2018, Versi Pellis, 42 pages, 13 €
Traduction de Edwige Thibaut
Préface de Heinrich Himmler.
La première édition de la brochure de Heinz Corazza datait de 1937 et reprenait des articles parus au printemps 1936 dans l’hebdomadaire Das Schwarze Korps. Tirée a plusieurs dizaines de milliers d’exemplaires jusque pendant la guerre, elle ne faisait que traduire l’engouement existant en Allemagne pour la culture japonaise. Dépassant le simple cadre politique, bon nombre de valeurs semblaient unir intimement Japonais et Allemands : sens du sacrifice, amour de la patrie, culte des ancêtres et du chef, rigueur, autorité, spiritualité. Car parmi tous les peuples de la terre, le peuple japonais fut bien le seul à avoir possédé en commun avec les Européens cette aspiration à la sublimation guerrière qui prit la forme d’une chevalerie strictement codifiée : celle des samouraïs. Cela nous démontre qu’au-delà des races, une même aristocratie de style et d’attitude spirituelle peut faire se comprendre des hommes vivant à l’autre bout des océans et des époques.
Disponible sur la Boutique nationaliste
Deux livres sont à étudier:
1) Hagakuré (le livre secret des samouraïs) de Jocho Yamamoto (Edit: Camion noir)
2) La Chevalerie de Léon Gauthier (Edit: Pays&Terroirs).
Courage et honneur, certes, mais ce qui distingue la Chevalerie réside dans la forme (conception hylémorphique de la pensée aristotélicienne: la matière et la forme) qui n’est pas celle du Maha-Prajnâ-Pâramitâ-Hridrayam-Soûtra ou l’essence de la perfection de la sagesse suprême: » La forme n’est pas diffèrente du vide, ni le vide de la forme. La forme est vacuité. La vacuité est forme. Il en va de même pour les sensations, les perceptions, les formations mentales et la conscience. »
Il nous faut retrouver l’esprit de la 1ère Croisade, celui d’un Godefroi de Bouillon admirablement décrit par l’histoire René Grousset dans « L’Epopée des Croisades ». Croisés toujours, métissés jamais…
L’axe du combat nationaliste doit être celui de la spiritualité (le vertical) pour goûter le « moment présent » qui n’existe que dans la Béatitude, c’est à dire dans l’Eternité et non pas dans l’immortalité. Chez nous pas de « seppuku » mais le 5ème Mystère douloureux de notre très Saint Rosaire: Le Crucifiement et le don de sou à l’œuvre de la Rédemption, le chef d’œuvre de Dieu!