2018, Akribeia, 144 pp., 12 €
Pendant la guerre, des rumeurs extravagantes circulèrent au sujet du camp d’Auschwitz : les Allemands y testaient de nouveaux gaz de combat ; des détenus étaient électrocutés, gazés ou bien tués par milliers à l’aide de marteaux pneumatiques ; des personnes encore en vie étaient envoyées directement aux fours crématoires sur des tapis roulants ; des huiles, de la graisse et du savon étaient fabriqués à partir des cadavres des victimes. Rien de tout cela n’était vrai.
Lorsque les Soviétiques capturèrent Auschwitz au début de 1945, ils affirmèrent que des détenus avaient été tués sur des tapis roulants d’électrocution qui déchargeaient leurs victimes directement dans d’énormes fours et qu’au moins 4 millions de personnes avaient été assassinées dans ce camp. Cela non plus n’était pas vrai.
Dans l’immédiat après-guerre, « témoins » et « experts » répétèrent ces affirmations avec encore plus de fantaisie : les détenus étaient assassinés à l’aide de bombes à gaz, dans des chambres à gaz en toile ; le sol des chambres à gaz s’ouvrait pour décharger les corps ; des chariots conduisaient jusqu’aux fours des cadavres aussi bien que des personnes encore en vie ; les crématoires d’Auschwitz auraient pu incinérer 400 millions de victimes… Là encore, rien n’était vrai.
Ce livre offre une vue d’ensemble des nombreux mythes, rumeurs et mensonges auxquels les historiens « officiels » n’accordent plus aujourd’hui aucune crédibilité. Il explique également par quelles méthodes ridicules certaines allégations relatives à Auschwitz furent tenues pour véridiques et présentées comme « historiques », quoiqu’elles soient tout aussi mensongères.
Disponible sur la Boutique nationaliste