Jeune Nation publie ci-dessous l’analyse de nos camarades nationalistes bulgares de l’Union Nationale Bulgare sur le projet de « Pacte mondial sur les migrations » que les Nations-Unies tentent aujourd’hui de faire adopter comme feuille de route mondiale et mondialiste . Ce pacte a pour but de généraliser et massifier les flux migratoires, notamment vers l’Europe. Mais ils visent aussi à décourager la résistance des peuples et des nations qui ne veulent pas disparaître au profit de ce grand magma de consommateurs métissés et déracinés, but ultime des mondialistes au service du judaïsme politique. Néanmoins, tous les espoirs restent permis et de nombreux pays, sous la pression populaire, ont annoncé qu’ils ne ratifieraient pas ce pacte scélérat : Australie, Pologne, Autriche, Tchéquie, Croatie, Hongrie, Estonie, Slovénie…
Les 10 et 11 Décembre dans la ville marocaine de Marrakech sera signé le Pacte sur les migrations des Nations Unies. Le texte intégral du pacte est d’environ 35 pages en anglais. Peu importe qu’étrangement ce document n’ait pas encore été traduit en langue bulgare ou qu’on ne le trouve nulle part, bien qu’il ait déjà provoqué des réactions en Bulgarie. Voilà pourquoi nous avons pris la peine de le lire et de livrer ici quelle impression il nous a laissé. Nous publions aussi de courts passages traduits dont nous pensons qu’ils éclairent le mieux l’esprit dans lequel il a été rédigé.
La simple lecture du document dont le nom complet est « Accord global pour la migration sécurisée, organisée et ordonnée » n’est pas une tâche facile. Le texte est extrêmement « complexe » rempli de formulations grandiloquentes répétées comme les mantras des partisans de la subversion migratoire et du génocide des Européens. Le document es rempli de formulations lyriques, à double ou triple sens, qui incarnent leurs « droits de l’homme ». Mais pour tous ceux qui savent lire entre les lignes, ils peuvent comprendre rapidement ce qui se cache derrière ce pacte : faciliter le passage des envahisseurs « migrants » et l’invasion massive de l’Europe. Et ce n’est pas seulement l’invasion de centaines de milliers, voire des millions d’allogènes, mais des dizaines, voire des centaines de millions d’envahisseurs en Europe et en particulier la Bulgarie. Apparemment, il s’agirait de la plus grande migration des peuples dans l’histoire humaine.
Autour de la lecture de ce « pacte mondial », il est indéniable que la priorité est donnée vers les nations européennes. À l’avenir leur est affectée la tâche de prendre soin du bien-être des « migrants », de tout faire pour leur confort et leur sécurité, de leur fournir un emploi pour leur intégration dans les pays d’accueil (ce qui conduira au remplacement ethnique et culturel des Européens dans leurs propres pays). Ce document donne aux Européens le rôle des administrateurs accueillants à bras ouverts les flux migratoires en provenance d’Asie et d’Afrique. Ils ne doivent discerner ou trier en aucun cas les arrivants et, selon les créateurs du Pacte, ils doivent aligner leurs réactions avec ces « nouvelles réalités ». En de nombreux points, le texte en question, impose que les envahisseurs bénéficient d’un droit au logement, d’un droit à l’éducation et d’un droit à l’emploi.
Les pères spirituels de ce projet de l’ONU militent manifestement pour limiter la liberté d’expression et étouffer toute opinion critique sur cette invasion programmée. Dans plusieurs passages le document parle de « Favoriser un débat public ouvert sur la migration, qui est fondée sur des faits vérifiables qui conduisent à imprimer dans les mentalités une perception humaine et constructive de la migration et des migrants. » On se doute immédiatement et on devine facilement que les « faits vérifiables » qui seront autorisés dans le débat public seront seulement ceux en faveur des objectifs du Pacte : champ libre à l’invasion, à la disparition des nations et des Européens. A l’inverse, dans de nombreux passages du texte, les objections et oppositions à l’invasion migratoire sont qualifiées de « discriminatoire » et « discours de haine » et les gouvernements sont invités à lutter contre ces réactions et discours !
Jusqu’à présent, le gouvernement bulgare a affirmé qu’il ne signerait pas le Pacte sur la migration des Nations Unies. Mais ce choix n’est pas dictée par la conviction sincère du gouvernement que le document est extrêmement dangereux pour l’avenir de notre pays. C’est plutôt le résultat de la situation politique intérieure. Et nous ne serions pas surpris si le moment venu l’oligarchie des gouvernants et des politiques se disaient « convaincus » de la nécessité d’apposer la signature et d’engager la Bulgarie dans le projet. Et même si cela ne se produit pas, cela ne devrait en aucune façon assagir notre vigilance. Avec ou sans l’adoption du Pacte par la Bulgarie, si les objectifs fixés dans ce « projet global » sont mis en œuvre, nous serons touchés de la même manière que tous les autres pays européens et ce sera une nouvelle étape vers la perte d’identité et de la souveraineté de nations européennes.
Ci-dessous, pour la première fois, quelques extraits du Pacte sur les migrations des Nations-Unies :
[…] Ce pacte mondial est une expression de notre confiance commune pour améliorer la coopération sur les migrations internationales. La migration a toujours fait partie de l’histoire humaine et nous reconnaissons que dans notre monde globalisé, elle est une source de prospérité, d’innovation et de développement durable et que ces effets positifs peuvent être optimisés grâce à une meilleure gestion politique des migrations. […]
[…] De plus, nous devons convaincre tous nos citoyens avec les arguments, fondés sur des preuves et des informations claires, présentant les avantages et les défis à venir de la migration pour éliminer les informations trompeuses qui conduisent à une perception négative de la migration. […]
[…] Nous devons créer des conditions stimulantes pour permettre aux migrants d’enrichir nos sociétés avec leurs caractéristiques humaines, économiques et sociales. […]
[…] Grâce à la mise en œuvre du Pacte mondial, nous veillerons à ce que les droits de l’homme de tous les migrants, quel que soit leur statut migratoire soient respectés, protégés et garantis pendant le cycle complet de la migration. De plus, nous réaffirmons notre engagement à éliminer toutes les formes de discrimination, la xénophobie et l’intolérance envers les migrants et leurs familles. […]
[…] Seront examinés la législation du travail et les stratégies et programmes dans le domaine de la sécurité pour s’assurer que les besoins et les nécessités des travailleurs migrants sont assurés[…]
[…] Sera mis en place une réglementation complète et des partenariats seront offerts aux migrants dans une position peu enviable, quel que soit leur statut, et ils recevront un soutien dans toutes les phases de leur migration. […]
[…] Seront examinés et révisés les lois et règlements relatifs aux sanctions contre l’entrée et le séjour illégal dans le pays pour s’assurer que les législations sont réciproques, équilibrées et non discriminatoires […]
[…] Les restrictions à la liberté de circulation des migrants ne seront envisagées qu’en dernier recours. […]
[…] Les migrants mineurs, enfants et adolescents, seront assurés de recevoir une éducation de qualité égale et libre […]
[…] Sera encouragé le respect mutuel de la culture, des traditions et coutumes des migrants dans la société d’accueil avec des programmes et activités d’intégration, … et mis en œuvre des moyens de stimuler l’acceptation de la diversité et encourager la solidarité sociale.[…]
[…] Soutien aux activités multiculturelles à travers le sport, la musique, l’ art, les festivals culinaires, la participation des bénévoles et d’ autres événements sociaux qui favorisent la compréhension mutuelle et le respect des cultures des migrants et des sociétés d’accueil. […]
[…] Nous nous sommes engagés, conformément aux normes internationales en matière de droits de l’homme, afin d’éliminer toutes les formes de discrimination et de condamner et lutter contre les déclarations, les actions et les manifestations de racisme, la discrimination raciale, la violence, la xénophobie et l’intolérance contre migrants. […]
[…] Pour créer, mettre en œuvre et maintenir des règles qui interdisent les crimes haineux et les crimes violents dirigés contre les migrants et former les responsables dans le domaine des enquêtes sur la criminalité et les autres responsables chargés de prévenir et répondre à de tels crimes et autres agressions physiques dirigées contre les migrants et les victimes aussi à fournir une assistance médicale, juridique et psychologique. […]
[…]Suspension du financement public et de tout soutien matériel pour les médias qui encouragent systématiquement l’intolérance, la xénophobie, le racisme et d’autres formes de discrimination à l’égard des migrants. […]
[…] Nous allons appliquer le Pacte mondial en coopération et en partenariat avec les migrants, la société civile, les organisations de migration et de l’émigration, les organisations religieuses, les institutions locales, le secteur privé, des syndicats, des parlementaires, des organisations nationales des droits de l’homme, la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, la science, les médias et les autres parties prenantes. […]
Source : Union Nationale Bulgare
Si un Heinrich von Treitschke vivait aujourd’hui, il écrirait sans doute:
» Les immigrés sont notre malheur »