« L’étranger toléré peut être utile à un pays, mais à la condition que ce pays ne se laisse pas envahir par lui. Il n’est pas juste de réclamer des droits de membres de la famille dans une maison qu’on n’a pas bâtie, comme le font les oiseaux qui viennent s’installer dans un nid qui n’est pas le leur, ou comme les crustacés qui prennent la coquille d’une autre espèce. »
Les étrangers d’aujourd’hui sont des races étrangères qui viennent abattre la maison, pour la reconstruire à leur goût.