Des supporteurs du club londonien de Chelsea venus encourager leur équipe de football face au PSG, déjà bien tassés dans le métro parisien, ont refusé de partager cette promiscuité avec un Africain.
Chacun ayant finalement voyagé à son tour, l’histoire s’est terminée pacifiquement, au moyen d’une chanson favorable au chacun chez soi.
Probablement mal informé, le président qatari du club de football parisien, qui n’a très certainement jamais eu l’idée de goûter au « vivre-ensemble » du métropolitain dans le Paris envahi, a évoqué un manque de « fraternité ».
Opération de communication du Qatarien à la tête d’un club de football parisien
Vu sa sensibilité, cet homme au grand cœur souffre probablement que des ouvriers meurent de la chaleur sur les chantiers de la future coupe du monde de football dans son pays, le Qatar : en moyenne, plus d’un ouvrier y meurt tous les deux jours, rien que pour les Népalais, alors que les Qataris, eux, ne travaillent pas…
Pour lui redonner le sourire, proposons donc à cet homme qui ne connaît probablement notre histoire nationale qu’à travers ses niches fiscales favorables aux Qataris, de chercher avec nous la contrepèterie obtenue à partir du mot « métropolitain », pour décrire un ancien maréchal de France, à la fermeté trop déclinante si on se réfère à jeu de mots.
…
« P—– —— trop ».