Discours prononcé par Yvan Benedetti, le samedi 22 novembre à Madrid, lors de la manifestation en hommage à Jose Antonio Primo de Rivera.
Je veux commencer par remercier nos vieux amis et camarades de la Falange pour leur accueil et le privilège que vous m’accordez en me donnant la parole. C’est un honneur pour moi de parler dans ce lieu chargé d’histoire, au pied de la maison natale de ce Prince qui reste un modèle de la jeunesse en Europe : Jose Antonio Primo de Rivera.
En Espagne comme en France, la situation économique et sociale du peuple ne fait qu’empirer.
En Espagne comme en France, nous sommes sous la domination de la finance apatride et des sociétés secrètes.
En Espagne comme en France, les politiciens corrompus sont au service des mondialistes se détournant des préoccupations de la communauté nationale.
En Espagne comme en France l’étranger fait la loi dans nos rues menées par une insécurité et une violence qui touche les plus vulnérables d’entre nous.
En Espagne comme en France nos élites frelatées servent l’idéologie officielle, le judaïsme politique dont le projet est la destruction des mœurs et de la famille traditionnelle et de nos identités raciales, culturelles et spirituelles.
Mais en Espagne comme en France, et dans toute l’Europe, les nationalistes, à l’avant-garde du peuple, redressent la tête. Le temps de la soumission est terminé. Nous sommes très peu, contre presque tous, mais nous œuvrons pour tous, car nous sommes, nous nationalistes, les enfants du peuple, héritiers bimillénaires d’une civilisation commune.
Nous ne vivons pas sur la même terre, nous ne parlons pas la même langue, nous n’avons pas les mêmes coutumes, les mêmes tempéraments. Et pourtant ce qui nous unit aujourd’hui est plus fort que tout parce que dans nos sociétés respectives coule le même poison. Le poison de la démocratie, des droits de l’Homme, du matérialisme, de la décadence. Nous sommes porteurs du même souffle, nous brûlons de la même âme, nous défendons les mêmes vertus anciennes qui sont celles de l’honneur, du courage, du travail, de la famille, de la Patrie.
C’est pour cela qu’aujourd’hui, vous, fier peuple espagnol, et nous, braves Français, sommes coude à coude dans cette tranchée, dernier rempart au mondialisme. Un des piliers du mondialisme, le banquier Edmond de Rothschild, a déclaré que le dernier verrou à faire sauter, c’est celui de la Nation. Ils veulent détruire nos nations européennes historiques, seuls freins à leur volonté d’hégémonie mondiale en fomentant, encourageant les indépendantistes de tous bords.
La Nation est une, nos Nations sont indivisibles, car elles sont selon la très belle définition de José Antonio « une unité de destin dans l’universel ». C’est pour cela que nous dénonçons cette mascarade que constitue ce prétendu référendum pour l’indépendance de la Catalogne.
Peu à peu ce système oligarchique s’affaiblit. L’heure qui nous verra bondir de ces boyaux de la résistance pour donner le dernier coup d’épaule est proche nous en sommes convaincus.
Comme le disait Jose Antonio « Nous dehors, dans une veille tendue, fervente et fière, nous pressentons dans la joie de notre cœur que déjà l’aube se lève ». Au mois de mai quand j’étais venu vous parler afin de soutenir votre candidature aux élections européennes, le mouvement que je présidais l’Œuvre française avais été interdit par l’apatride Valls. Et pourtant j’avais brandi notre étendard à croix celtique qu’ils nous interdisent de sortir en France. Ce soir je reviens devant vous alors que je suis poursuivi et mis en examen par la justice pour maintien et reconstitution de mouvement dissous. Et de nouveau je brandis notre bannière.
Rien ni personne ne nous fera taire. Rien ni personne ne nous fera baisser la tête.
Non à la soumission.
Nationalistes, phalangistes : haut les cœurs, en avant la Victoire !
Camaradas, Adelante!
Maîtres chez nous !
Qui vive ? France !
Arriba España !
Ci-dessous, la traduction du discours en espagnol :
Quiero comenzar agradeciendo a nuestros viejos amigos y camaradas de La Falange por su acogida y el privilegio que me concedéis dándome la palabra. Es un honor para mí hablar en este lugar cargado de historia, a los pies de la casa natal de este Príncipe que permanece como un modelo para la juventud en Europa, José Antonio Primo de Rivera.
En España como en Francia, la situación económica y social del pueblo no hace sino empeorar.
En España como en Francia, nosotros estamos bajo la dominación de las finanzas apátridas y de las sociedades secretas.
En España como en Francia, los políticos corruptos están al servicio de los mundialistas desviándose de las preocupaciones de la comunidad nacional.
En España como en Francia, el extranjero dicta la ley en nuestras calles presididas por una inseguridad y una violencia que afecta a los más vulnerables de entre los nuestros.
En España como en Francia, nuestras élites manipuladas/corrompidas sirven a la ideología oficial, el judaísmo político, cuyo proyecto es la destrucción de las costumbres y de la familia tradicional y de nuestras identidades raciales, culturales y espirituales.
Pero en España como en Francia y en toda Europa, los nacionalistas, la vanguardia del pueblo, se levantan. El tiempo de la sumisión se ha terminado. Somos muy pocos contra casi todos pero nosotros trabajamos por todos porque nosotros somos Nacionalistas, los hijos del pueblo, herederos bimilenarios de una civilización común.
Nosotros no vivimos en la misma tierra, nosotros no hablamos la misma lengua, nosotros no tenemos las mismas, costumbres, los mismos temperamentos.Y estamos hoy unidos más fuerte que nunca porque en nuestras respectivas sociedades fluye el mismo veneno. El veneno de la democracia, de los derechos humanos, del materialismo, de la decadencia. Somos portadores del mismo aliento, nos arde la misma alma, defendemos las mismas antiguas virtudes que son las del honor, el coraje, el trabajo, la familia, la Patria.
Es por ello que hoy vosotros, orgulloso pueblo español y nosotros, franceses valientes, estamos codo con codo en esta trinchera, la última muralla ante el mundialismo. Uno de los pilares de la globalización, el banquero Edmond Rottschilds, dijo que el último cerrojo a hacer explotar es la Nación. Ellos quieren destruir nuestras Naciones Europeas Históricas, los únicos frenos a su voluntad de hegemonía mundial, fomentando, promoviendo el independentismo desde todos los ángulos.
La Nación es una, nuestras Naciones son indivisibles porque se basan en la hermosa definición de José Antonio: Una unidad de destino en lo universal. Es por ello que nosotros denunciamos esta farsa en la que se constituye este pretendido referéndum por la independencia de Cataluña.
Poco a poco este sistema oligárquico se debilita. La hora en la que nos veremos dando el último embiste está cerca, estamos convencidos de ello.
Como dijo José Antonio: “Nosotros, fuera, en vigilancia tensa, fervorosa y segura, ya presentimos el amanecer en la alegría de nuestras entrañas”. En el mes de mayo cuando vine a hablar ante vosotros para apoyar vuestra candidatura a las elecciones europeas, el movimiento que yo presidía, la Obra Francesa, había sido prohibido por el apátrida de Valls. Y sin embargo yo ondeé nuestro estandarte con la cruz céltica que ellos nos prohíben portar en Francia. Esta noche vuelvo a estar delante de vosotros mientras que soy perseguido y acusado por la justicia por el mantenimiento y la reconstrucción de un movimiento disuelto. Y de nuevo, ondeo nuestra bandera.
Nada ni nadie nos acallará. Nada ni nadie nos hará bajar la cabeza.
No a la sumisión.
Nacionalistas, Falangistas, arriba los corazones, y adelante hacia la victoria.
Camaradas, Adelante!
Dueños de nuestros feudos
Qui vive? France!
Arriba España !
Légende de la photo:
Yvan Benedetti à Madrid, samedi 22 novembre: « Et de nouveau je brandis notre bannière à croix celtique. »
En avant la victoire
Maitre chez nous