Selon un journal israélien, un descendant des rois de Thaïlande a déclaré que
« Adolphe Hitler était un génie que les banquiers juifs et les sionistes ont détruit. »
Le noble thaïlandais, voulant peut-être bien faire en cette période de préparation aux examens de fin d’année scolaire (?), a également écrit que
« l’Holocauste n’est qu’une invention créée pour faire accepter les mesures juives prises à l’encontre des Palestiniens. »
En retour, l’ambassadeur israélien en Thaïlande, Simon Roded, a émis des protestations, dans une tournure étrange qui relève littéralement du lapsus révélateur. En effet, il a jugé comme
« une honte que quelqu’un d’une telle extraction et avec une telle éducation… puisse propager un mythe que l’histoire a prouvé faux »…
Si un Français avait tenu les propos du second membre de cette phrase, nul doute que leur CRIF aurait obtenu, pour l’emploi des mots « mythe », « prouvé » et « faux » dans une phrase évoquant la prétendue “Shoah”, sa condamnation, à de la prison ferme par le gouvernement d’occupation, pour avoir insinué ce qu’a déclaré l’aristocrate cité plus haut, voire carrément « nié » le fondement du monde moderne.
En décembre dernier, l’ambassade israélienne a Bangkok avait – déjà – poussé de hauts cris, à propos d’une vidéo officielle thaïlandaise incluant, ô crime des crimes, les images d’un élève peignant une représentation d’Adolphe Hitler. Ce court-métrage présentait alors les 12 valeurs centrales qu’un enfant thaïlandais doit apprendre à l’école…
Cette version plus martiale que le « socle commun de connaissances, de compétences et de culture » (sic) des Belkacem et Peillon était probablement apparu beaucoup moins républicain et « laïc » aux officiels hébraïques que celui qui endoctrine les enfants de France à la religion shoahtique dès l’école primaire, avec voyage en Pologne des collégiens, mais évidemment pas ni en Vendée, ni au goulag.