Le Fonds Monétaire International promeut l’invasion migratoire généralisée
Le Fonds monétaire international a défendu mardi 27 septembre dans un rapport les bienfaits économiques de l’immigration y compris pour l’Europe ou les États-Unis, pourtant déjà largement gangrénés par une invasion migratoire subis depuis de longues années. Le FMI, dans un bel exemple de subversion linguistique, appelle « défi » les nuisances et les drames qui s’abattent sur les autochtones du fait du déferlement sauvage de population. « Les migrations peuvent provoquer des tensions sociales et des réactions politiques hostiles dans les pays hôtes mais l’expérience passée suggère qu’elles peuvent aussi offrir des gains en termes de plus forte croissance, de productivité et de remède au vieillissement de la population », indique le rapport du FMI.
Le rapport suggère qu’une augmentation d’un point de pourcentage de la proportion de migrants dans la population adulte du pays hôte peut ainsi doper le PIB par habitant de « 2% à long terme ». Mais ajoutant tout de suite que ce n’est qu’à la condition cruciale d’une intégration rapide de ces nouvelles populations ce qui peut s’avérer « coûteux dans le court terme » pour le pays d’accueil. Les bénéfices en PIB escomptés sont donc déjà préalablement gagés par les dépenses d’intégration. Et encore à condition que les dépenses n’excèdent pas les supposés bénéfices…
Enfin dans un exercice de mauvaise fois exemplaire, le FMI reconnait que les flux migratoires représentent aussi un « défi » pour les pays d’accueil en raison des différences culturelles. Mais il ne s’en inquiète qu’en raison des risques de son exploitation politique dans les pays d’accueil.
Les cultures disloquées, les traditions éparpillées, les populations métissées et les nations détruites, le FMI n’en a cure… Et le tout n’est envisagé que comme le meilleur remède au vieillissement de population, passant sous silence la possibilité même de politiques natalistes qui auraient pourtant l’avantage d’encourager le repeuplement des pays avec leur propre population de souche.