Détruire les frontières de l’Europe c’est le « bon côté de l’histoire » pour Obama
Au cours d’un voyage en Allemagne où il a rencontré Angela Merkel à Hanovre pour faire la promotion du futur traité-diktat transatlantique, Barack Obama s’est aussi exprimé hier sur l’action de la chancelière en Europe. Il a affirmé qu’avec le recul de ses sept années écoulées au pouvoir, il voyait la chancelière comme la première parmi les leaders européens. Il a déclaré qu’Angela Merkel avait été une partenaire de confiance tout au long de sa présidence, plus que tout autre chef d’État dans le monde, et qu’il donnait beaucoup de crédit à son opinion. Mais surtout, s’exprimant spécifiquement au sujet de la « crise des migrants », il a loué l’action de la chancelière estimant « qu’elle était du bon côté de l’histoire » !
Un jugement qui prend un relief particulier lorsqu’on se souvient que la protestante Merkel, ancienne membre du Parti communiste de RDA avant la chute du Mur, s’est faite depuis deux ans la militante acharnée de l’accueil sans limite et de la répartition forcée en Europe des envahisseurs. C’est-à-dire d’une politique propre a faire voler en éclats les frontières intérieures des État après que l’Union ait quasiment mis à bas les frontières extérieures.
Les dirigeants américains ont toujours été et restent les meilleurs ennemis de l’Europe