La monstrueuse fête d’Halloween se substitue de plus en plus en France à la Toussaint et à la Fête des morts. Même dans les villages les plus reculés et les plus paisibles de notre pays, le 31 octobre au soir, des enfants déguisés en sorciers ou en diablotins sonnent à la porte pour quémander, souvent même en s’exemptant des traditionnelles formules de politesse, des bonbons ou des espèces sonnantes et trébuchantes pour célébrer Halloween ! Dans des halls d’immeubles à Paris et en province sont glorieusement affichés des dessins d’enfants à l’occasion d’Halloween, à base de citrouilles et de sorcières. Cela ne choque personne. En revanche si des enfants dessinaient des crucifix, représentaient la Sainte Vierge ou si une crèche était installée dans le hall, alors on crierait à l’atteinte à la laïcité et on ordonnerait sur-le-champ le retrait de ces symboles religieux attentatoires au vivre ensemble et à la sacro-sainte laïcité. Des adultes que nous avons croisés le 31 octobre sur des aires d’autoroute se préparaient eux aussi, tout excités, selon leurs propres aveux, à fêter Halloween.
Il n’était pas a priori évident que cette détestable fête qui nous vient des Etats-Unis d’Amérique devienne si populaire en France, et de manière si rapide. Et pourtant c’est le cas désormais, au grand bonheur des commerçants et des magasins de farces et attrapes, qui augmentent fortement leur chiffre d’affaires. Cela prouve que beaucoup de Français d’aujourd’hui sont profondément déculturés, déchristianisés, dénationalisés, déspiritualisés et qu’il ne faut pas s’illusionner désormais sur les capacités de résistance intellectuelle, mentale et spirituelle de notre peuple. Alors que la France était par excellence le pays de la gastronomie, les fast food, du Mc Do au kébab, n’ont eu hélas aucun mal à s’implanter partout dans notre pays, et il est fréquent de voir des parents, et même des grands-parents, se réjouir d’emmener leurs enfants et petits-enfants au McDo ou au Burger King du coin, au lieu de leur faire découvrir les trésors de la gastronomie française. Alors que notre pays, et singulièrement sa capitale, était, par excellence la terre de l’élégance vestimentaire, on s’afflige de voir aujourd’hui la façon dont la plupart des Français sont accoutrés, le négligé et le débraillé vestimentaires l’emportant à peu près partout. C’est à tout cela aussi que l’on mesure l’agonie d’une civilisation. Qu’il est loin le temps où tout un chacun allait se recueillir dévotement sur les tombes de ses parents, se faisait fort de les fleurir et de prier pour les défunts en ce mois de novembre qui leur est consacré ! Le monde dans lequel nous vivons n’a quasiment plus rien à voir avec celui qui a prévalu si longtemps. Toute piété filiale, tout enracinement ont été arrachés, bannis, éliminés. C’est le monde de l’anarchie et de l’inversion, de l’ego et du chaos.
C’est dans ce contexte d’apostasie et de démission généralisées où la France se défait un peu plus que les prétentions des nouveaux venus dans notre pays se font de plus en plus exorbitantes, comme en témoignent toute une série de déclarations et d’événements récents lourds de menaces pour la paix civile et l’avenir des indigènes français. Le 27 octobre, lors d’un rassemblement parisien contre l’islamophobie, dans une envolée d’une arrogance nickel-chrome, Yassine Bellatar, histrion médiatique de son état, nous avertit ainsi sans ménagement : « Nous ne sommes pas dans un projet d’assimilation… La France doit s’habituer au fait que nous restons [sic]… Mon grand-père a défendu ce pays, mon père l’a bâti et moi je le revendique… Ils ne se rendent pas compte de ce que nous avons préparé, c’est-à-dire nos enfants ». Si l’on comprend bien, nous autres, Français arriérés, nous devons nous faire à l’idée que ces ouvriers de la 25e heure (dont beaucoup sont inscrits sur les rôles du Revenu de solidarité active), « sont chez eux chez nous » comme l’avait très tranquillement déclaré avec sa proverbiale “force tranquille”, Mitterrand, dès son accession au trône républicain. D’ailleurs, joignant aussitôt le geste à la parole, l’homme de Jarnac aggravait alors considérablement les politiques suivies par ses prédécesseurs et régularisait derechef 130 000 étrangers en « situation irrégulière ».
Or, si nous comprenons bien le sieur Bellatar, c’est “nous” qui sommes désormais « chez eux », aujourd’hui tolérés (jusqu’à quand ?), demain parqués dans des bantoustans, voire carrément expulsés et jetés sur les routes de l’exil ! Irons-nous alors recoloniser l’Afrique, Madagascar ou la Cochinchine ? Le Canada acceptera-t-il notre arrivée en masse comme nous le fîmes pour le million et demi de Pieds-Noirs qui avaient eu à choisir entre « la valise et le cercueil » ? Ce Bellatar n’est pas le premier venu. C’est un homme-orchestre. Wikipédia nous le présente comme un humoriste, un producteur radio et un patron de bar. Ses affinités électives nous disent tout sur le personnage. Ainsi, en novembre 2011, il animait à Strasbourg le Festival du Changement aux côtés de François Hollande, d’Emmanuel Zemmour (de l’Unef et ultérieurement conseiller d’Anne Hidalgo à la mairie de Paris) et de Guillaume Ayné, directeur général de SOS Racisme fondé par deux fieffés communautaristes : Harlem Désir et Julien Dray.
Ajoutons que ces gens si arrogants, si sûrs d’eux et dominateurs, ne sont plus seulement installés avec les deux pieds sur la table devant leurs hôtes consternés et penauds, mais, à bien entendre ce magistral malotru, les indésirables, pour finir, ce seraient nous autres. Nous, les autochtones, et non ses petits et ses grands frères qui viennent de cramer, le soir de la fête d’Halloween, une école et un collège à Béziers comme au bon vieux temps des émeutes de 2005 dans la Grande couronne. Dans la nuit du jeudi 31 octobre, une école primaire, un collège et plusieurs véhicules ont en effet été incendiés dans le quartier de la Devèze. Un quartier où l’État a beaucoup investi, en vingt ans près de 300 millions d’euros. Aucun autre quartier de Béziers n’a bénéficié d’autant d’argent. « C’est un échec. L’intégration et tout ce qui tourne autour de la politique de la ville sont un échec. Ils nous ont déjà brûlé des aires de jeux. Une aire de jeux, proche de cette école, a été brûlée 15 fois », dixit Robert Ménard, maire de ladite ville. Quinze fois ! Chiffre qui laisse rêveur lorsqu’on nous bassine avec la pauvreté de ces soi-disant quartiers-ghettos pour “pauvres” grassement subventionnés.
Pire encore, ces allogènes ont incendié à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), dans la nuit du samedi 2 au dimanche 3 novembre, le chapiteau d’un « centre des arts de la scène et du cirque » inauguré en juin 2018 après avoir tendu une embuscade aux forces de police et aux pompiers, au cours de ce que la presse qualifie pudiquement de « nuit de violences urbaines ». Caillassages, tirs de mortiers pyrotechniques, les forces de l’ordre étaient attendues par vingt à trente individus munis de bâtons et bien décidés à en découdre. Ne nous aveuglons pas : ce que d’aucuns appelaient les « territoires perdus de la République » sont en fait devenus d’authentiques zones d’interdiction où islamistes et narcotrafiquants réalisent une convergence des luttes, des causes et des intérêts que nos malheureux concitoyens insoumis, segmentés dans leurs revendications, sont bien incapables de réaliser.
Au reste, à les entendre, ces immigrés ou Français de fraîche date, n’ont-ils pas tous les droits en tant que force nouvelle et prolifique ? De même que la terre appartient à ceux qui la cultivent, la France appartient de plus en plus à ceux qui la mettent en coupe réglée, ce pays laissé en déshérence par ses anciens occupants frappés de caducité et pour beaucoup tombés dans la dépendance du grand âge. Ce pays ne leur revient-il pas de droit, nous susurre-t-on ? Les migrants ne sont-ils pas parfaitement dignes d’éloges, nous dit-on, puisqu’ils fournissent les gros bataillons d’« auxiliaires de vie » procédant à la toilette de personnes hors d’âge que le grand philanthrope Jacques Attali préconisait d’euthanasier passée la soixantaine en raison de leur coût social ? Le grand-père puis le père de M. Bellatar — bis repetita placent — n’ont-ils pas, sans discussion possible, « défendu et bâti » ce pays ? Ce qui, sous-entend que rien (ou pas grand chose) n’existait avant eux. Qu’ils l’ont en quelque sorte inventé et qu’en vertu du principe de causalité, ils en sont à présent les seuls véritables légitimes propriétaires. Qu’en conséquence, ils sont libres, en application d’un postulat du droit romain “usus et abusus”, d’en faire ce que bon leur semble. Brûler les écoles, les voitures, les églises (par exception Notre-Dame serait une chasse gardée de services très spéciaux jouissant d’un monopole quant à l’exercice de la vengeance divine dévolue à certains titulaires héréditaires de cette charge séculière), abattre les croix dans les cimetières, considérer nos dodues oies blanches et nos chères bécasses comme un gibier chassable, tirable et plumable à toute heure et en toutes saisons. Dernier épisode remarquable, le pillage du trésor inestimable de la cathédrale d’Oloron-Sainte-Marie (inscrite au patrimoine mondial) et située dans les Pyrénées-Atlantiques sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. Un édifice catholique attaqué par un commando qui a utilisé une voiture-bélier pour briser l’une des portes latérales de la cathédrale dans la nuit du 4 novembre. Un vase et une statue vandalisés ont été retrouvés abandonnés sur le parvis de la cathédrale.
Toutes choses impensables ou impossibles si le Gaulois, trop peu réfractaire à « la racaille d’en bas », n’était aussi bien cornaqué et ahurie par la « canaille d’en haut », laquelle regarde nos “sauvageons” (expression datée de 1999, due à Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur de Jospin, et ayant fait scandale,) avec les yeux de Chimène et les couvre d’une prodigieuse manne pécuniaire tirée directement de nos escarcelles. À la décharge de nos compatriotes, rappelons que les leucodermes hexagonaux ont été infestés par de terrifiants parasites idéologiques (égalitarisme, universalisme, relativisme, subjectivisme, egolâtrie, etc.) qui les ont privés de tout libre arbitre, de toute véritable autonomie du consentement, de toute raison critique.
Dans un tel cadre, on comprend comment, sous couvert de laïcité, l’islam fournit d’inépuisables troupes d’assaut utiles à éliminer — ou à réduire à la portion très congrue — ce qui subsistait encore d’identité spirituelle de la France d’hier. Outre le métissage, promoteur de la destruction de l’identité génétique des populations autochtones, l’Islam est une imparable machine de guerre contre l’Église, l’Ecclésia, autrement dit, contre une communauté de croyants plus que millénaire et jusqu’à il y a peu spirituellement homogène, résultat du prix fort payé à l’occasion des guerres de religion, commençant en 1562 pour ne prendre véritablement fin qu’en 1598 avec l’édit de Nantes.
M. Bellatar, dans une belle envolée lyrique, nous dit en fin de compte ce qui nous attend… sans coup férir (en douceur mais sûrement), la pression démographique qui va nous submerger : « ce que nous avons préparé, c’est-à-dire nos enfants », ne disant ni plus ni moins que ce que le président algérien, Houari Boumediene, annonçait en 1974, douze ans après l’indépendance : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront là-bas pour le conquérir, et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ». Et en effet le ventre toujours fécond de l’Orient est en passe — si ce n’est déjà fait — d’avoir opéré une colonisation à front renversé. Sans combat, si ce n’est celui du messianisme des droits de l’homme, régnant sans partage depuis 1945, qui, depuis soixante-quinze ans, conduit une guerre inexpiable, culturelle et spirituelle, semant en Europe un extraordinaire chaos intellectuel et moral dont les effets pourraient bien se traduire par des fleuves de sang et d’épouvantables misères. Songeons au sort des chrétientés d’Orient qui n’ont cessé de fondre et de se dissoudre depuis un siècle.
Car, pendant que le pouvoir amuse la galerie avec l’épouvantable « procréation médicalement assistée », l’avortement ayant été érigé en Droit fondamental et sacré (ce qui en dit long sur le degré d’inversion mentale aujourd’hui atteint), qu’arrive le débat sur le droit à mourir dans la dignité (l’euthanasie pour tous), les migrants nantis d’un authentique esprit de conquête prosélyte, ne pratiquent pas, eux, le coïtus interruptus. A la différence de la plupart des Françaises de souche converties hélas à l’interruption volontaire de grossesse, au carriérisme et au vagabondage sexuel, cela pour ne pas être en reste sur une gent masculine préférant de nos jours résolument la « teuf au taf » [wiktionary.org/wiki/taf].
Tout cela est bel et bon, mais si l’on tourne les regards vers le Septentrion, là où la social-démocratie a pris de l’avance sur les pays latins, les populations dans l’incapacité de faire bouger le monolithe idéologique qui les écrase, préfèrent, plutôt que de supporter les nuisances qui accompagnent les transferts de populations, tailler la route, changer de zones, ou carrément de pays, un peu comme ces fermiers afrikaners, plutôt que de se faire assassiner à domicile (ce à quoi les expose une politique prévoyant des expropriations de terres agricoles sans indemnité) émigrant en Géorgie, en Nouvelle-Zélande ou en Australie. La Suède de Greta Thunberg nous offre un avant-goût des comportements qu’on nous contraindra peut-être à adopter d’ici peu. Finies les marches blanches pour les filles violées et assassinées bestialement, finis les oursons en peluche déposés sur les trottoirs entre deux pisses de chien et des chandelles rouges à la flamme vacillante, il deviendra peut-être hélas difficilement évitable de prendre la tangente et de pratiquer la fuite salvatrice.
Mi-octobre la télévision suédoise diffusait un reportage relatif à la crise « existentielle et financière » que traverse Filipstad, ville forte de dix mille âmes. Jim Frölander, responsable de l’intégration au sein de l’administration municipale, déclarait sans ambages : « nous vivons un changement de population. Pensez ce que vous voulez… Mais tel est le constat, c’est ce que nous vivons et c’est ce à quoi nous devons faire face ». En effet, entre 2012 et 2018, 640 Suédois de souche ont quitté Filipstad tandis que 963 allochtones venaient s’y installer. Les partants appartenant aux classes d’âge comprises entre 20 et 64 ans, étaient bien entendu en capacité d’exercer des métiers productifs (d’où une perte nette de recettes fiscales pour une ville devant faire face à une lourde pénurie budgétaire). Pour compléter le tableau, écoutons ce qu’en dit lui-même le maire de Filipstad, Claes Hultgren : « À Filipstad, nous avons environ 750 adultes originaires de Syrie, de Somalie, d’Erythrée, d’Afghanistan et d’Irak… Dans ce groupe de population, le chômage est très élevé, le niveau d’éducation très bas et personne ne peut vivre sans recourir à l’aide sociale. Ces personnes vivent à l’écart du reste de la société et risquent de ne jamais sortir de l’exclusion qui est la leur aujourd’hui. Leur exclusion impacte, par ailleurs, lourdement l’économie locale ».
En un mot, la plupart des nouveaux arrivants ne possèdent pas les qualifications minimales pour accéder au marché du travail ou ils n’y accéderont que très difficilement et dans tous les cas seront à la charge, en partie ou en totalité, de la communauté. Dans ce cas de figure, parfaitement emblématique du projet totalitaire européen, seule l’idéologie messianique du métissage l’emporte. Périssent les peuples et les économies, et pour la Suède le fruit de deux siècles de développement (auparavant, avant la révolution industrielle du XIXe siècle — à partir de 1850 — fondée sur la sidérurgie et le charbon, elle était un pays agraire d’une grande pauvreté), pourvu que les racines et le terreau vital du “nationalisme” honni soient extirpés, à savoir l’homogénéité ethnique, culturelle et confessionnelle. Mais, rétorqueront les chantres du nouvel Eden cosmopolite, un migrant est un humain comme les autres et dispose des mêmes droits que tout un chacun, qu’il soit productif ou non, c’est un “humain” et rien que cela. Face à la tyrannie des universaux négativistes de toutes spécificités et singularités, nous n’avons, nous susurre-t-on, qu’à rendre les armes et à laisser le champ libre aux incapables majeurs, aux parasites et aux assistés à perpétuité.
Nous ferions bien de méditer l’exemple sud-africain. Une terre quasiment vierge défrichée par des laboureurs hollandais. Aujourd’hui ces mêmes fermiers, assassinés et persécutés, en sont réduits à fuir le pays de leurs pères. Au cours des années 1990, les autorités ont recensé quelque 250 000 personnes assassinées. Les données d’Interpol pour l’Afrique du Sud établissent actuellement le nombre d’homicides et de tentatives d’homicides à 48 000 par an, pour 56 millions d’habitants contre 2 000 lorsque la police de l’apartheid était à l’œuvre pour s’interposer entre combattants Xhosas et Zoulous (à titre de comparaison, on recense 700 meurtres annuels en France pour 67 millions d’habitants). Deux meurtres sur cinq visent des Blancs, soit 40 % des victimes, et depuis 1994 ce sont 70 000 Blancs qui ont été lâchement assassinés.
La démocratie raciale est à cet égard un indéniable franc succès. Un clou chasse l’autre. On comprend alors pourquoi Brandon Huntley, âgé de 31 ans, est allé jusqu’à demander officiellement l’asile au Canada après avoir été attaqué la bagatelle de sept fois dans sa ferme en raison de la couleur de sa peau. Au demeurant se faire traiter au quotidien de « chien blanc » est chez nous d’une grande banalité. Hélas, cela commence par des gros mots et cela finit souvent par des coups. L’Institut sud-africain de relations raciales, le South African Institute of Race Relations (notons que les races existent officiellement en République d’Afrique du Sud, même si chez nous, pays des Lumières, le mot a été supprimé de la Constitution), révélait en 2018 qu’entre 1995 et 2005 ce sont 800 000 Sud-Africains blancs, âgés de 25 à 35 ans, qui ont quitté le pays. Chiffres impressionnants si on les rapporte à la population totale dont seulement 10 % des 49 millions de Sud-africains sont de race blanche. Nous savons ce qui nous attend au terme du processus d’expropriation maintenant déjà très engagé. Que Dieu nous préserve de cette tragédie !
Léon CAMUS et
Jérôme BOURBON.
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Editorial du numéro 3398 de RIVAROL daté du 6 novembre 2019.