« J’ai été un peu espanté de voir sur BFM l’enterrement de monsieur Charb au son de l’Internationale, le poing levé. Est-ce que vous imaginez l’inverse [sic] ? À la télévision, un enterrement avec des chants nazis [sic], des drapeaux nazis, des anciens [sic] nazis ? Parce que moi, dans mon esprit, je ne fais pas la différence entre l’un et l’autre. C’est pour ça que je suis choqué d’ailleurs »
a déclaré l’étranger juif Louis Aliot, vice-président du Front national, lors d’une galette des Rois (?) organisée par le parti d’extrême droite.
Louis Aliot est rongé par une telle haine du national-socialisme qu’il se sent obligé d’en parler y compris dans des sujets sans aucun rapport. Il a rapidement nuancé son propos d’ailleurs : s’il n’apprécie pas trop le communisme, cela n’a rien à voir avec la haine atavique de son peuple vis-à-vis de l’Europe et de ses représentants qu’il entretient et propage. Louis Aliot a tenu à préciser qu’il n’avait aucun ressentiment sérieux contre les représentants de l’idéologie aux 150 000 000 de morts, l’idéologie la plus criminelle de l’histoire – avec celle que Louis Aliot représente, responsable d’innombrables crimes contre l’humanité en 220 ans, depuis le génocide vendéen jusqu’aux 60 000 Français assassinés par les anglo-américains durant les bombardements, les 100 000 morts de l’épuration, et les 150 000 victimes de la guerre d’Algérie, Français et harkis livrés par leur République au FLN, etc.
« Je n’ai aucune haine particulière contre les communistes [car] aujourd’hui au Front national il y a beaucoup d’anciens communistes »
a-t-il précisé.
Cela rend plus compréhensibles les propos de sa maîtresse Marine Le Pen et son soutien, avec Jean-Luc Mélenchon, au parti marxiste grec SYRIZA, favorable à l’invasion de masse et à la destruction de l’identité grecque.
Louis Aliot a lui-même félicité les extrémistes marxistes de leur victoire. Dans une analyse fulgurante, il décrit comment le gouvernement d’Alexandre Tsipras, qui vient d’annoncer la fin du droit du sang, l’ouverture des frontières, qui s’est prononcé pour la légalisation des drogues et la destruction du mariage, est un « moindre mal ». L’essentiel, c’est de faire croire que SYRIZA et le Front national, alors qu’ils partagent la totalité des dogmes du système, représenteraient une alternative à ce dernier. Surtout, SYRIZA, dont les dirigeants, tels de vulgaires Aliot, multiplient les accusations de « nazisme », ne peut pas être accusé de penchants coupables, révolutionnaires et véritablement antisystème. Il est d’ailleurs remarquable que dans son « analyse », Louis Aliot évoque le PASOK, qui a réalisé moins de 5 %, mais pas le troisième parti de Grèce, les nationalistes de l’Aube dorée…
Avec Alexandre Tsipras, Arthur, Bernard-Henri Lévy, Manuel Valls, Mimie Mathie, Franck Ribery, et tant d’autres, Louis Aliot, comme Marguerite Duras qui, « chaque matin, dans [sa] tête [tuait] Le Pen de toute [sa] force », l’obsédé de la Seconde Guerre mondiale Aliot, assassine-t-il Adolf Hitler dans la sienne* ?
Il s’agirait d’une obsession macabre et pathologique dont nous pourrions bien le rendre partiellement irresponsable tant les siens, en 70 ans de propagande, ont fait de quelques mois de l’histoire – ou d’événements prétendument historiques – un show hollywoodien, républicain et synagogal, permanent et obligatoire.
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* « Je tue Hitler dans mes rêves depuis que j’ai 4 ans » déclarait de son côté la juive Mélanie Laurent.