Les Africains ont pris le prétexte de la mort d’un criminel pour organiser depuis sept jours des pillages à Ferguson. Si ces crimes sont remarquables par leur nombre, ils n’ont rien d’inhabituel dans un pays de grande criminalité. À Detroit, le chef de la police, pourtant lui-même noir, a ainsi appelé les honnêtes citoyens à s’armer, alors que les crimes commis par les Noirs – 82 % de la population de Détroit – explosent, comme les tensions raciales. En 2013, un foyer sur vingt a été l’objet d’un cambriolage.
Ci-dessous une carte des crimes à Détroit (vols à la tire, pillages, agressions, vols, cambriolages, agressions sexuelles)
À Ferguson, la police a diffusé des images du « gentil » Michael Brown, au nom duquel plusieurs centaines d’Africains ont pillé, agressé, détruit ces derniers jours à Ferguson. Des crimes qui ont été à demi-mot justifiés par Barack Obama et totalement par les médiats aux ordres, qui ont prétendu que la mort de ce délinquant noir était un « crime raciste ».
La scène où apparaît Michael Brown se déroulait quelques heures avant qu’il n’agresse un policier, le frappe et tente de lui voler son arme. La « victime » agresse violemment à ce moment-là un homme – un non-Européen comme lui – dans une épicerie.
Rappelons qu’aux États-Unis, en moyenne, un incident mortel implique chaque jour un policier selon des statistiques du FBI établies entre 2005 et 2012. Les chiffres du FBI montrent que seuls moins d’un quart des cas (96 en moyenne sur les 400 en moyenne chaque année) sont un policier blanc tuant un noir.
Devant l’ampleur des pillages, le gouverneur du Missouri a annoncé samedi l’instauration d’un état d’urgence et d’un couvre-feu de minuit à cinq heures du matin. La veille, plusieurs pillages avaient été signalés et au moins un magasin a été incendié, tandis qu’un policier était blessé malgré la politique de non-intervention des autorités. Malgré l’instauration du couvre-feu, les violences se sont poursuivies samedi et dimanche entre manifestants et policiers, ainsi que les pillages.
Les émeutes sont largement attisées par le « révérend » africain Al Sharpton. Président de l’association National Action Network, ce raciste antiblanc tente une nouvelle fois de relancer sa carrière politique marquée par d’aussi nombreux que cuisants échecs. Il avait ainsi nettement échoué lors des présidentielles américaines de 2008. Dans une conférence devant des étudiants, en 1994, il avait déclaré :
« Les Blancs vivaient dans des caves quand nous [pour lui : les Noirs] construisions des empires… Nous apprenions la philosophie et l’astrologie et les mathématiques avant que Socrate et ces pédés de Grecs [Socrates and them Greek homos] ne le fassent »
Il est un ardent défenseur de la destruction du mariage par son « ouverture » aux déviants sexuels.
Une autre personnalité a pris la tête des manifestants : Antonio French. Ce politicien démocrate, petit Obama régional, s’est emparé des revendications communautaristes noires alors même qu’il n’habite pas à Ferguson. Il a profité il y a quelques jours, au plus fort de la déstabilisation des forces de l’ordre par les émeutiers, pour se faire arrêter très médiatiquement avec deux journalistes, faisant dès lors la une des médiats nationaux et internationaux. Cet expert des réseaux sociaux a habilement organisé son autopromotion notamment via Twitter, en s’imposant comme l’un des principaux leaders. Mais de nombreuses personnes interrogées, y compris parmi ses proches, l’accusent de n’agir que dans un but purement électoraliste, espérant se présenter au poste de maire au prochain renouvellement.
Les autorités ont par ailleurs propulsé l’Africain Ron Johnson à la tête de la police locale alors qu’il dirigeait la police de la route, simplement à cause de la peur des autorités d’être accusées de « racisme ». L’homme s’est joint aux manifestants samedi, déclarant « vous êtes ma famille, vous êtes mes amis et je suis vous. Je m’engage à vous protéger. […] Je porte cet uniforme et face à vous je vous dis que je suis désolé », prenant le parti des émeutiers contre un policier ayant agi en état de légitime de défense contre une racaille.
Face à ces compromissions et ces reniements, la population s’organise. Sachant que la police ne s’oppose pas aux pillages, de plus en plus de propriétaires de magasins organisent eux-mêmes la défense de leurs biens face aux pillards, les armes à la main. Des groupes de Noirs se sont également formés pour protéger des commerces tenus par des membres de leur communauté et pillés par leurs congénères ; certains estiment qu’il s’agit de pilleurs venus de villes voisines.
Il faudrait commencer par apprendre à écrire cher Jean Dupont, et puis après, à PENSER;;;
Et vous apprendre à maitriser la ponctuation avant de publier un commentaire, peut-être ?
Ça n’a aucun sens de parler d’africains,les noirs américains n’ont plus rien d’africain depuis des centaines d’années,à part la couleur de peau,ils se sentent totalement américains
Que ces populations se sentent américaines, françaises ou même liechtensteinoises, cela ne change rien aux faits : qu’ils vivent dans un pays civilisé ou sur leur continent d’origine, les africains restent, de par leur mentalité et leur façon d’agir et de se comporter, des … africains, et cela malgré les centaines d’années passées hors de leur milieu naturel.
Un Noir est un Africain comme un Blanc est un Européen parce que l’histoire nous a fait ainsi. Nous acceptons les déterminismes physiques tels que la nature nous les as donnés : nous sommes, selon, des hommes blancs et jeunes ou des femmes noires et vieilles. Toutes les théories du genre, antirascistes et autres escroqueries judéo-marxistes ne sont que des mensonges et des songes creux qui conduisent l’humanité à sa perte. Qui ne le voit pas ? Il n’y a du reste aucune insulte à préciser que des gens sont Noirs, ou Blancs, parce qu’ils déterminent bien la façon d’agir de certains groupes et pas d’autres. Il est d’ailleurs préciser que certains Africains se sont également mobilisés pour la défense de certains magasins et que certaines victimes – dont celles de la racaille Michael Brown – n’étaient pas des Blancs. Quand cesseront les mensonges, les Blancs pourront retrouver leur voie de développement et aider le monde comme ils l’ont fait jusqu’ici (abolition de l’esclavage, progrès sanitaire, découvertes scientifiques etc.). En espérant que les autres peuples, et que les autres groupes à l’intérieur de ces peuples cessent d’agir par le ressentiment et le mensonge, l’envie et la vilenie et trouve ou retrouve la voie de la grandeur en prenant en compte les qualités et les défauts comme leur propre histoire.
Si les Noirs se sentaient « Américains » ils ne se prétendraient pas victime de « racisme » de la part d’autres américains. Ils ont au moins le bon sens de ne pas nier ce qu’ils sont, eux.