Retour sur le 3 juin 1989 : disparition de l’Imam Khomeini
Au nom du Seigneur, le clément, le miséricordieux,
Mon cher ami, c’est en ce jour de deuil que je t’envoie ce message. J’écris peu tu le sais, mais je voulais vous adresser un message, cela m’a paru naturel. Ce 3 juin 1989 l’Imam Khomeini nous a quitté. Toute sa vie il n’avait eu de cesse que de combattre la Banque, Les cosmopolites et le capitalisme américano-sioniste. Il disait toujours à propos des régimes contre-nature comme l’URSS, qu’ils finiraient par tomber eux-même car comme tu le sais, ces régimes sont contre l’Homme, contre la Patrie, contre ce Dieu que nous adorons toi comme moi et que ces invertis ignorent si tristement. Ce jour est certes triste pour nous, mais je voulais te rappeler mais tu le sais déjà que l’Imam Khomeini nous a quitté en nous laissant un message: Ne vous laissez pas faire, n’acceptez pas l’injustice, n’acceptez pas que des pays étrangers décident pour vous, et s’il le faut battez-vous battez-vous jusqu’à la victoire, et n’ayez crainte, Le Seigneur est avec vous, car lui seul connaît le contenu des cœurs.
Ce message de combat nous devions le crier haut et fort dans nos écoles et le petit garçon que j’étais le criait aussi dans sa petite cour d’école car nous savions que nous luttions contre un ennemi 10000000 fois plus fort que nous. Ce message, je veux que tu le répètes encore et toujours au tiens: battez-vous, combattez les injustices, n’acceptez-pas que vos enfants soient l’esclave de ce consumérisme qui détruit tout, de ce démocratisme, de cet homosexualisme qui détruit la famille, de ce mondialisme, de ce transhumanisme.
La fin de la République est proche en France, cette République qui a commencé par tuer votre Roi, et sa famille juste parce qu’ils croyaient en Dieu. Vous aurez un combat long à mener, mais je sais que même si vous êtes une poignée aujourd’hui demain vous serez des millions à combattre ce cancer qui ravage la France et qui pervertit les peuples.
Comme nous, on vous fera la guerre, on vous mettra au banc des Nations, et vous aurez vos martyrs de cette Révolution Nationale qui rejoindront ceux des deux dernières guerres mondiale.
J’appelle le Seigneur à vous venir en aide pour que vous y arriviez un Jour, et je pense au Maréchal qui a tant souffert.
Au combat!
Amir