Nasradine Bouras et Malik Rami proxénètes condamnés pour avoir exploité Estelle, 15 ans
Le « petit ami protecteur » a été condamné à quatre ans de prison et son cousin a « pris » dix-huit mois. Deux trentenaires ont été condamnés mardi pour avoir exploité pendant un an une adolescente de 15 ans qui se prostituait à Hellemmes et à Loos.
Elle recrutait ses clients sur le site Vivastreet. Huit clients par jour pour un gain quotidien de 500 euros. Estelle avait alors 15 ans, la jeune Belge était signalée comme mineure en fugue depuis début 2015. Sa mère « qui a remué ciel et terre pour la retrouver », racontera au tribunal Me Virginie Dewinter du barreau de Tournai, contacte les policiers de la Métropole lilloise au printemps 2016. Le 26 mai, elle est repérée à Hellemmes avec dans son sillage, deux hommes. Les policiers établiront qu’Estelle se prostitue dans deux appartements, au 6, rue François-Mathias à Hellemmes et au 71, rue Lafargue à Loos.
Nasradine Bouras, 30 ans ne la quitte pas. À l’audience, Me Frédéric Dartigeas, avocat d’Estelle balaiera « sa posture d’amoureux transi ». Car l’homme qui est entré dans la vie d’Estelle en avril 2015 profite largement des gains de l’adolescente. « Le pull Eden Park que vous avez sur le dos lui a coûté une passe », assène l’avocat. Le président Jean-Marc Defossez riposte : « Comment conjuguez-vous votre amour et la prostitution ? »
Il n’est pas le seul à qui la procureure Charlotte Perraud reprochera d’avoir fermé les yeux par appât du gain. La procureure rappelle que les deux prévenus étaient parfois dans la pièce à côté pendant les passes. Malik Rami, 38 ans, cousin de Nasradine Bouras a notamment servi de chauffeur au jeune couple et pour cela, roulait dans une Audi louée avec l’argent de la prostitution. Le trio est parti en vacances une semaine en juin : Béziers, Montpellier, Valras-Plage… La jeune fille a continué à se prostituer épisodiquement dans le sud pour financer le séjour. À l’audience, il admet : « Je ne voulais rien savoir. J’avais besoin de vacances. Je profitais de la plage, des restaurants, des crêpes ».
Nasradine Bouras a onze mentions sur son casier judiciaire, essentiellement des affaires de stupéfiants. Malik Rami a déjà été condamné six fois pour des délits routiers.
Le tribunal a condamné Nasradine Bouras à quatre ans de prison dont dix-huit mois avec sursis et mise à l’épreuve (sme) pendant deux ans. Malik Rami a été condamné à dix-huit mois de prison dont six avec sme. Estelle, dira l’avocate belge, est rentrée chez elle et se reconstruit.
Emeute à la base de loisirs de Cergy avec des jeunes Arabes et Noirs
Prison ferme pour Mohamed Lasmi le chauffard qui avait foncé sur des piétons
«Un acte volontaire, délibéré » : la substitut du procureur, Magali Romero, en est certaine : c’est intentionnellement que Mohamed Lasmi a accéléré pour percuter un piéton, dans la nuit de samedi à dimanche, à la sortie de la boîte de nuit de Privas.
Vers 6 heures du matin, le dimanche 21, plusieurs témoins l’ont vu rouler à vive allure, au volant de sa Mercedes Classe A, en direction de deux autres clients de la boîte de nuit, qui étaient à pied. Il aurait même fait demi-tour avant d’en percuter un, et de rouler sur le pied du second.
Il était aussi jugé pour des faits plus anciens, datant de juillet 2015, qui se sont également déroulés à la sortie d’une boîte de nuit, à Agde.
Ce jour-là, il avait, suite à une altercation, sorti un hachoir de sa voiture afin d’en découdre avec un client de la boîte.
Le parquet a requis 2 ans de prison ferme, et la révocation d’un sursis de 6 mois, ainsi que le maintien en détention. C’est la peine prononcée par le tribunal correctionnel de Privas.
Un Bangladais en attaque un autre à la machette et le laisse pour mort
Deux jours après les faits, l’auteur présumé des coups de machette a été interpellé. Il dort désormais en prison. Il avait agressé un homme de 46 ans de nationalité bangladaise, comme lui, et l’avait laissé pour mort dans le hall d’un immeuble de l’allée Francis-Poulenc à Saint-Michel-sur-Orge. Touchée au visage et aux bras, la victime avait été hospitalisée dans un état grave. Le quadragénaire va désormais mieux et a pu raconter son agression aux enquêteurs de la sûreté départementale.
Chef cuisinier de métier, il avait annoncé le matin même à M., un de ses collaborateurs, qu’il allait être licencié. C’est ce qui a déclenché une première dispute dans l’appartement qu’ils partageaient au deuxième étage de cet immeuble et qui s’est poursuivie jusque dans les parties communes avec des coups de machette. M. avait ensuite pris la fuite.
Les policiers sont donc allés l’interpeller samedi devant le restaurant de Saint-Michel-sur-Orge où il travaillait et l’ont placé en garde à vue. L’homme, âgé de 34 ans, a passé quarante-huit heures dans les locaux de la sûreté départementale et a été conduit au palais de justice d’Evry. Un juge d’instruction l’a mis en examen pour tentative de meurtre. Il a été écroué.
Un Tunisien agressait les femmes qui rentraient seules la nuit dans Lyon
Dans les alentours de la place des Terreaux, un employé de snack-kebab a suivi à plusieurs reprises des jeunes femmes qui rentraient chez elles la nuit en tentant de les embrasser et de les toucher. Arrêté le 1er août dernier, il reste en détention avant de passer en correctionnelle au début du mois de septembre.
Le 23 juillet dernier, deux jeunes filles d’une vingtaine d’années se sont plaintes de ce jeune serveur tunisien. Vers minuit rue Désiré, puis vers 4 heures du matin impasse Saint-Polycarpe, l’homme a tenté de les embrasser et de passer ses mains sur les parties intimes de l’une d’entre elles. Le 31 juillet, l’individu recommence sur une troisième victime, cette fois du côté de la place Saint-Nizier.
Alors que l’homme a été capté sur les caméras de vidéo-surveillance du quartier, il nie les faits qui lui sont reprochés. Pourtant, après inspection de son téléphone portable, la géolocalisation indique également qu’il était bien aux endroits des agressions.
Depuis le 1er août, l’individu est en détention. Le 9 septembre prochain, une audience correctionnelle devrait déterminer ce qu’encours l’homme. En octobre prochain, le titre de séjour de ce Tunisien expire, après 6 années passées en France.
Un policier poignardé par un « déséquilibré » dans un commissariat de Toulouse
Ce mardi, un algérien de 31 ans s’est introduit dans un commissariat de police de Toulouse et s’en est pris à un adjoint de sécurité.
Prétendant être venu pour un dépôt de plainte, l’agresseur a tenté de s’emparer de l’arme de service de l’agent, avant de sortir un couteau de sa poche et de poignarder le policier à la gorge « parce qu’il représente la France ».
Le secrétaire général régional du syndicat SGP-Police a donné quelques précisions sur l’attaque : « C’est un geste délibéré et peut-être prémédité parce qu’il est sorti, avant son acte, du commissariat puis est re-rentré. Il a été très vite maîtrisé après l’attaque… »
Il a également indiqué que le policier poignardé avait été hospitalisé. Ses blessures sont sérieuses, mais la carotide n’a pas été touchée et son état est stable.
Comme tous les criminels allogènes, l’algérien raciste anti-blanc serait un déséquilibré avec des troubles psychiatriques.
Le système protège les criminels anti-français, et permet qu’un courageux restaurateur français se fasse harceler par des hordes d’antiracistes.
Un groupe de musulmans terrorise, insulte et crache sur les baigneurs d’une plage nudiste en Allemagne
À Geldern, dans la région de Düsseldorf, en Allemagne, un groupe de musulmans composé de six hommes âgés d’une vingtaine d’années et portant la barbe, a investi une piscine de nudistes en criant « Allah Akbar ». Les musulmans ont insulté de la façon la plus grossière les baigneurs et ont également craché sur les femmes et les enfants. Ils ont ensuite traité les femmes de « sal***s » et ont promis de les exterminer.
Selon les propos des témoins, tous les musulmans parlaient couramment allemand et certains d’eux étaient nés en Allemagne.
Les baigneurs du centre de loisirs ont eu si peur que, dans un premier temps, personne n’est intervenu. Ils se sont finalement plaints à l’administration de la piscine qui a fini par chasser les hôtes indésirables. Cependant, les musulmans sont revenus quelques minutes plus tard.
La police, tardivement appelée, a fini par arriver et par contrôler les identités de tous ces individus, qui ont été bons… pour un simple rappel à l’ordre.
Depuis plus d’un an, les piscines d’Allemagne sont le théâtre de nombreux incidents et drames, qui selon les autorités impliquent souvent des envahisseurs.
Royaume-Uni : plus de 400 blessés au carnaval des cultures caribéennes
de Notting Hill
Chaque année la ville de Londres se livre pendant 4 jours à une célébration des « cultures caribéennes » (Bahamas, Cuba, Jamaïque, République dominicaine, Iles Vierges…).
Cette célébration paroxystique des cultures nègres et métisses est systématiquement l’occasion d’un grand défouloir à caractère multiculturel et multiracial conduisant à de nombreuses exactions. Et cette année encore, les costumes flamboyants et la samba n’ont pas été les seuls à faire parler d’eux. De nombreux incidents, dont certains extrêmement violents, ont éclaté au cours de cette 50e édition. Les services d’urgences de la ville ont fait état de 411 patients traités en raison de blessures diverses, dont 77 ont été conduits à l’hôpital. Le centre médical d’urgence lié au festival a été débordé par la violence, au point que des lits pour blessés ont dû être disposés à même la rue. Un jeune homme de 15 ans qui venait d’être poignardé à été hospitalisé et, dans les minutes qui ont suivi, la police est intervenue pour un autre cas d’attaque à l’arme blanche. Moins d’une heure plus tard, deux nouvelles personnes ont été hospitalisées après avoir été reçu des coups de couteau. Au total, les forces de l’ordre ont déclaré avoir procédé à 105 arrestations au cours de la nuit, pour des vols, des agressions sexuelles ou encore des ports de couteaux et de drogue.
En 2015, 407 personnes avaient été arrêtées, tandis que l’édition 2008 s’était soldée par des émeutes urbaines. Et cette année 7 000 policiers avaient donc été déployés pour encadrer le « carnaval ». À noter que de nombreux membres des forces de l’ordre sur place ont ostensiblement pris part aux « festivités ». Certainement le résultat de ces nouvelles politiques de recrutement censées faire ressembler la police à la population quand on sait que celle de Londres est particulièrement bigarrée.
Allemagne : agressions jihadiste au couteau lors d’un festival de musique
Samedi 27 août, entre 19 et 20 heures, un assaillant s’en est pris à 2 personnes – une femme de 66 ans et un homme de 57 ans – en criant « Allah Akbar » lors d’un festival de musique à Oberhausen (Rhénanie du Nord Westphalie). La femme se trouve actuellement dans un état critique et l’homme a pu maîtriser l’assaillant mais est grièvement blessé. L’agresseur, un SDF de 26 ans originaire de Duisburg, a été remis à la police d’Oberhausen et il a été présenté à un juge. Plusieurs participants à cette fête estivale sont en état de choc.
Malgré son cri revendicatif, les autorités ont affirmé ne pas avoir d’information sur l’éventuelle motivation politique de l’acte et n’ont pas communiqué son origine ethnique.
Ukraine : une communauté délinquante de Roms expulsée d’un village par la population
Les habitants d’un petit village de la région d’Odessa, Lochtchinovka, déjà exaspérés par une communauté de Rom fortement criminogène, ont décidé de faire justice eux-mêmes après que, le 27 août, le corps d’une enfant âgée de 8 ans a été retrouvé dans une maison du village. Suspecté du meurtre, un membre de cette communauté Rom d’une vingtaine d’année a été arrêté. Les habitants se sont alors rassemblés en masse dans les rues avant de s’en prendre aux domiciles des tziganes. 300 personnes ont attaqué 6 maisons malgré que les autorités ont envoyé plusieurs détachements de forces de police pour de rétablir le calme. Finalement les membres de la communauté Rom ont cédé aux demandes des villageois et ont quitté le lieu en acceptant de vendre leurs maisons, dans la matinée du 29 août, sous escorte policière, afin d’être répartis dans d’autres zones de la région. Le gouverneur d’Odessa, l’ancien président géorgien Mikhaïl Saakachvili, a pris parti pour la population locale. Il partage « pleinement » son « indignation » et a dénoncé les trafics de drogue « conduits par les éléments antisociaux qui vivent ici ». Selon lui, les autorités auraient dû s’emparer du problème « il y a bien longtemps ».
Expulsion des Roms :