Allemagne : la Bundeswehr traque les nationalistes en son sein
Selon une source militaire anonyme rapportée par un médiat allemand, le service de contre-espionnage militaire traque les infiltrations extrémistes au sein de l’armée. Alors qu’on imagine des enquêtes visant les infiltrations d’islamistes susceptibles d’être aux ordres de puissances étrangères comme l’État Islamique ou les infiltrations par l’extrême-gauche libertaire et antipatriotique capable de sabotage, en réalité ce t les nationalistes qui sont au centre du collimateur. En effet, parmi les 300 profils « extrémistes » sur lesquels se porte l’attention des services de renseignement militaires, on trouve 268 « extrémistes dits de droite » pour 64 islamistes et 6 extrémistes de gauche…
Afin de prévenir le « danger » posé par de tels infiltrés, le service de renseignement envisage de faire prendre à la Bundeswehr de nouvelles mesures restrictives en matière de recrutement pour rendre impossible l’intégration des forces armées par les criminels, les terroristes et les personnes considérées comme «extrémistes». Le parlement allemand est ainsi saisi d’un projet de loi visant à accroître les contrôles par des tests sur les personnes souhaitant devenir militaire afin d’évaluer leur degré d’extrémisme.
Rappelons qu’au mois de juillet, le pays a connu une vague d’attentats terroristes sans précédent : en l’espace de 2 semaines seulement, un réfugié a attaqué les passagers d’un train à la hache, un jeune homme a ouvert le feu sur la foule à Munich, un autre a réalisé un attentat à la machette à Reutlingen et un terroriste, enfin, a commis un attentat-suicide en Bavière.
On réalise à quel point l’idéologie antiraciste et antifasciste a tissé une chape de plomb totalitaire, délirante au sein de la classe dirigeante allemande quand on observe qu’aucun des actes terroristes évoqués ci-dessus n’a pu être attribué à un « extrémiste » dit de droite…