Notre génération fait face à des problèmes sans précédent qui appellent des solutions radicales. Et le temps ne joue pas en notre faveur : quand nous serons vieux, si rien ne change, l’Europe sera condamnée racialement. Nous devons donc nous demander comment nous devons agir afin de la sauver. Deux visions concurrentes s’affrontent aujourd’hui au sein de notre famille de pensée.
Spontanéisme et Doctrinalisme
La première de ces visions, que l’on peut qualifier de « spontanéisme » est fondée sur l’idée selon laquelle la France sera sauvée par l’action spontanée des masses. Son versant « martial » est la vision selon laquelle une guerre civile entre Blancs et non-Blancs finira par éclater soit quand les premiers « en auront marre » soit quand les seconds montreront leur vrai visage en tentant de renverser l’État pour fonder, par exemple, une république islamique.
Son versant « électoral » est l’idée selon laquelle le peuple excédé finira par faire accéder au pouvoir un candidat de la Droite nationale. Souvent, les partisans de cette vision opposent le « bon sens » populaire à la corruption des élites et réclament davantage de démocratie directe, notamment au moyen de référendums : c’est ce que l’on appelle le « populisme ».
Le spontanéisme est fondé sur deux postulats :
-celui selon lequel le peuple sait ou saura naturellement ce qui est bon pour lui.
-celui selon lequel les responsables essentiels de la situation actuelle sont les membres de l’élite dirigeante et non les hommes et les femmes des classes modestes ou moyennes.
Par conséquent, nul besoin d’éduquer le peuple : il suffit de « dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas » et de dénoncer les mensonges des médiats à propos des nationaux (on appelle cela la « dédiabolisation ») ou de quelque affaire particulière (les chiffres de l’immigration, par exemple).
De l’autre côté, on trouve les partisans de la Doctrine (un projet, global et cohérent, de société, soutenu par une certaine vision du monde) qui pensent au contraire que le peuple est profondément corrompu par les valeurs dominantes et qu’il faut accomplir un travail en profondeur visant à diffuser NOS valeurs, NOTRE conception du monde, avant d’envisager la simple possibilité de prendre un jour le pouvoir et de l’utiliser pour construire l’Ordre nouveau que nous appelons de nos vœux. En clair, la révolution culturelle doit précéder et accompagner la révolution politique. Nous appellerons ces derniers les « doctrinalistes ».
Qui a raison ?
Pour le savoir, nous étudierons deux phénomènes de société qui ont été longtemps en butte à l’opposition de la Droite nationale et nationaliste : l’avortement et le métissage. La loi Veil a été promulguée le 17 janvier 1975. Ce graphique nous montre que très vite, le nombre des avortements annuels s’est accru jusqu’à se stabiliser au-dessus de la barre des 150 000. Selon une étude de l’INED, 40 % des femmes ont eu recours à l’avortement une fois dans leur vie. 97 % des pères sont informés de l’interruption de grossesse et ils sont d’accord dans 80 % des cas. En cas de relation instable ou de rupture, 83 % des pères sont tenus au courant et ils sont d’accord à 56 %.
D’ailleurs, après plus de trois décennies d’avortement massif, celui-ci a acquis un capital sympathie exorbitant auprès des intéressées. Selon une enquête Opinionway réalisée en janvier 2011), « environ 83 % des femmes interrogées ont affirmé qu’elles seraient prêtes à se mobiliser pour défendre le droit à l’IVG si ce droit était remis en cause en France ».
Dans le cas de l’avortement, la réponse est donc sans appel : les Français sont largement favorables à ce dernier et la loi Veil n’a donc fait que répondre à leurs attentes.
Voyons maintenant ce qu’il en est du métissage.
Un article du journal Le Figaro, écrit par Cécilia Gabizon datant de juin 2010 et intitulé « Pourquoi la France compte 27 % de mariages mixtes » nous apprenait que « en 1984, plus de la moitié des Français voyaient d’un mauvais œil le mariage de leur enfant avec une personne d’origine arabe. Aujourd’hui, ils sont 27 % à repousser l’idée d’une union avec une personne d’origine arabe, 21 % pour un Africain et 14 % pour les Asiatiques, selon les chiffres d’un récent sondage IFOP pour l’hebdomadaire La Vie […] ».
Là aussi, le constat est donc sans appel. Et nous pouvons dire, finalement, que le mal est bel et bien incrusté au plus profond des cervelles françaises.
Deux types de réponse sont alors possibles, selon les fins que l’on poursuit :
-Si l’on veut sauver la France, alors il faut s’opposer frontalement aux mythes et aux lubies modernes, envers et contre tous.
-Si l’on pense avant tout à exister politiquement et médiatiquement, comme les « populistes », alors on transige avec les erreurs en vogue. C’est ainsi que Marine Le Pen, pour s’attirer la sympathie d’un électorat féminin qui a longtemps boudé le Front national, a affirmé qu’elle ne souhaitait pas abroger la loi Veil. De même, quand un discours authentiquement nationaliste devrait être intransigeant sur le plan racial, les populistes se font les zélateurs de l’assimilation des allogènes, et ne réclament plus que l’expulsion des clandestins et autres délinquants binationaux : c’est qu’une partie de l’électorat national voudrait bien voir expulser les petits cons qui ont cramé sa voiture, mais attention, pas ses voisins du dessous d’origine tunisienne, qui sont des gens très bien, tout à fait intégrés ! Et pendant ce temps, tous ces gens très bien remplissent nos maternités de leur marmaille et engrossent les femmes européennes…
Conquérir les institutions ou les transformer ?
Nous devons à présent aborder un point particulier de la querelle des spontanéistes et des doctrinalistes. Les premiers pensent qu’une fois le pouvoir politique conquis (aux élections présidentielles, puis aux législatives essentiellement), il ne sera pas utile de réformer la forme des institutions. Les seconds pensent qu’au contraire la forme des institutions n’est pas neutre, et que le sauvetage de la France nécessitera de supprimer ces dernières telles qu’elles existent actuellement, pour les remplacer par d’autres. On pourra appeler les premiers « réformistes » et les seconds « révolutionnaires ». Pour savoir lesquels des deux ont raison, nous étudierons le problème de la démocratie (essentiellement à travers la question de la souveraineté populaire).
Commençons par définir la démocratie : elle est un « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». Elle est notamment caractérisée la pratique du suffrage universel. Dans un article publié sur l’ancien site du Mouvement Saint-Michel, Vincent Reynouard expliquait que :
« la démocratie clame : “Je suis chapeau vide, car c’est le peuple, et lui seul, qui décide de ce qui en sortira. C’est ça la souveraineté populaire”. Mais qu’est-ce que la souveraineté populaire, si ce n’est l’affirmation selon laquelle le pouvoir vient du peuple (donc de l’homme) qui en est l’origine, le détenteur, et qui peut en user comme bon lui semble ? Par conséquent, la démocratie n’est pas un “chapeau vide”, bien au contraire ; ne reconnaissant comme légitime que ce qui émane du vote du peuple, elle exclut, par essence, toute idéologie qui, pour une raison ou pour une autre, s’oppose au dogme de la souveraineté populaire. »
Il avait compris la ligne de fracture qui sépare les nationalistes des libéraux : les premiers estiment que la liberté individuelle doit s’effacer devant l’intérêt de la nation et les impératifs éthiques. C’est ainsi que les libéraux seront partisans d’une dérégulation généralisée des comportements déviants au nom de la « liberté », la seule limite à cette dernière étant qu’elle « n’empiète pas sur celle des autres ».
Il est pourtant bien évident qu’à peu près toutes les actions humaines ont des conséquences sur la vie des autres. L’État libéral est donc le théâtre d’une guerre juridique entre des groupes aux intérêts différents : des associations de personnes obèses ont par exemple pu réclamer la suppression des publicités prônant une alimentation saine et la pratique d’exercices physiques, car, selon eux, elles étaient de nature à favoriser leur exclusion et leur stigmatisation ; de même, une association comme celle du sioniste Bernard Anthony (l’AGRIF) va réclamer la condamnation d’Houria Bouteldja pour « racisme anti-blanc » tandis que celle-ci va affirmer que ses déclarations relèvent de la liberté d’expression garantie à chacun par l’État de droit. Comme en réalité, il n’y a aucun moyen de trancher en restant strictement neutre, le bien et le mal deviennent des concepts flous qui évoluent en suivant les mouvements d’opinion.
Pratiquement, la « souveraineté populaire » gênera l’action d’un nationaliste parvenu au pouvoir. Car les mandats électoraux étant courts, il devra donc répondre de sa politique devant le peuple : un homme qui se souciera avant tout de faire ce qui est conforme au bien sera rapidement destitué, tandis qu’un démagogue qui cherchera à mentir pour séduire le peuple sera souvent réélu ! Adolf Hitler notait, dans Mon Combat :
« Quels désastres entraînent cette institution moderne de la souveraineté parlementaire, c’est ce qu’un lecteur de la presse juive peut difficilement s’imaginer, s’il n’a pas appris à réfléchir et à juger en toute indépendance. Elle est, en premier lieu, l’occasion de noyer l’ensemble de la vie politique sous un flot de petits incidents d’une mesquinerie incroyable. Ainsi, plus le véritable chef se retirera d’une activité politique, qui, dans la plupart des cas, consistera moins en créations et en travail féconds qu’en marchandages divers pour gagner la faveur de la majorité, plus la nature même de cette activité politique conviendra aux esprits mesquins et par suite les captivera. »
Car le peuple, comme nous sommes bien placés pour le savoir, est changeant, perméable aux idées les plus fausses tant qu’elles flattent ses bas instincts. D’ailleurs, on ne peut que suivre le Führer quand il dit :
« Toute action de génie n’est-elle pas ici-bas une offensive prise par le génie contre l’inertie de la masse ? Alors que doit faire l’homme politique qui ne réussit pas par des flatteries à gagner à ses projets la faveur de cette foule ? Doit-il la stipendier ? Ou bien doit-il, en présence de la stupidité de ses concitoyens, renoncer à accomplir les tâches qu’il a reconnues de nécessité vitale ? Doit-il se retirer ? Doit-il rester ? Comment un homme qui a du caractère peut-il arriver à résoudre le conflit entre une pareille situation et ce qu’il juge décent, ou plus exactement honnête ? Où est ici la limite qui sépare le devoir envers la communauté, et les obligations de l’honneur ? »
Voilà pourquoi notre classe politique est intégralement composée d’arrivistes sans scrupule. Tout nationaliste, par conséquent, ne devra être en rien responsable devant l’opinion mouvante des masses, mais devant ses supérieurs hiérarchiques qui eux-mêmes, jusqu’à l’échelon suprême, seront responsables devant le bien commun de la communauté nationale et devant l’honneur.
Nous pouvons en conclure que la forme des institutions n’est pas neutre et que la France ne pourra pas être sauvée sans l’abolition de la démocratie. Et comme celle-ci découle de conceptions plus théoriques (comme on l’a vu à travers l’opposition entre nationalistes et libéraux), nous avons la confirmation que la révolution des mentalités devra être accomplie avant celle des institutions.
La révolution des mentalités
Certains nous diront : « Vous nous avez expliqué que le peuple est constitué de faibles d’esprit à l’opinion mouvante. Comment changer, par conséquent, leurs mentalités ? »
D’abord, il faut bien garder à l’esprit que, puisque les peuples ont pu passer de conceptions saines de l’homme, de la vie et de la société (dans le monde traditionnel) à des conceptions erronées et dégénérées (dans le monde moderne), une telle révolution est possible. Elle est même, comme nous l’avons vu, la condition de toute révolution effective.
Devant les problèmes qu’il rencontre dans le monde qui l’entoure, chacun a la possibilité, surtout à l’heure de l’internet 2.0, de puiser dans le discours des partisans du système en place, et dans celui des opposants au système en place. Lorsque tout va bien, et que les attentes des individus sont comblées par le système, celui aura tendance à justifier son inertie béate à l’aide des valeurs dominantes. Mais quand elles ne sont pas comblées, il est alors plus réceptif à un discours contestataire. La première condition de la mise en place de la révolution culturelle puis de la révolution politique est donc l’existence d’un contexte historique adéquat. Ce qui est le cas de nos jours, comme nous l’avons vu plus haut, et comme l’atteste la montée de l’abstentionnisme électoral et des partis populistes qui prétendent s’opposer au système.
Cependant, lorsque ce mécontentement n’est pas guidé par une élite révolutionnaire, le peuple est susceptible de tomber dans tous les pièges et toutes les manipulations (et nous le voyons aujourd’hui à travers le triomphe des populistes). Il n’ira pas jusqu’à remettre en cause son propre comportement et l’ensemble des valeurs sur lesquelles il est fondé sans être éclairé par la doctrine révolutionnaire. C’est cette élite, porteuse de cette doctrine, qui constitue la seconde condition de toute révolution et que nous devons nous efforcer d’incarner. Il n’y a pas de secret : il faudra inlassablement répéter les mêmes vérités, de la manière la plus pédagogique possible.
Enfin, l’expérience historique nous apprend aussi que toute révolution nécessite que celle-ci soit menée par un homme d’une droiture et d’un talent exceptionnels. Cet homme n’est pas encore venu, mais de toute façon, il ne pourra venir que lorsque les deux premières conditions auront été remplies.
Nous conclurons cette partie par une citation du leader de la phalange espagnole José Antonio Primo de Rivera :
« Pour être féconde, une révolution exige la conscience claire d’une règle nouvelle et une volonté résolue pour l’appliquer, mais cette capacité de voir et d’appliquer la règle est justement le signe de la perfection. Un peuple effondré est incapable de percevoir et d’appliquer la règle : son désastre réside justement là. Avoir les ressorts nécessaires pour mener à bien une révolution féconde est le signe inéquivoque que la révolution n’est pas nécessaire. Et, au contraire, avoir besoin de la révolution, c’est manquer de la clarté et de l’élan nécessaires pour l’aimer et la réaliser. En un mot, les peuples ne peuvent se sauver en masse eux-mêmes parce que le fait d’être apte à réaliser le sauvetage est la preuve qu’on est sauf. Pascal imaginait que le Christ lui disait : “Tu ne me chercherais pas si tu m’avais déjà trouvé”. Le génie des révolutions pourrait dire la même chose au peuple. »
De la citation finale de José Primo Antonio de Rivera , je retiens que les Peuples ne peuvent se sauver eux-mêmes parce qu’ils ne voient pas d’eux-mêmes où est le Bien commun. C’est vrai, il faut leur montrer « que ça ne va pas ». Alors allons tout de suite au principal, on se métisse allègrement. Normal, discours officiel, la Race n’existe pas. Un nègre est bien moralement, c’est assez pour qu’une fille blanche l’épouse. On ne se conduisait pas comme ça avant! On pouvait vivre côte à côte avec des races étrangères, aux colonies par exemple, on ne se métissait pas. Parce que notre race, elle existe, on la ressent, on n’a même pas à comprendre. On se marie pour perpétuer sa Race, et non pour l’aliéner. J’appelle ça du racisme naturel et spontané. C’est le comportement sain qui avait cours depuis les cités grecques où on était si fier de ses Ancêtres et de sa Race. Aujourd’hui le racisme est un délit: on refoule la conscience raciale dès l’enfance, « la conscience raciale, c’est mal », on n’a plus le droit de remarquer que notre grand’mère n’est pas une négresse à plateaux. Mais que diable, ce changement de mentalité a été forcé! Le Racisme est déclaré délit, AVEC DES LOIS ANTIRACISTES QUI ENVOIENT EN PRISON! Que voulez-vous que le Peuple comprenne si on ne ferme pas leur gueule, par TOUS LES MOYENS, aux législateurs antiracistes?
Très bien comme article !
Après une dizaine d’année dans les milieux activistes (d’Unité Radicale au Bloc Identitaire) tout en étant dans le milieu politicien (FN puis MNR) j’ai réalisé de la faiblesse du militantisme national.
Celui ci ne peut être efficace que s’il est couplé à trois autres volets : la formation (physique, idéologique et technique comme la prise de parole en public etc), l’entrisme (dans les syndicats, de salariés ou de petits patrons, mais aussi dans les associations de parents d’élèves ou de consommateurs) et l’action sociale solidaire (comme les frères musulmans et leurs cours de soutien scolaire ou les distribution de repas…)
Une première action concernant l’entrisme pourrait être l’implication des nôtres dans le milieu syndical et les instances représentatives du personnel (on évitera ainsi les soirées couscous des comités d’entreprise, et on bénéficiera de formations économiques ou de militantisme et d’heures de délégation)
Enfin je pense que nous ne pas trop nous opposer aux identitaires ou frontistes de manière visible mais plutôt influencer leurs militants de base…
@ Jacqueslepatriote : Tout à fait d’accord avec vous concernant le caractère naturel de la conscience et de la fidélité ethniques,
En revanche, j’ai quelques objections à émettre concernant l’affirmation suivante : « le changement de mentalité a été forcé ».
D’un certain point de vue, c’est vrai car le contrôle stratégique de certains points clés du combat culturel par nos ennemis (médiats, éducation, industrie du divertissement, université) leur permet de créer un consensus social autour de leurs valeurs.
Mais au delà du fait que l’évolution idéologique de notre société s’inscrit dans un mouvement historique assez ancien (qui date au moins de la Renaissance), il ne faudrait pas surestimer leur influence, de nombreux signes montrant que le peuple (particulièrement les couches victimes de la crise et de l’immigration) se détourne de ce consensus, comme l’atteste la montée de certains partis populistes, Il s’agit certes d’une réaction trop timide et neutralisée par de faux opposants au système que nous combattons, mais elle a le mérite d’exister.
« Mettre hors d’état de nuire » les législateurs antiracistes est une bonne idée, mais cela suppose d’être assez puissants pour y arriver, donc d’avoir au moins une partie substantielle du peuple acquise à nos idées.
@ NR : Concernant l’entrisme, il ne peut s’agir d’une stratégie intéressante sur le plan collectif (au-delà, donc, de l’éventuel enrichissement militant individuel) que si les nôtres ont les moyens de prendre le contrôle d’un organisme ou du moins d’une section locale d’une centrale syndicale.
Compte tenu du verrouillage de ces appareils par des communistes malgré la présence importante de sympathisans de la droite nationale dans leurs rangs, il serait peut-être plus intéressant de créer un syndicat défendant des positions nationalistes. Il y aurait beaucoup à dire sur le terrain du syndicalisme et les perspectives que nous y aurions, mais malheureusement nombre d’entre nous ne peuvent ou ne veulent militer ouvertement pour des idées nationalistes sur leur lieu de travail, ce qui représente un obstacle certain.
Concernant le Front National et les Identitaires, je pense au contraire qu’il est important de montrer à leurs militants et sympathisants les failles de leur doctrine pour les amener à militer dans les rangs nationalistes. ;)
Oui l’idéal est un syndicat nationaliste mais… le MEDEF et la CFDT ont fait pondre par un précédent gouvernement une loi sur la « représentativité » qui de fait empêche toute création d’un syndicat hors de la bande des 5 ( CFDT CGT FO CFTC UNSA) (SUD Solidaires ne représente rien sauf dans l’éducation « nationale », la SNCF et la « culture »)
Le syndicat le plus « franchouillard » reste FO attaché à la « république » mais dans les faits ou il y a le plus de natios. Et c’est le seul qui ne donne pas de consigne de vote… En plus l’adhésion a FO permet l’adhésion d’office a l’association de consommateurs AFOC ;o)
Je dis ca mais bon vous pouvez tester l’entrisme aussi a la CGT ou la CFDT ;o)
En tout cas ca permet de se former individuellement (droit du travail, économie, prise de parole en public, rédaction de tract etc) alors n’hésitez pas !!!
Non, vous faites vraiment tous erreurs.
Ce qu’il faut avoir avant tout et il est évident que vous en êtes tous dépourvus; c’est des « couilles » et un sens plus physique du Courage.
Je vous ai déjà vu à l’oeuvre dans la rue, s’apostrophant avec son voisin de jardin des arabes qui trainent dans le centre ville mais, sans couilles, dés qu’une mini bande d’ados pré pubère bronzé avec une masse musculaire d’enfant de 10 ans passe devant et vous toise du regard, vous baissez immédiatement les yeux sous peine de vous faire reconnaître et créez chez vous le mal être identitaire.
Pure Hypocrite pensant , vous militez devant votre télé en essayant de manipuler votre mari ou femme, souvent vos gosses qui reviennent à la maison avec Fatna et Oumou parce qu’elles sont trop « bonne et cools », prêtent à rendre à la France ce qu’Elle leur a donné: des jolies petits bébé Benetton.
Ah les salopes! s’esclaffent les parents incrédules qui se disent que leur fils va seulement se vider les burnes.
Hélas, il a oublié les bijoux au fond du trou et naîtra cette abomination qui seul vous fera plier les genoux mainteant , demain dans 10 ans ou cent ans…..le Métissage est en route est aucune ceinture de chasteté, morale soit elle, ne peut l’arréter >>>>>>>>>>>>>>>PARTI METIS<<<<<<<<<<<<<<<<<<<<
La ceinture de chasteté est un mythe vous le savez ? Comme toute la pourriture de ce qui vous sert de réflexion et d’idéologie… Vous croyez être le premier demeuré à penser que la « modernité » et l’abolition des frontières et des identités est l’avenir ? C’est non seulement le passé, mais l’exact contraire de l’avenir, c’est le sceau d’infamie qui a marqué les fins de toutes les civilisations. Qu’importent que nous l’emportions puisque nous avons raison. Et demain dans votre sous-humanité dégénéré, de nouvelles (si les anciennes n’ont pas fait de vous l’esclave dont elles rêvent) élites renaîtrons et, à nouveau, des pouilleux dans votre genre réapparaitrons avec leurs idées de morts, de négation des êtres et de la nature.
Ou peut-être aurons-nous gagné et vous ne serez plus vraiment un problème.
Intéressant … Lorsque vos aspirations se réaliseront… ce qui en soi est une possibilité fort envisageable (malheureusement), et que la race blanche dominera votre petit monde dites nous si vous avez trouvé le bonheur à écraser tous les autres pour assouvir votre soif de puissance. Personnellement, j’ai beau chercher, je ne vois pas la finalité de la domination de la race blanche (comme vous aimez à nous appeler) sur les autres…
Un homme, Giordano Bruno brûlé par la Sainte Eglise pour avoir dit des vérité trop troublantes sur l’Univers disait… « Dieu est en chaque homme, plus intérieur à lui-même que lui-même ne peut l’être. ». Il n’est pas d’homme au dessus d’un autre, relisez vos cours de philosophie et imprégnez vous d’amour plutôt que de nourrir votre haine en laissant grandir votre peur.
De ma vie je n’ai jamais constaté que les hommes blancs étaient ni plus intelligents, ni plus beau, ni plus forts, ni dotés de plus de bonté ou d’une quelconque forme supérieure de sagesse que les arabes, les noirs, les asiatiques, les perses, la amérindiens ou qui sais-je encore… Alors supériorité de quoi? Si les blancs étaient supérieurs, si vraiment il existait un hiérarchie raciale… Ne pensez vous pas qu’alors la question ne se poserai pas? Et qu’alors la race blanche dominerait de toute façon?
Au contraire ce que l’on constate c’est que cette sois disant race blanche de tout temps n’a eu de cesse que de vouloir éradiquer ou dominer tout ce qui ne lui ressemblait pas assez… Nous sommes les auteurs des plus grands massacres jamais commis, et de tout temps… Et rien n’indique que l’on en ai vu la fin (surtout lorsque l’on vous lit)… Pas que nous soyons les seuls capables de commettre des horreurs et j’allais dire des erreurs… Mais enfin, peut-être faudrait-il un jour songer à apprendre de notre passé… Ou bien nous n’avons pas la même conception de l’être humain… C’est drôle lorsque l’on regarde dans les synonymes du mot « humain » voilà ce qu’on y trouve : accessible, altruiste, bienfaisant, bienveillant, bon, compatissant, compréhensif, créature, être, gens, homme, individu, indulgent, mortel, philanthrope, secourable, sensible, tolérant.
…
Ceci me laisse pensive… Et en même temps ça ne colle pas du tout avec la réalité ni avec votre vision du monde semble-t-il…
Votre ethnomaschisme vous est exemplaire. Vous feriez un beau cas d’étude pour Kevin McDonald. Nous vous conseillons de vous tremper deux fois par jour dans un tonneau de goudron pour masquer cette immonde blancheur. Car après tout, ce qui ont permis à l’Afrique de survivre étaient Blancs, ceux qui ont mis fin à l’esclavage étaient Blancs, ceux qui ont mis fin ou tente de mettre fin aux tortures sur les animaux sont blancs. Mais tout cela ne rentre pas dans le cadre de votre propagande raciste n’est-ce pas ? À tous les médecins, ingénieurs, chefs de peuples blancs, vous préférez les mensonges de Finkielkraut, Taubira et quelques autres étrangers. Les massacres des Perses par les Juifs ? La faute des Blancs. Lse génocides permanents en Afrique depuis 10 000 ans ? Les Blancs. Ebola ? Les Blancs ?
Nous ne demandons rien d’autres que la survie de notre race : quand l’Afrique aujourd’hui est à 99% noire, l’Asie à 99% jaune, l’Europe est à 50% envahie. Considérant que les Blancs ne forment qu’une infime minorité de la population mondiale, nous nous alarmons de notre disparition, comme nous dénonçons la disparition des espèces animales et végétales sacrifiées par la société capitaliste mondialisée. La même qui a imposé l’invasion et le métissage à l’Europe. Alors que vous, c’est visiblement le contraire.
Je soutiens totalement les deux réponses de la rédaction,qui par leur clarté,leur véracité reposant sur les faits ne peuvent être remises en cause.
A moins bien sûr d’être d’une mauvaise foi incommensurable.Eh oui Miranda,le monde dans lequel nous a fait éclore la providence n’est pas celui des bisounours!Les faits attestent que la lumiére de l’humanité est venue du monde…blanc!J’ai oublié le nom de l’Aristote africain…
Quant à Isaac,vous êtes les maîtres pour le moment,comme dirait Jürgen Graf.
Nous nationalistes,avons une foi inébranlable en l’avenir.Vous deviendrez un souvenir de l’histoire,ceux qui essayèrent d’effacer les identités,les caractères du monde,détruire son harmonie et son équilibre remontant au fin fond des âges.