Dans un communiqué publié le 13 juin, la Commission européenne se félicite de la trahison de la plupart des États membres qui coopèrent servilement à la politique d’accueil et de saupoudrage des envahisseurs sur le continent européen.
Selon le communiqué, le rythme des relocalisations a augmenté notablement en 2017, avec près de 10 300 personnes relocalisées depuis le mois de janvier, soit une multiplication par 5 de leur nombre par rapport à la même période en 2016. Au 9 juin, le nombre total de relocalisations s’établit à 20 869 (13 973 au départ de la Grèce et 6 896 au départ de l’Italie). Presque tous les États membres effectuent à présent des relocalisations au départ de l’Italie et de la Grèce de telle sorte qu’il est tout à fait réalisable de relocaliser, d’ici à septembre 2017, toutes les personnes admissibles (actuellement, quelque 11 000 sont enregistrées en Grèce et environ 2 000 en Italie tandis que d’autres personnes arrivées en 2016 ou 2017 doivent encore l’être).
Et Dimitris Avramopoulos, le commissaire chargé de la migration qui est donc à la tête de l’administration bureaucratique bruxelloise qui organise l’invasion, ne cache pas sa joie : « «Notre Union repose sur la solidarité et le partage des responsabilités. Ces valeurs fondamentales s’appliquent à l’ensemble de nos politiques et la question migratoire ne fait pas exception. »
Mais il ne cache pas non plus le revers de la médaille et se fait clairement menaçant à l’égard des États qui refusent d’être complice du génocide programmé des peuples européen par le biais de l’immigration-invasion massive, sauvage et généralisée : « Quant à la relocalisation, je tiens à être parfaitement clair: la mise en œuvre des décisions du Conseil en la matière n’est pas facultative; c’est une obligation juridique.»
Dans le collimateur, la République tchèque, la Hongrie et la Pologne, qui, « au mépris des obligations juridiques qui leur incombent en vertu des décisions du Conseil et de leurs engagements n’ont toujours pas pris les mesures nécessaires ».
Pologne, Hongrie et Tchéquie refusent l’invasion et le diktat européen
En effet, après avoir reçu 12 clandestins en 2015 sur les 1600 prévus dans le diktat européen, la République tchèque a interrompu de fait sa participation au programme. Et lundi 5 juin le ministre de l’Intérieur tchèque, Milan Chovanec a annonçait le refus définitif de son pays à la politique de « relocalisation » en raison des problèmes sécuritaires posés, c’est-à-dire le risque terroriste et l’explosion de la criminalité constatée dans tous les pays qui se laisse envahir.
Il a déclaré : « Je voudrais informer l’opinion publique sur le fait que le gouvernement a décidé de mettre fin à la participation de la République tchèque au système de relocalisation par quotas, au regard de l’aggravation de la situation sécuritaire et du caractère dysfonctionnel de ce système. »
En Pologne c’est le 23 mars 2016, en réaction aux attentats de Bruxelles, que la Premier Ministre avait officialisée l’entrée en résistance de son pays contre l’invasion : « Après ce qui s’est passé hier à Bruxelles, il n’est pas possible en ce moment de dire que nous sommes d’accord pour accepter un groupe quelconque de migrants » !
C’était le gouvernement centriste précédent d’Ewa Kopacz qui avait engagé la Pologne dans la voie de l’accueil de plus de 7 000 pseudos réfugiés mais vrais futurs colons. Après l’attentat de Londres du 3 juin dernier, un député polonais au Parlement européen, Ryszard Czarnecki, avait enfoncé le clou :
« Dans certains pays, on observe cette situation, ceux qui sont formés sur le territoire de l’État islamique en Syrie, en Irak – des jeunes de nationalité française, belge, néerlandaise, britannique et allemande – retournent en Europe … et en quelque sorte les autorités ont été incapables de les surveiller. Nous, la Pologne, apprenons les erreurs des autres … et nous n’ouvrirons pas nos portes aux migrants musulmans. »
Quant à la Hongrie elle a adopté une saine législation anti-migrants que les institutions bruxelloises qualifie de « sévère ». Viktor Orban refuse d’appliquer le programme de répartition de 160 000 envahisseurs prétendus réfugiés et il oppose même son veto à la mise en place de corridors humanitaires que les immigrationnistes forcenés veulent mettre en place pour importer plus facilement encore les envahisseurs extra-européens !
Les droits de l’homme, fourrier de l’invasion migratoire
Et la répression européiste commence à se mettre en place. Ainsi, au mois de février dernier les juges de la Cour européenne des droits de l’homme ont rendu une décision de condamnation contre la Hongrie dans une affaire de détention et de renvoi vers la Serbie de deux demandeurs d’asile irréguliers originaires du Bangladesh.
Selon la Cour, la Hongrie a violé la Convention européenne des droits de l’homme de 1950 en enfermant contre leur volonté ces requérants, sans leur permettre de voir un avocat ni de déposer un recours, alors que l’un des deux hommes a été interrogé et a reçu une plaquette d’informations sur la procédure d’asile dans une langue qu’il ne comprenait pas. Budapest devra ainsi verser dans les trois mois 10 000 euros à chacun des plaignants pour dommage moral et 8 705 euros conjointement pour leurs frais de justice.
La dictature européenne en marche !
Dans ce contexte, la Commission européenne annonce qu’elle poursuit les États récalcitrants ! Selon le communique, « ainsi qu’elle l’avait indiqué dans le précédent rapport sur la relocalisation et la réinstallation, la Commission a décidé d’engager des procédures d’infraction contre » la République tchèque, la Pologne et la Hongrie, au motif que les refus de ces pays sont des infractions aux « acquis communautaires ».
La décision intervient après plusieurs mises en garde de Bruxelles, qui a tenté en vain de convaincre ces pays d’appliquer le plan de « relocalisations » de septembre 2015 destiné à « soulager l’énorme pression sur Rome et Athènes, en première ligne dans la crise migratoire ».
Un plan européen totalement hypocrite
Mais en fait l’action européenne n’a jamais été réellement motivée que par l’encouragement de l’invasion.
Il n’a d’abord jamais été question, pour décharger l’Italie et la Grèce « en première ligne », d’empêcher ou de dissuader les envahisseurs de violer le sol du continent européen ! La négociation de ce plan, avant d’envisager l’accueil et la relocalisation, n’a jamais porté sur l’aide possible de l’Union et des États pour refouler les illégaux et sécuriser leurs frontières !
Indice supplémentaire : les envahisseurs sont, depuis le début des mouvements massifs de populations au travers et autour de la Méditerranée, qualifiés de « réfugiés », donc méritant protection et asile, mais avant même que leurs situations et leurs origines aient été examinées. Conduisant ainsi à recevoir et réinstaller des pseudos « Syriens » qui se sont révélés être de véritables Albanais ou Pakistanais…
La Commission européenne doit maintenant laisser normalement 2 mois aux pays pour se soumettre aux règles et passé ce stade, elle portera l’affaire à la Cour de justice de l’Union européenne qui tranchera sur le fond et peut infliger de lourdes sanctions financières – typiquement plusieurs centaines de millions d’euros par jour ainsi qu’une interdiction de voter au Conseil. On distingue là, de plus en plus précisément, les éléments d’une dictature bureaucratique qui se met en place.
Génocide des peuples européens et destruction des nations
Au final, les décisions polonaises, hongroises et tchèques, de bon sens, sont particulièrement révélatrices par les développements auxquels elles conduisent. Elles permettent de porter au grand jour cette réalité terrible et que les euro-mondialistes veulent cacher : ils sont plus préoccupés par la chasse à ceux qui dénoncent l’invasion et avertissent des dangers de l’immigration sauvage que par la sécurité de leurs concitoyens.
Et pour cause, ils sont les simples valets et laquais sélectionnés par le judaïsme politique pour dérouler son plan de génocide des peuples européens et de destruction de leurs nations.