Ridiculisant les théories complotistes les plus folles, un hebdomadaire américain a révélé mardi 7 novembre la façon dont Harvey Weinstein, le pédomane juif à papiers américains, maître d’Hollywood, tentait d’étouffer les différentes affaires d’abus sexuels le concernant. Selon le magazine, il a en effet employé des moyens colossaux pour tenter d’enrayer les révélations.
Dans cette optique, il utilisait, par l’intermédiaire de ses avocats, les services d’ex-agents du Mossad, le service de renseignement extérieur de l’État juif, enquêtant sous de fausses identités ! Selon l’article, le producteur en disgrâce a déployé cette « armée d’espions » depuis au moins l’automne 2016.
Des méthodes mafieuses pour la défense du pédomane juif
Le magazine cite des dizaines de documents et sept personnes directement impliquées dans les efforts de Weinstein pour empêcher, en vain, la publication d’accusations à son encontre. D’après l’hebdomadaire, une ex-agent israélienne, employée de la société « Black Cube », dont le contrat prévoyait au moins 200 000 dollars d’honoraires, a notamment contacté l’actrice Rose McGowan, l’une des principales accusatrices, en prétendant être une militante pour les droits des femmes. Elle a enregistré en secret des heures de conversations avec McGowan, qui s’apprête à publier ses mémoires, « The Brave », un livre qui inquiéterait Weinstein.
L’agent de « Black Cube » qui avait établi des contacts avec Rose McGowan a par ailleurs, sous une différente identité, contacté des journalistes enquêtant sur les agressions sexuelles présumées du producteur, notamment un reporter du magazine New York, Ben Wallace, pour savoir de quelles informations ils disposaient. Weinstein et son équipe ont aussi enquêté sur les reporters eux-mêmes, y compris leur vie personnelle et sexuelle et leurs précédentes enquêtes et potentiels litiges, pour tenter de les contredire, les discréditer ou les intimider. Son équipe a notamment rassemblé des éléments sur l’ex-femme de Ben Wallace. Les méthodes habituelles des pontes du judaïsme politique qui tentent de salir leurs accusateurs plutôt que de répondre aux questions qui les dérangent…
« Black Cube », bras armé du judaïsme politique
D’ailleurs, Black Cube, n’est pas une société inconnue pour les lecteurs habituels de Jeune Nation. La société se présente sur son site internet comme un « groupe sélectif de vétérans des unités d’élite du renseignement israélien spécialisé dans les solutions sur mesure ». C’est en réalité une des tentacules de la pieuvre mafieuse du judaïsme politique.
En effet, des employés de cette organisation mercenariale ont par exemple été condamné à de la prison en Roumanie pour avoir tenté de corrompre et pour avoir harcelé une haute magistrate roumaine à la tête de l’organisme national de lutte anti-corruption… Et les anciens du Mossad de Black Cube en Roumanie avaient peu ou prou utilisé les mêmes méthodes de traque et de harcèlement contre des proches de leur cible comme celles décrites ci-dessus au profit d’Harvey Weinstein… (Cf : Des espions privés israéliens condamnés pour tentative de corruption ou Un honorable correspondant du Mossad condamné pour intimidation d’une magistrate).
Et toujours selon le magazine, le producteur en disgrâce suivait personnellement les avancées de ces enquêtes. Certaines étaient orchestrées par ses avocats, dont David Boies, célèbre notamment pour avoir défendu Al Gore lors du litige sur le scrutin présidentiel de 2000 et pour avoir plaidé en faveur du mariage gay devant la Cour suprême.
Chouinerie et inversion accusatoire comme méthode de défense
Autre révélation concernant les méthodes du pédomane sous le coup de plusieurs dizaines d’accusations (93 femmes et 14 viols selon la liste dressée par la comédienne Asia Argento au 31 octobre, disponible ci-dessous), on apprend qu’il a obtenu des informations de Dylan Howard, un homme de l’ombre mais au pouvoir immense : il est directeur des contenus d’American Media Inc. qui publie, chaque semaine, le magazine National Enquirer. L’un de ses journalistes a notamment appelé l’ex-femme de Roberto Rodriguez, un réalisateur ayant eu une relation amoureuse avec Rose McGowan, pour lui faire dire des commentaires négatifs sur la comédienne. La porte-parole de Weinstein, Sallie Hofmeister, a déclaré : « C’est une fiction de suggérer que des personnes aient pu être visées (ou aient fait l’objet d’efforts d’intimidation) », évoquant une « conspiration ».
Ronan Farrow, l’auteur de ces révélations qui est également le fils de Mia Farrow et Woody Allen, précise que Weinstein utilisait des détectives pour enquêter sur les journalistes qui écrivaient des articles négatifs le concernant depuis des années. Il indique également que des ex-employés de Weinstein ont été recrutés sous le faux prétexte de faire des recherches pour un livre sur « les belles années de Miramax », la maison de production co-fondée par Harvey Weinstein et son frère Bob. Au lieu de cela, ils ont été utilisés pour rassembler des listes d’anciens employés et d’actrices, les contacter… et les intimider.