Deux événements se télescopèrent et les étincelles qui en jaillirent devraient à terme réduire en cendres les tigres de papier qui nous narguent depuis si longtemps et essentiellement depuis la fin du dernier conflit mondial. Il s’agit d’une part de l’ouvrage du fils de Yehudi Menuhin, le célèbre violoniste juif, Gerard Menuhin « Tell the truth and shame the devil » (chez Amazon uk et Barnes) qui brise les tabous les plus tabou et proclame à tous vents que nous subissons « le plus grand mensonge de l’histoire », que le prétendu holocauste dont on nous gave sans répit n’a pas eu lieu et que l’Allemagne s’est laissée écraser sous la calomnie après avoir été écrasée par le fer et le feu d’ une coalition de vils intérêts et de calculs obscènes.
Conjointement, peut-on dire, apparaissait le livre d’Alain Finkielkraut « La simple exactitude » dans lequel cet éminent styliste assène le dit holocauste presque à chaque page sans en apporter la moindre preuve et sans répondre un seul instant aux pertinents arguments opposés à sa thèse par d’impavides révisionnistes n’ayant au cœur, loin de tout « antisémitisme » chimérique, que le souci d’exactitude, d’honnêteté, de justice et de paix.
Tandis que le philosophe médiatique, atteint de psittacisme, évoque le caractère « incommensurable » de l’holocauste, « le génocide de référence » et s’étend sur « ce crime méticuleux et sauvage » que fut « l’extermination des Juifs », Gerard Menuhin observe, confirmant en tous points la thèse de Robert Faurisson :
« Déjà la simple constatation que l’holocauste des Juifs ne puisse être mis en question et que la pression juive impose à des sociétés démocratiques des lois s’opposant aux questions dérangeantes suffit à la démonstration : il s’agit d’un mensonge. Sinon pourquoi ne serait-il pas permis de le mettre en doute ? Parce que cela pourrait peiner des survivants ? Parce que cela offenserait les morts ? Ce ne sont pas là des raisons suffisantes pour interdire une discussion. Non, de semblables lois ont été votées parce que la dénonciation du plus grand des mensonges entraînerait la révélation de tant d’autres mensonges et pourrait ébranler le fragile édifice de la société. »
Tout se poursuit aujourd’hui à l’occasion de l’évocation du 9 novembre 1938 en Allemagne et des commémorations du 11 novembre 1918 dont on persiste à ne présenter que l’aspect le plus sombre, l’omission et la distorsion suppléant l’objectivité.
Tout cela pourrait n’être que disputes académiques si le glaive d’une justice soumise (à qui ?) ne frappait les impénitents osant évoquer des faits aisément vérifiables, si n’était étouffée toute voix discordante au service de maîtres tentant de régir à leur discrétion les empires, les esprits et les cœurs. De même que nombre de dissidents les révisionnistes endurent toutes les avanies parce qu’ils ne peuvent accepter la dénaturation des documents, de l’histoire, des évidences et du simple bon sens.
Dès que l’on se livre à une recherche honnête on retombe toujours sur le point central du programme national-socialiste : la suppression de l’intérêt bancaire (die Brechung des Zinsknechtschaft) ce que Menuhin exprime en d’autres termes en stigmatisant l’élite financière et ceux qui en tirent les ficelles pour dominer le monde. CQFD, serait-on tenté de dire !
Jacques Vecker, 10 novembre 2018
Source : « Libre expression » (Château de Vaugran 3O480 St Paul la Coste)
N.B. : « Dites la vérité et vous humilierez le diable » de Gerard Menuhin, traduction française de Valerie Devon. Recension par Jeune Nation ici.
SAINT-LOUIS IX avait déjà au nom du Code de Droit Canon catholique interdit le prêt à intérêt lié et dénoncé les usuriers par le port obligatoire d’une rouëlle jaune devant et derrière ! J’ai l’édit en question qui est d’ailleurs disponible sur internet ! Avant lui PHILIPPE IV dit » LE BEL » avait opéré une TAILLE sur les riches le plus souvent les Juifs tous les dix ans, inventant ainsi le premier IGF ou ISF ! Mais sans les dérogations obtenues par FABIUS !!!