Depuis plusieurs années, la caste des politiciens européens se trouve confrontée au plus grand défi depuis 1939 : l’invasion de son territoire par des hordes de clandestins. Et ce n’est pas l’illusoire espace Schengen ou encore les fonctionnaires de Frontex qui vont nous protéger de cet envahissement.
Selon Ewa Moncure, porte-parole de Frontex, il y a eu 100 000 clandestins entrés en Europe en 2013 et plus de 274 000 en 2014, chiffres recensés seulement par les gardes-frontières.
Et le reste ? En matière d’invasion des sans-papiers, 2015 sera un cru exceptionnel !
De Stockholm à Kos et de Calais à Varna, chaque Européen assiste à la submersion de son pays, sous l’œil complaisant des gouvernements et avec la bienveillance des ministres concernés.
PERSONNE n’envisage un retour immédiat et manu militari de ces illégaux dans leur pays d’origine, comme c’est le cas dans la grande majorité des États dans le monde, où vous êtes refoulé si vous n’avez pas de visa ou d’autorisation légale de séjour.
Seuls les Occidentaux et les Européens, en particulier, sont assez suicidaires pour accepter que le monde entier s’installe chez eux. Dans le même temps, 15 % de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté, nos budgets sont déficitaires depuis des années et nos dettes publiques s’aggravent de jour en jour.
Parallèlement, le chômage touche de plus en plus de travailleurs, oblige nos récents diplômés à s’exiler et l’on voit dans nos rues de plus en plus de SDF.
En Grèce, on se dirige vers une catastrophe économique, financière et sociale d’une ampleur inégalée au XXIe siècle. En Espagne, au Portugal et en Italie les populations se serrent la ceinture. Ailleurs en Europe, les impôts continuent d’augmenter et le mécontentement gronde.
Mais pendant ce temps, les princes qui nous gouvernent nous parlent d’accueillir encore et toujours plus de hors-la-loi qui ne cherchent ni à s’assimiler, ni à s’intégrer, mais seulement à bénéficier d’aides sociales en tout genre et d’allocations diverses, magnificences dont ils ne bénéficient pas chez eux et qui leur permettent de subsister chez nous sans travailler.
Quand nos enfants sont exclus du monde du travail, quand nos vieillards tirent le diable par la queue pour terminer le mois, et que beaucoup d’Européens blancs acceptent plusieurs « petits boulots » pour se payer à manger, il faut fermer nos frontières, rapatrier les clandestins et renvoyer dans la patrie de leurs aïeux tous les délinquants multirécidivistes qui s’attaquent aux plus faibles de notre société et polluent le quotidien des travailleurs honnêtes.
La grande majorité des illégaux n’arrivent pas sous nos cieux pour chercher du travail, mais sont attirés par notre généreux système social, grâce à la complicité dont les gouvernements de la droite cosmopolite et de la gôche mondialiste font preuve depuis des décennies.
Il est impératif de changer certaines lois et de mettre le holà aux directives « multiculturelles et pluriethniques » des eurocrates doctrinaires et utopistes, tel Frank Timmermans –vice-président de la Commission européenne- et en charge des flux migratoires qui, ce 25 août, déclarait au micro d’Europe n°1 à 8h20 que « l’Europe devait faire preuve d’humanité et recevoir son lot de migrants » et que « les clandestins arrivés dans nos territoires y resteraient durablement ». Ce complice de l’invasion est l’artisan du melting-pot à tous les étages qui verra la disparition de la race blanche. BASTA. Le temps du blablabla est dépassé, celui du grand retour est désormais d’actualité : en bateau, en train ou en avion !
« VOLEM VIURE AL PAIS » ? (Slogan cher aux bobos-écolos-gauchistes des années 1970).
Oui, c’est non seulement un choix, mais aussi un droit, et surtout un devoir.