Paul Pignard-Berthet nait le 17 mai 1920, près d’Annecy.
Il passe six ans au Pryténée militaire.
Membre du SOL puis de la Milice Française, il en est instructeur à l’école des cadres d’Uriage.
Il s’engage dans la Waffen-SS, le 18 octobre 1943, avec une dizaine d’autres cadres miliciens. Ses motivations sont communes à la plupart des volontaires de la Sturmbrigade : sauver l’Europe du bolchevisme, éviter la guerre civile, et par attrait de l’ordre social régnant en Allemagne.
Il fait partie de la promotion d’élèves officiers français à Bad Tôlz, du 10 janvier au 4 mars 1944, dont il sort Untersturmführer.
En Galicie, il dirige le premier peloton de la 1ere compagnie, et est aussi adjoint de son chef de compagnie, Noël De Tissot.
Paul Pignard-Berthet est touché par des éclats d’acier, à la mâchoire puis au bras, le 10 août 1944, à deux minutes d’intervalles ! Il est évacué.
Après sa convalescence, il est de retour à la mi-novembre 1944, pour prendre la direction de la Stammkompanie, du Franz. SS-Grenadier-Ausbildungs und Ersatz Bataillon. Il remplace ainsi Jean Kipp, ex-officier issu de la LVF, originaire du Luxembourg.
Sa compagnie est réduite à cent trente hommes, dû au fait que de nombreux hommes ne veulent pas passer à la SS. Il doit ainsi former les recrues, et dénicher les moins fiables idéologiquement.
En janvier 1945, il est envoyé deux semaines à Wildeflecken, pour superviser la formation d’une section d’aspirants officiers.
De retour à Greifenberg, Gustav Krukenberg le charge de limoger les volontaires au moral défaillant. C’est ainsi que, le 16 janvier 1945, l’Ausbildungs kompanie passe de quatre cent cinquante à deux cent cinquante hommes.
Pignard-Berthet prend la tête de cette compagnie, et c’est l’Hstuf. Flamand qui récupère la Stammkompanie.
Le 3 mars 1945, une partie du bataillon de dépôt et d’entrainement, dont Pignard-Berthet et ses hommes, la 1ere compagnie, arrive à Körlin pour compléter les rangs de la division «Charlemagne».
La compagnie Pignard-Berthet est mise à disposition du général Krukenberg. Il est capturé par des partisans polonais, le 10 mars 1945, lors d’une mission donnée par Krukenberg, ayant pour but de secourir des unités allemandes, au sud-ouest de Körlin. Durant cette mission, la plupart des hommes seront dispersés ou tués.
Les partisans polonais lui donnent des effets civils et l’engagent en tant que cuisinier, avant de le remettre aux soviétiques, qui, dans la joie de la victoire proche, lui donnent un laissez-passer.
Quelques kilomètres après, malgré son laissez-passer, les partisans ne laissent pas passer Pignard-Berthet, et ils le dirigent vers un camp de prisonniers en attente de rapatriement. Il est dénoncé par un soldat de la Division Charlemagne, et remis à nouveau aux soviétiques.
Il est interné dans divers camps, dont celui de Tambov, avant d’être rapatrié vers l’ouest, en octobre 1945.
Il est ramené en France pour de bon en juin 1946.
Paul Pignard-Berthet est condamné, en septembre 1946, à cinq ans de travaux forcés, commués à trois ans. Il est libéré à la mi-octobre 1948.
Paul Pignard-Berthet est très actif dans les cercles de vétérans et de la TK 18/33.
Il écris aussi dans le journal nationaliste Militant sous le nom de Paul Viti.
Il décède le 24 mai 2010.
J’ai connu Pignard-Berthet en même temps que son camarade et ami Maurice Comte. C’était tos deux des hommes de premier ordre… et comme il se doit très charmants et d’une discrétion qui commandait le respect. p-B est parti le premier au Walhalla et Comte l’a rapidement rejoint. Ils demeurent éternellement présents dans ma mémoire. Leurs accomplissements d’après-guerre mériteraient d’être connus; ils furent tout le contraire des chiffes-molles qui semblent être la marque de notre effondrement de civilisation.
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Merci à vous de rendre Hommage à Mr Paul Pignard-Berthet.
Longue vie à votre site !
oui d’accord ,j’apprecie beaucoup le site. Mais ceci dit sans agressivité, il faudrait faire un petit effort contre les fautes d’orthographe, svp, merci, car c’est agaçant.
Merci pour ces notices biographiques dont il est fait excellent usage. Poursuivez cette contre-encyclopédie.
Ich habe Paul in Klagenfurt und Bad Reichenhall kennen lernen dürfen. Er war ein vorbildlicher,gerader und ehrliher Charakter und Mann und es ist mir eine Ehre in gekannt zu haben.Ruhe er in Frieden mit allen Kamereden, die für die ehrlichste Sach der Welt gestritten und sich zeitlebens eingesetzt haben.
Im ehrendem Andenken an Paul Pinard-Bertet
Hajo
J’avais un camarade et un chef.
F. Faroux.
J’avais un camarade.