Sur les cinq jeunes antifa arrêtés et mis en garde à vue dans les locaux du 2e district de police judiciaire, soupçonnés de « tentative d’homicide volontaire sur personne dépositaire de l’autorité publique », seul un reste actuellement en prison. Ces militants de la gauche radicale, connus des services de police, ont agressé deux fonctionnaires de police, sans raison particulière autre que l’envie d’en découdre. Une jeune femme aurait même pu mourir brûlée par les flammes d’un fumigène si elle n’avait pas pu s’extraire à temps du véhicule.
Ces professionnels de la casse en bande organisée, ces « fameux antifas » appartiennent à la nébuleuse gauchiste. Au moins deux des casseurs sont des membres du collectif Action antifasciste Paris-Banlieue, ultra-médiatisé lors de la mort d’un de ses membres, Clément Méric.
Celui restant derrière les barreaux, Antonin, issu de la grande bourgeoisie parisienne, descendant en ligne directe, de l’écrivain catholique Georges Bernanos, ce serait son arrière-grand-père, qui le pauvre doit se retourner dans sa tombe. Le militant d’extrême gauche, était interdit de manifester, jusqu’à ce que le tribunal administratif n’annule cette interdiction.
Preuve que dans leur république lorsque l’on appartient à l’ultra gauche tout est permis contrairement aux Français non-reniés, les Nationalistes. Le tribunal administratif avait considéré que le préfet de police n’avait produit « aucun élément permettant de retenir que le suspect avait personnellement participé à ces dégradations et violences ».
Les premiers responsables de l’impunité dont jouissent ces groupuscules para-terroristes sont les mouvements politiques de gauche de leur république, qui ont toujours été complaisants avec ce bras armé, leur bras armé. Lors de l’affaire Méric, dramatique pour les deux parties mises en cause, les médias et les politiques se sont immédiatement rangés du côté des « antifas », sans respect pour la présomption d’innocence d’Esteban Morillo, lequel, de son côté, a toujours clamé avoir agi en état de légitime défense. En 2013, le fameux Antonin posait en photo lors de l’hommage rendu à son ami décédé au cours d’une bagarre. Faisant la une dans les pages de plusieurs journaux…
Une fois de plus, un énorme bobard politico-médiatique éclate au grand jour. Non, les « antifas » ne sont pas que des « gentils antifascistes » pilotés par leur république, mais bien des petits nervis qui rêvent du Grand Soir en se donnant le frisson dans la rue. Il est temps de les mettre hors d’état de nuire, de prononcer au plus vite leur dissolution. Il est aussi temps de dénoncer les liens profonds que les partis de gauche, PS en tête, entretiennent avec ces idéalistes factieux, longtemps manipulés par leurs aînés pour accomplir la basse besogne contre les Nationalistes.
François Palaffittes