Manfred Weber, le leader du Parti populaire européen (les libéraux-mondialistes façon « Les Républicains ») vient de lancer une offensive contre la toute jeune organisation des nationalistes en Europe, l’APF, « Alliance for peace and freedom » (Alliance pour la paix et la liberté).
Il réclame que le Parlement cesse de financer un parti qui réunit « les pires extrémistes de droite et néo-fascistes à travers l’Europe ». Pour ce faire il a écrit aux autres leaders de groupes parlementaires européens affirmant que l’APF avait reçu 600 000 euros de financement du parlement et qu’elle l’utilisait pour « regrouper la plupart des mouvements de l’extrême-droite radicale et militante ». Il a annoncé qu’il lancerait sa campagne en ce sens le 28 mai prochain depuis Stockholm.
Pendant ce temps, à Bruxelles, l’APF inaugurait son tout nouveau quartier général, à proximité du siège du Parlement européen, en présence de notre ami Alexandre Gabriac.
Son président, Roberto Fiore, a fixé un cap : rassembler les nationalistes en vue de créer un pôle d’opposition au cancer libéral qui détruit l’Europe.
Le local a été officiellement baptisé « Manos et Giorgios » du nom des deux militants d’Aube Dorée tués par les antifas à Athènes le 2 novembre 2013.