Dans le Queensland (nord-est de l’Australie), le sculpteur Graham Radcliffe a tenu à des jeunes un langage très historiquement incorrect.
« Ne prenez pas pour argent comptant tout ce qu’ils entendent au sujet de l’Holocauste puisque la vérité et le chiffre des morts sont constamment révisés à la baisse »
a-t-il déclaré à des étudiants qui visitaient sa galerie d’art. L’homme, âgé de 80 ans, a affirmé qu’il n’existait «pas de preuve que le zyklon B eût jamais été utilisé à Auschwitz », ajoutant, selon les Jewish News :
« À Dachau, il y avait plein de juifs dodus qui jouaient au ping-pong »
C’est dans ce camp d’internement que l’une de ses sculptures, The Last Embrace (La dernière étreinte) est exposée.
« Quand j’ai fait cette sculpture dont nous parlions je croyais à l’histoire officielle. Depuis, il y a de cela 20 ans, je me suis aperçu qu’il y avait matière à douter de cette histoire. Avec la vie qui passe on s’aperçoit que ce qu’on nous a dit n’est pas juste et je ne suis pas d’accord pour continuer à raconter une histoire qui n’est peut-être pas juste »
a-t-il précisé, ajoutant qu’il avait voulu faire don à Israël d’une œuvre exaltant la paix et que l’État criminel l’avait refusée. Il est lui-même depuis la cible du Lobby.