La figure de Léon n’est pas près de disparaître de l’imaginaire ou de la mythologie européenne et révolutionnaire. *
Ce grand Belge, catholique, journaliste de formation ou plutôt d’expérience, influencé au cours de son adolescence par l’œuvre de Charles Maurras, ardent militant nationaliste avant-guerre et d’ailleurs irrésistible candidat rex iste séduisant aussi bien les masses wallonnes que flamandes, verra son destin métamorphosé avec la conflagration européenne de 1940.
Homme politique intransigeant et charismatique qui remplissait les Palais des sports d’Anvers et de Bruxelles lors de ses meetings, De grelle était cependant un ‘’activiste’’ parfaitement pacifique au cours des années trente, ne cultivant aucun doute sur ses chances d’accéder rapidement au pouvoir. Il ne se déplaçait jamais armé et ne ressentait nullement le besoin d’être protégé par un quelconque gorille. Mais les premières manœuvres hit lériennes à l’Est allèrent repeindre en noir et blanc toute la scène politique européenne.
Le camp antifasciste se montrait dès lors d’une violence inouïe envers tout individu défendant une doctrine nationaliste ou réactionnaire en le confondant publiquement par calcul électoraliste à un pro-allemand na zi. Cette propagande réussit fort bien en Belgique et les espérances politiques de De grelle s’évaporèrent brutalement, au profit de sombres ‘’banksters’’, dupeurs, qui agitaient un catholicisme de papier. De grelle avait laissé passer sa chance quelques mois auparavant quand il pouvait encore compter sur nombre de généraux et d’officiers dans une conquête moins démocratique du pouvoir.
Il s’en mordit les doigts. Et le temps de la paix et de sa propre sécurité était bel et bien achevé …
La guerre déclarée, des soldats français vinrent le rafler avec quelque 12 000 de ses camarades. Beaucoup furent tués, torturés et emprisonnés.
De grelle lui-même dut subir les pires outrages, des sévices, des coups innombrables lui coûtèrent douze dents, et ces démocrates lui urinèrent dans la bouche fermement maintenue ouverte par ses tortionnaires. Mais on ne l’assassinat point, les services secrets étant convaincus qu’il connaissait les plans militaires du prochain ‘’blitzkrieg’’ d’H itl er.
Paradoxalement, la propagande marxiste qui le ciblait en le désignant comme un auxiliaire na zi depuis des mois lui sauva la vie …
Rentré au pays, dégoûte plus que jamais, par les démocraties libérales, De grelle s’engagea dès sa création en tant que simple soldat à la Waf fen S .S Wallonie bien que le F. üh.rer lui proposa immédiatement le grade d’officier qu’il rejeta sans réflexion : il voulait faire ses preuves sur le front et participer à la formation d’une nouvelle Europe, celle des héros.
Son sacrifice fut surhumain. Traversant des milliers de kilomètres, affamé, blessé sept, huit, neuf fois dans des corps à corps épouvantables, De grelle vivait. Malgré l’effroyable hiver russe de 1941-42 qui eut la peau de tant de ses camarades : ‘’ Les membres atteints devenaient, en deux minutes, livides comme du parchemin. Nul ne se fut risqué à uriné au dehors. Parfois le jet lui-même était converti en une baguette jaune recourbée. Des milliers de soldats eurent les organes sexuels ou l’anus atrophiés pour toujours. Notre nez, nos oreilles étaient boursouflés comme de gros abricots, d’où un pus rougeâtre et gluant s’écoulait. C’était horrible, horrible. (…)
Jamais, je crois, nulle part au monde tant d’hommes n’ont souffert autant.’’
Et comme si les affres de la nature ne suffisaient pas à mortifier le corps et l’âme, les assauts des Soviétiques s’intensifiaient et se renouvelaient sans cesse. Il fallait tenir. Tuer ou mourir.
‘’Dans la seule journée du 28 février 1942, dans une bourgade détruite nommée Gromowaja-Balka (Vallée du Tonnerre !), et où notre bataillon résistait depuis huit jour à l’assaut de quatre mille Russes, nous perdîmes, dans une empoignade effroyable qui dura de six heures du matin jusqu’à la nuit, la moitié de nos camarades ! Nous nous défendions désespérément parmi les cadavres des chevaux gelés, pétrifiés, sur lesquels les balles résonnaient comme sur du cristal. Les Russes avançaient en rangs serrés, drapés dans leurs longs manteaux violâtres. Sans cesse, des vagues nouvelles surgissaient, que nous fauchions sur les étangs gelés.’’
Acteur sanglant et ensanglanté et héros immensément respecté de ces combats d’où il ressortit miraculeusement vivant (mais brisé et désarticulé littéralement), De grelle est un témoin et un ‘’critique’’ légitime des responsabilités de certains hommes de premier plan dans la formation de ce bourbier oriental et dans la défaite si cruelle à ses yeux. Il tient responsable en premier lieu Mu ssolini (qu’il admire par ailleurs) de cette défaite, lui le Du ce, trop orgueilleux, à la recherche d’une victoire de prestige qui lui échappait désespérément, qui se lança au plus mauvais moment dans une expédition en Grèce provoquant l’intervention britannique dans la région et qui fit perdre cinq semaines capitales à l’entreprise allemande (et européenne !) en Russie. Un laps de temps suffisant pour Staline pour préparer sa défense et imaginer tous les scenarii possibles …
Paulus est également violemment critiqué et est présenté comme un lâche de la pire espèce qui osa abandonner entre les griffes des Rouges 200 000 hommes … condamnés à mort. Alors qu’une importante partie d’entre eux aurait pu non seulement sauver leur vie mais également affaiblir temporairement la machine de guerre soviétique en perçant la ligne qui encerclait l’armée allemande. Ralentir coûte que coûte les hordes staliniennes devint alors l’obsession de De grelle qui lui et ses camarades préservèrent de fait la vie de centaines ou de milliers de civils allemands (et français) et épargnèrent du viol collectif d’innombrables femmes européennes.
Le journaliste, le guerrier, l’écrivain De grelle le raconte et le démontre si bien ! ** » »
Article de Valentin BARNAY paru le 26 / 11 / 2010.
** Léon De grelle, ‘’H it ler pour mille ans’’, Les Editions de l’homme libre.
* La bannière historique à croix de Bourgogne : http://www.cancoillotte.net/IMG/jpg/Photo_Croix_StAndre.jpg
Autrefois très populaire et symbolique des vielles terres d’empire des ducs de Bourgogne (presque autant que le sont encore aujourd’hui celles de Corse ou de Bretagne), ayant été celle arborée par Léon Degrelle et ses compagnons Wallons … elle est aujourd’hui complètement oubliée du fait de sa diabolisation.
Ce n’est heureusement pas le cas pour les aventures de Tintin, reporter au petit XXème … et pourtant.
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« Les aventures de Léon Degrelle
La figure de Léon n’est pas près de disparaître de l’imaginaire ou de la mythologie européenne et révolutionnaire. *
Ce grand Belge, catholique, journaliste de formation ou plutôt d’expérience, influencé au cours de son adolescence par l’œuvre de Charles Maurras, ardent militant nationaliste avant-guerre et d’ailleurs irrésistible candidat rex iste séduisant aussi bien les masses wallonnes que flamandes, verra son destin métamorphosé avec la conflagration européenne de 1940.
Homme politique intransigeant et charismatique qui remplissait les Palais des sports d’Anvers et de Bruxelles lors de ses meetings, De grelle était cependant un ‘’activiste’’ parfaitement pacifique au cours des années trente, ne cultivant aucun doute sur ses chances d’accéder rapidement au pouvoir. Il ne se déplaçait jamais armé et ne ressentait nullement le besoin d’être protégé par un quelconque gorille. Mais les premières manœuvres hit lériennes à l’Est allèrent repeindre en noir et blanc toute la scène politique européenne.
Le camp antifasciste se montrait dès lors d’une violence inouïe envers tout individu défendant une doctrine nationaliste ou réactionnaire en le confondant publiquement par calcul électoraliste à un pro-allemand na zi. Cette propagande réussit fort bien en Belgique et les espérances politiques de De grelle s’évaporèrent brutalement, au profit de sombres ‘’banksters’’, dupeurs, qui agitaient un catholicisme de papier. De grelle avait laissé passer sa chance quelques mois auparavant quand il pouvait encore compter sur nombre de généraux et d’officiers dans une conquête moins démocratique du pouvoir.
Il s’en mordit les doigts. Et le temps de la paix et de sa propre sécurité était bel et bien achevé …
La guerre déclarée, des soldats français vinrent le rafler avec quelque 12 000 de ses camarades. Beaucoup furent tués, torturés et emprisonnés.
De grelle lui-même dut subir les pires outrages, des sévices, des coups innombrables lui coûtèrent douze dents, et ces démocrates lui urinèrent dans la bouche fermement maintenue ouverte par ses tortionnaires. Mais on ne l’assassinat point, les services secrets étant convaincus qu’il connaissait les plans militaires du prochain ‘’blitzkrieg’’ d’H itl er.
Paradoxalement, la propagande marxiste qui le ciblait en le désignant comme un auxiliaire na zi depuis des mois lui sauva la vie …
Rentré au pays, dégoûte plus que jamais, par les démocraties libérales, De grelle s’engagea dès sa création en tant que simple soldat à la Waf fen S .S Wallonie bien que le F. üh.rer lui proposa immédiatement le grade d’officier qu’il rejeta sans réflexion : il voulait faire ses preuves sur le front et participer à la formation d’une nouvelle Europe, celle des héros.
À suivre …
Suite des aventures de Léon Degrelle
Son sacrifice fut surhumain. Traversant des milliers de kilomètres, affamé, blessé sept, huit, neuf fois dans des corps à corps épouvantables, De grelle vivait. Malgré l’effroyable hiver russe de 1941-42 qui eut la peau de tant de ses camarades : ‘’ Les membres atteints devenaient, en deux minutes, livides comme du parchemin. Nul ne se fut risqué à uriné au dehors. Parfois le jet lui-même était converti en une baguette jaune recourbée. Des milliers de soldats eurent les organes sexuels ou l’anus atrophiés pour toujours. Notre nez, nos oreilles étaient boursouflés comme de gros abricots, d’où un pus rougeâtre et gluant s’écoulait. C’était horrible, horrible. (…)
Jamais, je crois, nulle part au monde tant d’hommes n’ont souffert autant.’’
Et comme si les affres de la nature ne suffisaient pas à mortifier le corps et l’âme, les assauts des Soviétiques s’intensifiaient et se renouvelaient sans cesse. Il fallait tenir. Tuer ou mourir.
‘’Dans la seule journée du 28 février 1942, dans une bourgade détruite nommée Gromowaja-Balka (Vallée du Tonnerre !), et où notre bataillon résistait depuis huit jour à l’assaut de quatre mille Russes, nous perdîmes, dans une empoignade effroyable qui dura de six heures du matin jusqu’à la nuit, la moitié de nos camarades ! Nous nous défendions désespérément parmi les cadavres des chevaux gelés, pétrifiés, sur lesquels les balles résonnaient comme sur du cristal. Les Russes avançaient en rangs serrés, drapés dans leurs longs manteaux violâtres. Sans cesse, des vagues nouvelles surgissaient, que nous fauchions sur les étangs gelés.’’
Acteur sanglant et ensanglanté et héros immensément respecté de ces combats d’où il ressortit miraculeusement vivant (mais brisé et désarticulé littéralement), De grelle est un témoin et un ‘’critique’’ légitime des responsabilités de certains hommes de premier plan dans la formation de ce bourbier oriental et dans la défaite si cruelle à ses yeux. Il tient responsable en premier lieu Mu ssolini (qu’il admire par ailleurs) de cette défaite, lui le Du ce, trop orgueilleux, à la recherche d’une victoire de prestige qui lui échappait désespérément, qui se lança au plus mauvais moment dans une expédition en Grèce provoquant l’intervention britannique dans la région et qui fit perdre cinq semaines capitales à l’entreprise allemande (et européenne !) en Russie. Un laps de temps suffisant pour Staline pour préparer sa défense et imaginer tous les scenarii possibles …
Paulus est également violemment critiqué et est présenté comme un lâche de la pire espèce qui osa abandonner entre les griffes des Rouges 200 000 hommes … condamnés à mort. Alors qu’une importante partie d’entre eux aurait pu non seulement sauver leur vie mais également affaiblir temporairement la machine de guerre soviétique en perçant la ligne qui encerclait l’armée allemande. Ralentir coûte que coûte les hordes staliniennes devint alors l’obsession de De grelle qui lui et ses camarades préservèrent de fait la vie de centaines ou de milliers de civils allemands (et français) et épargnèrent du viol collectif d’innombrables femmes européennes.
Le journaliste, le guerrier, l’écrivain De grelle le raconte et le démontre si bien ! ** » »
Article de Valentin BARNAY paru le 26 / 11 / 2010.
** Léon De grelle, ‘’H it ler pour mille ans’’, Les Editions de l’homme libre.
* La bannière historique à croix de Bourgogne :
http://www.cancoillotte.net/IMG/jpg/Photo_Croix_StAndre.jpg
Autrefois très populaire et symbolique des vielles terres d’empire des ducs de Bourgogne (presque autant que le sont encore aujourd’hui celles de Corse ou de Bretagne), ayant été celle arborée par Léon Degrelle et ses compagnons Wallons … elle est aujourd’hui complètement oubliée du fait de sa diabolisation.
Ce n’est heureusement pas le cas pour les aventures de Tintin, reporter au petit XXème … et pourtant.
faut pas déconner ras le cul des juif à l’époque ils n’étaient que deux millions en 1945 ,quand est ce que la vérité va éclater!!!