« L’industrie de l’holocauste », selon le titre de l’ouvrage de Norman Finkelstein, se porte bien. 74 ans après la fin de la seconde guerre mondiale qui a laissé une Allemagne coupée en deux et ravagée, et une population décimée et persécutée par les vainqueurs, le racket holocaustique continue.
On apprenait en effet le 2 avril dernier que 4 entreprises allemandes, Daimler, la Deutsche Bahn, la Deutsche Bank et Volkswagen, ainsi qu’un club de fouteballe, le Borussia Dortmund, vont verser un million d’euros pour aider à l’expansion du Mémorial de l’Holocauste Yad Vashem, en Israël.
« Nous pensons que le football peut jouer un rôle important dans la lutte contre l’antisémitisme et le racisme », a déclaré à ce sujet le président du grand club de la Ruhr Hans-Joachim Watzke, mardi, quatre jours avant le décisif « Klassiker » de samedi à Munich contre le Bayern, en Bundesliga.
Le fouteballe de la haine de soi
« Nous voulons adresser un message politique clair à nos 155.000 membres, à nos dix millions de fans, et à la société allemande en général. Il tient en un mot : « Stop ! ».
L’association allemande des amis de Yad Vashem (Deutschen Freundeskreises Yad Vashem) est à l’origine de l’initiative qui va permettre de récolter cinq millions d’euros pour les travaux.
Plus d’un million de personnes viennent se prosterner annuellement à Yad Vashem, le plus grand site commémoratif pour « les six millions de Juifs gazés dans les camps de concentration nazis » pendant la deuxième guerre mondiale dont la construction a été décidée par le Parlement de l’État juif autoproclamé en 1953.
Les travaux d’expansion du site devraient débuter au mois d’août à Jérusalem et la construction d’un centre annexe de 4200 mètres carrés, la « Maison des Souvenirs », est notamment prévue.
Il n’est pas dit quelle somme sera consacrée à « corriger » les « archives » conservées là-bas, puisque l’encyclopédie collaborative en ligne, Wikipédia, nous informe malgré tout qu’« il arrive que le Yad Vashem permette d’apprendre que des Juifs qu’on croyait avoir été tués pendant la guerre avaient en réalité survécu », comme par exemple « deux familles juives de Varsovie, celle de Nisan Band et celle de sa sœur Jenta, épouse Bor(e)nstein », qui en réalité « passèrent toutes deux les années de guerre en Union soviétique, chacune des deux familles pensant que l’autre avait été tuée par les nazis »…
Je croyais qu’on tenait le yoyo sur « l’antisémitisme » en France mais les allemands sont encore plus lavés du cerveau. Quelle honte, quelle dérision, quelle tristesse devant tant de bêtise.