Outre-Manche, un nouveau groupe de délinquants venus d’Asie a été (provisoirement ?) démantelé.
Ceux-ci ne violaient pas des centaines de jeunes filles anglaises avant des les prostituer – par la violence et la dépendance forcée aux drogues – auprès de leurs congénères allochtones comme ce fut le cas, notamment, à Rotherham.
Ils (et elle) avaient organisé un gigantesque réseau de vol, en particulier de téléphones portables revendus ensuite dans une boutique de la même filière étrangère.
Depuis la mi-2013, les vols de téléphones portables dans le métro londonien avaient explosé, les plus nombreuses victimes étant des femmes.
L’enquête a permis de retrouver 100 000 (cent mille) livres sterling en espèces – équivalant à 136 000 euros – et 11 000 objets volés mais pas encore écoulés.
Les peines de prison prononcées n’ont été assorties d’aucune mesure d’expulsion contre les onze, depuis les voleurs profitant de la foule pour détrousser leurs victimes sans être repérés par la vidéo-surveillance, jusqu’à la tête du réseau criminel recyclant les milliers d’objets dérobés chaque semaine.
Après s’être fait délester en masse, avoir financé la police et les tribunaux, les Anglais vont donc devoir financer, de plusieurs mois à plusieurs années, les prisons pour abriter ces onze individus venus les voler en bande organisée, avant qu’ils ne soient relâchés et puissent donc librement récidiver.