2019, Auda Isarn, 320 pages, 23.00 €
“Je dois échapper à cette atmosphère confinée, l’invasion, le fondamentalisme, la mauvaise nourriture, la gueule des coryphées… Circuler sans autres entraves que celles qui se dressent naturellement, humer le bon air frais, voir la lumière qui se répand sur des horizons neufs et renouer avec l’expérience de l’éveil.” Dans ce deuxième volume de son journal, Bruno Favrit continue à disséquer le monde, ses chimères, ses tournures, ses procédés, ses défaillances. Il nous invite à renouer avec une authentique acceptation de la vie dans son aspect le plus décisif. Un livre roboratif, rythmé par la nécessité de s’affirmer face au poison et à la confusion.
Homme d’action et de pensée, Bruno Favrit est né à Bordeaux. Il vit entre Vaucluse et Vivarais. A travers ses nouvelles et récits de voyage, il a exprimé son attirance pour les longues marches méditatives et l’air pur des altitudes. Il a également consacré des essais au panthéisme, à la philosophie gréco-romaine et à Nietzsche, et écrit un épisode du Hussard (Le Hussard ne perd pas le Nord) chez Auda Isarn.
Disponible sur la Boutique nationaliste