatement tous les occupants, agresseurs sexuels et complices. Malgré l’extrême gravité des faits, aucune association féministe n’a dénoncé la situation et réclamé l’expulsion immédiate des bandes de criminels étrangers.
« Peu après minuit, les premières femmes sont venues vers nous. Elles pleuraient, étaient choquées ; elles ont décrit comment elles avaient été harcelées sexuellement massivement ».
Apparemment elles en redemandent puisque « une manifestation prévue après ces révélations s’intitule « Les filles de Cologne contre le racisme » ».