Tard ce 13 février 1945, à Dresde, apparaissent dans le ciel les premiers bombardiers britanniques. Vers 22 heures, les premières bombes s’abattent sur la ville ouverte. La « Florence de l’Elbe » est pourtant dénuée de tout intérêt stratégique. Elle n’abrite ni soldats, ni siège de commandement, ni usine importante. C’est par pure folie criminelle que Winston Churchill l’a désignée comme cible à anéantir.
À l’inverse, la ville abrite des centaines de milliers d’Allemands qui ont fui l’invasion soviétique et ses atrocités indicibles. C’est une véritable opération terroriste à laquelle se livre le premier ministre britannique, à l’image des bombes nucléaires lançaient quelques mois plus tard contre les civils japonais. Le bombardement est mené quelques jours après la rencontre des trois plus grands criminels contre l’humanité que la terre a porté. À Yalta, Staline, Churchill et Roosevelt se sont partagés le monde, pour le plus grand malheur de l’Europe.
En trois vagues, ce sont 1 200 bombardier anglo-américains qui sèment la mort. La ville est rayée de la carte sous 650 000 bombes incendiaires ou à fragmentation, malgré la convention internationale qui devait la protéger. Une convention foulée aux pieds par les futurs vainqueurs de la guerre qui ne reculeront ni devant les meurtres de masse, ni devant les mensonges pour imposer leur nouvel ordre mondial. Pas plus qu’à Brest, Marseille, Berlin, qu’à Katyn ou Hiroshima et Nagasaki, ce crime contre l’humanité ne sera reconnu. Aucun des véritables criminels contre l’humanité impliqués dans ces attaques n’a jamais été jugé. Comme chaque année, plusieurs milliers d’Européens rendront, aujourd’hui et ces prochains jours, hommage aux Européens exterminés à Dresde.
A Dresde, en 1950, des Allemands rendent hommage aux morts de Février, dans une ville encore largement en ruine.
— Tout comme les 2 millions de femmes allemandes violées par les « libérateurs » soviétiques, pas de jugement, pas de tribunal … Pas de coupables !… Les centaines de trains entiers pleins à craquer qui repartaient vers Moscou, chargés de leurs rapines, fruit de leurs pillages … A Nuremberg, les coupables étaient désignés, les sentences connues d’avance. Des assassins et criminels de guerre qui se drapaient de la dignité de « juges », en toute « bonne conscience », au nom des « droits de l’homme » …
Nous ne faisons – seulement – que commencer à peser le poids de cette défaite, non pas seulement celle de l’Allemagne, mais de toute l’Europe et de sa Civilisation !
Raqqa en Syrie est, il me semble, une autre Dresde que nous avons laissé faire.
Pure folie criminelle de Winston Churchill, oui, aux ordres de la communauté machiavélique bien connue; il mérite bien son surnom de « mad dog » donné par M.S King (voir son livre en vente sur Amazon).
Quand je passe devant sa sa statue à Monaco(!) ça donne envie de vomir.
Entre lui et Eisenhower chez les yankees, il y a photo pour la pire abjection, d’ailleurs.
On aurait voulu supprimer, comme à Nuremberg, les témoignages gênants de tous ceux qui auraient pu apporter un éclairage nouveau sur une histoire figée et cadenassée dés fin 1946, dont la moindre remise en cause relève jusqu’à aujourd’hui des tribunaux inquisitoriaux, on ne s’en serait pas pris autrement.
La simple question du financement de l’effort de guerre hitlérien pose problème.
Rappelons que l’on impose toujours le mensonge.
La Vérité se laisse toujours discuter.
Un commencement d’explication ci-après… Histoire Universelle du bien et mal.
Cordialement.
Lien : https://livresdefemmeslivresdeverites.blogspot.com/2017/07/histoire-des-israelites.html