« Il est nécessaire que les casseurs soient les payeurs ».
Ainsi s’exprimait le 1er ministre Jacques Chaban-Delmas, le 7 avril 1970, dans un entretien télévisé face à Pierre Desgraupes.
Une loi du 4 juin 1970, abrogée en 1982 (sous Mitterrand I) fut remplacée le 2 mars 2010 par la loi n° 2010-201 « sur les violences en bande » et renforçant la lutte contre les violences volontaires de groupes et la protection des personnes chargées d’une mission de service public ou de dégradations ou de destructions de bien. Les délinquants sont passibles d’un an de prison et de 15 000 euros d’amende.
Cet article est distinct de l’association de malfaiteurs et de celui des délits d’attroupements.
Ce à quoi nous avons assisté depuis 2 mois, lors des matchs concernant l’Algérie lors de la coupe du monde de football, à 4 reprises, ainsi qu’aux manifestations des 13, 14 et 19 juillet, répond parfaitement au cadre de cette loi. La prochaine manifestation à Paris est prévue ce mercredi 23 juillet.
« Ouane, tout, tri : retourne dans ton pays ! ».
Durant les soirées foot-algérien, des dizaines de milliers d’immigrés ont clamé leur attachement à leur terre africaine, en saccageant par plaisir les biens publics et privés, lors de manifestations non autorisées. Combien de condamnations ?
Plus curieusement, les médiats n’ont soufflé mot sur le nombre de véhicules brûlés durant la nuit du 14 juillet. Un, deux ? 10, 20 ? Plus de 100 ? Pas de communication de la part des préfectures. Il ne faut pas « stigmatiser »… Mais de Roubaix à Marseille et de Toulouse à Strasbourg, quelques entrefilets dans la presse locale laissent supposer que ces « débordements d’enthousiasme parmi les jeunes » ont été fort nombreux et s’imposent comme une tradition crapuleuse, de la part d’inassimilables.
« À Paris comme à Gaza : Intifada ! »
Orchestrés par le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) du sieur Besancenot, les rassemblements (13 et 19 juillet) en faveur de la Palestine, suscitent réactions, exaspérations, colères et violences urbaines des différentes parties en cause.
Cette situation n’est pas nouvelle et l’importation du désespoir des Palestiniens dans l’Hexagone comme ailleurs en Europe existe depuis plus de 40 ans ! Les régimes laissent faire et condamnent du bout des lèvres les exactions des uns et des autres. Cette indulgence et cette complaisance conduisent inévitablement à encourager les délits pour lesquels les juges prétextent l’« excuse », comme nous en sommes les témoins depuis trop longtemps.
De son côté, le militantisme sioniste est dirigé par des groupes de pression politiquement organisés, autoproclamés, qui imposent ses intérêts, ses désirs et ses choix, en taxant d’« antisémites » tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux. Ou encore de « Palestine on t’enc..le ! », tel le 13 juillet.
Certains prétendent que l’Occident doit défendre l’État d’Israël car situé aux avant-postes du Djihad. Quel Occident ? Celui de Washington à Tokyo et de Ryad à Londres ? Celui des banksters de Wall Street et des eurocrates de Bruxelles ? L’Occident du complexe militaro-industriel yankee et des conglomérats du business agroalimentaire ? Sachons raison garder !
Depuis 40 ans, ni à Paris, ni ailleurs en Europe, aucune organisation juive n’a JAMAIS participé ou soutenu les manifestations ou les rassemblements publics des nationalistes qui, dès 1973, condamnaient « l’immigration sauvage » cause de l’islamisation de nos quartiers. JAMAIS les sympathisants de l’État d’Israël n’ont combattu les politiciens de l’UMPS et la mafia socialo-libéralo-écolo-capitaliste aux manettes à Bruxelles, responsables de l’immigration/colonisation des pays européens ! Soyons clairs : ce ne sont pas nos alliés et encore moins nos défenseurs !
La Reconquista de nos villes et de nos villages ne commence pas à Yad Vashem ou devant le mur des Lamentations, mais dans les rues de Copenhague ou de Birmingham, à Athènes ou à Barbès. Il faut le dire et punir les élus qui sabotent les valeurs de l’Europe blanche.