« Une voix étrangère à la nation, la voix de l’usure et de l’avidité, commande tous nos mouvements. Nos nations respirent un air empoisonné. A l’origine de notre économie il y a un non sens. Une nation doit produire pour elle, pour sa force, pour sa nourriture, pour sa santé comme une bête chasse et mange. Mais nous, nous épuisons nos forces avec une autre pensée, avec une pensée contre nature, les yeux chavirés par le rêve de l’or. Entre le capital et la nation, il y a donc une hétérogénéité profonde et souvent une contradiction. »
Maurice Bardèche