Libre, le chasseur de « migrants » Petar Nizamov reprend ses patrouilles contre l’invasion extra-européenne à la frontière bulgaro-turque
Petar Nizamov, le chef du « Groupe civique pour la protection des frontières, des femmes et de la foi », était poursuivi depuis presque un an, accusé d’actes de maltraitances, enlèvements, détentions arbitraires, violences et discrimination à caractère haineux envers des « migrants » ayant franchi la frontière bulgaro-turque pour entrer en Europe.
L’affaire avait été révélé lorsque Petar Nizamov lui-même avait mis en ligne sur son son compte Facebook en avril 2016 la vidéo des ses activités à la frontière sur laquelle on voyait dans une forêt, trois hommes allongés au sol, les mains retenues dans le dos par des liens en plastique noir et cinq autres personnes, debout autour qui leur intimaient l’ordre de faire demi-tour en anglais approximatif : « Go Back. Back Turkey. No Bulgaria For You ».
Petar Nizamov avait été arrêté peu après la publication de la vidéo et accusé de maltraitances contre ces envahisseurs, placé en détention, et finalement assigné à résidence dans l’attente d’un procès. Le Tribunal de district de Bourgas avait refusé de considérer comme légitimes ses actes de défense de la frontière bulgare contre l’infiltration d’envahisseur extra-européens.
Refusant d’être condamné pour quelque chose qui n’est pas un crime, avoir défendu la frontière de la Bulgarie, Petar Nizamov affirmait que son arrestation et sa mise en accusation étaient peut-être la conséquence des intérêts financiers générés par la contrebande et le trafic de migrants qu’il a contrarié par son action…
Courageux, alors que son assignation à résidence était levée au mois de septembre dernier, il avait continué à militer et à participer à de nombreux rassemblements et manifestations de protestations contre l’invasion de l’Europe et contre l’inaction des autorités laissant la Bulgarie devenir un point d’entrée et de passage des envahisseurs.
Mardi dernier, le 7 mars 2017, le Tribunal de district de Bourgas a relaxé Petar Nizamov de toutes les charges qui étaient retenues contre lui, ne disposant pas d’éléments de preuve suffisants des d’accusations portées. Néanmoins le parquet a indiqué faire appel de cette décision.
De son côté, pas découragé, le chasseur de migrants, chef du « Groupe civique pour la protection des frontières, des femmes et de la foi » a annoncé qu’il allait retourner à la frontière bulgaro-turque et reprendre ses activités de défense de son pays et de l’Europe !
« Nous devons faire preuve d’unité, d’intransigeance et d’une volonté de puissance pour résister à la pression exercée par les gouvernements à la solde de Soros en Europe de l’Ouest et sauver notre civilisation, notre foi et notre culture. » (Petar Nizamov)
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