« À mesure que diminue la liberté économique et politique, la liberté sexuelle a tendance à s’accroître en compensation. Et le dictateur fera bien d’encourager cette liberté-là. Conjointement avec la liberté de se livrer aux songes en plein jour sous l’influence des drogues, du cinéma et de la radio, elle contribuera à réconcilier ses sujets avec la servitude qui sera leur sort. »
Aldous Huxley
Il en va sans doute de même avec les animaux de laboratoires (dont les comportements servent beaucoup à « domestiquer » le genre – pardon – les « ressources » humaines)… Huxley est allé beaucoup plus loin dans son étude du raffinement dans l’abrutissement par la distraction – avec son
« Meilleur des Mondes » (et sa suite) qu’Orwell, dont le coup de génie à surtout été la « novlangue » – ou comment supprimer toute capacité d’expression efficace d’une quelconque pensée ēvoluée. Il est intēressant de remarquer que le frère d’Aldous, Jullian, fut précisēment nommé à l’UNESCO pour mettre en œuvre de telles campagnes de nivellement vers le plus vulgaire dénominateur commun des masses de cons-sommateurs.
Pourriez-vous, s’il vous plaît, indiquer la source précise de votre citation?
Aldous Huxley est, tout comme Edward Alexander Crowley, un parfait exemple du degré insurpassable de dégénérescence mentale et morale qu’ont atteint les ‘’élites’’ britanniques ; lesquels sont exclusivement maçonniques.
Son ‘’Meilleur des mondes’’, il le souhaite !
Les ‘’élites’’ britanniques n’ont aucun sens de l’humour.
Et d’ailleurs elles ne plaisantent jamais … et surtout pas quand elles pourraient nous en en donner l’illusion :
http://vahineblog.over-blog.com/2015/03/un-article-de-slate-fr-qui-confond-juste-les-causes-et-les-consequences-huxley-et-orwell-tous-deux-francs-macons-de-hauts-rangs-n-on
« Huxley et Orwell, tous deux francs-maçons de hauts rangs, n’ont pas » deviné » le futur, comment l’auraient-ils pu ?
Huxley et Orwell ont DECIDÉ ce que devait être le futur, en ont fait des livres et eux et leurs pairs font en sorte que cela arrive …
C’est comme ça que ça marche, les choses n’arrivent pas par hasard, tout cela a été prévu de longue date…
Si vous n’avez pas lu : » Le meilleur des mondes » d’ Huxley et « 1984 » de G. Orwell, il est urgent de la faire, et vous pourrez constater à quel point nous sommes proches de cette société ( un mélange des deux ) dont ils ont rêvé et qu’ils mettent en place inéluctablement … »
Je vous suis sur Orwell… mais j’ai encore un doute sur Aldous (cependant pas sur Julian) Huxley; ça ne serait pas la première fois dans une grande famille britannique que les frères ou sœurs se déchiraient entre eux (voir les Mittford ou chez les anglais d' »accession »… chez les Montaigu) – ou alors pourquoi nous rendre l’indien sympathique? Et pourquoi nous émouvoir avec son suicide final? Nous rendre inéluctable leur « progrès »?
Pour l’humour… je ne sais pas (c’est une affaire de strates; plus on monte et plus il est froid; plus on descend, et plus il se bennyhillise) ce qui, en revanche, m’est une certitude, c’est l’inexistence de ce fair-play qu’ils ne se hasardent à pratiquer que lorsque la chose est de peu d’importance; ou lorsqu’ils ont la certitude de gagner… raison pour laquelle il est chaudement recommandé de
« tirer les premiers » et l’une des erreurs majeures de Hitler fut de les laisser rembarquer à Dunkerque. (Hélas; comme l’observait Cēline: « l’Histoire ne repasse pas les plats »!)
Dommage… le monde eût pu être de beaucoup plus agréable à vivre que sous la férule « éclairée » des anglo-hi-han-kees et le messianisme de la pièce rapportée…!