Le Nationalisme fera de la Nation France une communauté unique rassemblée derrière un seul homme, un individu qui devra se mettre au service du bien commun.
Rejetant les droits de l’homme, notre nation s’accompagnera d’une organisation verticale des métiers en corporation, d’une politique réactionnaire de re-migration, d’une priorité nationale envers le peuple sur l’étranger.
Notre politique sera farouchement anti-cryptocommuniste, contre le judéo-bolchevisme et contre toute forme de néo-libéralisme qui noie notre pays…
Oui mais pas que…
Notre Nationalisme ne pourra et ne vivra que sous le regard de Dieu, que ceux qui croient, les yeux écarquillés, que la Doctrine Catholique est l’essence même d’un produit communiste se trompe éperdument. Dieu ne s’est pas fait homme en la personne du Christ pour rassembler les peuples sous la bannière universelle de la paix dans le monde, de l’amour de son prochain et de l’acceptation de toute déviance mais il s’est fait chair pour expier nos fautes, nos péchés et pour sauver nos âmes.
Cette religion positive tend à nous rassembler sous la protection de Dieu et à exalter nos héros martyrs et nos Saints, c’est ce que l’on appelle une affirmation solide du principe vital de l’homme, une affirmation morale.
Mais le Nationalisme n’est pas une religion, il est l’émanation de l’homme vers un rapport sublime avec une loi supérieure qui dépasse tout individus encrés dans la Nation. Ainsi le nationaliste sera un camarade digne d’une société spirituelle.
Le Nationalisme est au-dessus de toute philosophie, c’est une vision organisée du monde, c’est une aperception qui nous guide depuis la nuit des temps mais que l’homme, corrompu par la monétisation et le consumérisme, a annihilé de son esprit, de son caractère, de son être. La faute en revient toujours au même mode de pensée archaïque et fallacieux, le judaïsme politique.
Il faut associer la pensée à l’action, de tout temps, nos peuples européens se sont ralliés derrière des hommes forts qui incarnèrent une doctrine saine pour la continuité de la race, une connaissance assidue de l’homme et de la réalité des lois qu’ils n’infligèrent pas par menace mais par compassion de leurs semblables.
Il aura fallu une première guerre civile mondiale, celle de 14-18, pour comprendre que les modes de pensées démocratiques étaient corrompus par l’asservissement mondiale capitaliste. Le fascisme mussolinien en a découlé car ses dirigeant avaient compris, au plus profond d’eux-mêmes, que leur gouvernement ne travaillait pas pour le peuple mais contre le peuple, que leur fierté nationaliste disparaissait pour laisser place à une consommation effrénée qui tendrait à un individualisme concret, la perte d’une foi nationaliste en découlerait inévitablement, laissant place au Nouvel Ordre Mondiale Judéo Politique.
Aujourd’hui, après notre défaite face aux Forces Judéo-Démocratique de 1945, qu’avons-nous gagné ? Le droit d’être esclave d’un mensonge devenu religion dans tous les pays démocratiques, je parle bien sûr de la Sacrosainte Foi Shoahtique. Cette foi castratrice qui nous empêche, nous homme blanc et fier, de confession catholique, de pouvoir élever notre voix sous peine de représailles terribles. Cette foi qui nous impose de rester le genoux fléchis à terre afin de contempler une invasion systématique de notre terre par des peuples afro-musulmans, ignorant nos coutumes, ne voulant pas s’intégrer, transformant ainsi notre continent en une Europe islamisée, cette foi qui désire ardemment voir les frontières du monde s’effondraient laissant place à un peuple métissé et esclave des petits écrans qui trônent dans nos foyers, voyant ainsi disparaitre la devise cher à notre cœur : « travail, famille, patrie ».
Cette foi ayant pour cœur la Terre promise d’Israël, peuple pur et qui dans ces dogmes les plus profonds, convoite une domination planétaire dans un gouvernement qui ne sera plus national mais mondial.
Mes amis, l’espérance est nationaliste.
Voici l’importance d’une discipline spartiate qu’il nous faut nous infliger, être rigoureux dans l’éducation de nos enfants mais de nous-mêmes aussi, d’où la nécessité parfois d’une rééducation de nos modes de pensées empoisonnées par les doctrines démocratiques rabâchés sans cesse par les esclaves du système, j’ai bien nommé l’éducation dite nationale.
Il faut que le nationalisme devienne, à part entière, un mode de vie fécond, il faut qu’il réécrive l’histoire, non pas pour la détourner à des fins politiques mais afin de faire éclater la vérité au grand jour.
Nous ne sommes pas des individus isolés éprit d’un monde matériel vivant de plaisir égoïste et momentanés, non, nous sommes une armée sous le regard bienveillant de Dieu et les générations suivantes se souviendront de nous comme des êtres courageux car nous aurons retrouvé nos âmes de soldats, une vie dirigée par une loi morale, une vie ou l’individu, par abnégation de lui-même, par le sacrifice de ses intérêts particuliers, par la mort même, réalise cette existence toute spirituelle qui fait sa valeur à l’homme.
Notre espérance nationaliste est un combat profond et quotidien, ce combat est dans notre manière de vivre et de percevoir le monde, il est dans l’attention que nous portons à nos amis et à notre famille. Il est, pour les croyants, dans l’église que nous fréquentons régulièrement, dans les prêches que le prêtre fait à sa communauté, il est dans la communauté dont nous choisissons d’être des membres à part entière, il est dans la terre que nous cultivons ou dans l’amour que la Patrie insuffle à notre cœur, il est dans le regard que l’enfant porte à son père, symbole du protecteur, de la virilité, du travail acharné mais aussi de l’héroïsme, il est dans le regard que l’enfant porte à sa mère, symbole de la vertu, de l’amour et de la compassion.
Par ces petites batailles du quotidien, nous ferons naitre un espoir nouveau, nous incarnerons la rédemption. La paix n’existe pas, il y aura toujours un ennemi immoral pour tenter de causer notre perte car les valeurs que nous défendrons seront trop abstraite pour lui, car elles iront à l’encontre de cette nouvelle foi en rigueur.
Mais qui a dit que nous désirions la paix ?
Le nationalisme n’aime pas la guerre mais la trouve nécessaire et légitime si quelqu’un porte atteinte à ceux que l’on aime et qui constitue ce que nous sommes collectivement.
Il nous faut nous entrainer inlassablement pour la prochaine grande lutte à venir, être prêt à en accepter les risques car l’ennemi, lui, ne s’inquiètera pas de notre sort quand il nous aura écrasé.
Notre vie est une bénédiction ainsi elle est un devoir impérieux, il faut sans cesse la conquérir, elle nous appartient mais elle appartient aussi à nos proches. Aucune action ne s’éclipse devant le jugement moral, il n’y a pas de vie agréable au sens premier du terme, elle doit être pieuse, discipliné et éthique, aimer son camarade sans faire abstraction des velléités de sa vie.
En avant la victoire !
Sébastien Ferreira
L article de Sebastien est tout simplement un acte de foi du nationaliste pour ses racines et ses traditions culturelles et religieuses mais aussi un acte de guerre contre Israël et tout ceux qui voudrait porter atteinte à nos valeurs nos biens nos proches et notre pays. BRAVO pour cet article magistral et criant de vérité