«C’est par ses héros que vit un peuple et non par ses majorités lâches et inertes. »
Corneliu Zelea Codreanu
La guérison ne peut découler que d’un traitement adapté et le traitement ne peut être connu sans le diagnostic juste de la maladie. En ces temps de campagne électorale, c’est cette fièvre urnatoire, symptôme de la maladie démocratique, que les nationalistes doivent refuser !
Aucune élection ne fera surgir les remèdes aux maux que connait la France. Aucune élection ne portera au pouvoir des dirigeants capables et animés de la volonté de remédier au génocide des Européens qui est en cours ; ce génocide par les effets conjugués d’une invasion migratoire massive et de l’avortement généralisé, deux phénomènes organisés et encouragés…. C’est le régime politique et institutionnel lui-même qui s’est volontairement lié voire coupé les mains en inscrivant dans les normes juridiques suprêmes le droit de l’hommisme, l’antiracisme, le laïcisme et les principes de la république maçonnique universelle, « synagogue de Satan ». La conséquence est bien sûr une paralysie organisée de l’État qui profite aux pouvoirs étrangers ou supranationaux et au judaïsme politique pour imposer leurs projets dont, entres autres, la dilution ethnique des peuples d’Europe et la disparition des nations.
C’est d’une révolution profonde dont la France a besoin, et d’abord d’une révolution nationale c’est-à-dire d’une révolution des principes, des fondements et des voies d’action de l’État afin de le remettre sur les rails de la poursuite du bien commun pour la France, du Vrai, du Beau et du Bien ! C’est le régime politique et les institutions en place qu’il faut révolutionner. Mais ça, aucune élection ne l’a jamais permis ; aucune élection n’en en jamais été à l’origine dans l’histoire de notre pays. En ne remontant qu’au long des deux derniers siècles, on s’aperçoit facilement qu’aucune consultation électorale n’a jamais eut pour conséquence un de ces nombreux changements de régime politique et social que la France a connut :
– 1792 et la Première République,
– 1804 et le Premier Empire,
– 1815 et la restauration monarchique,
– 1848 et la Seconde République,
– 1852 et le Second Empire,
– 1875 et la Troisième République,
– 1940 et l’État français,
– 1944-46 et la Quatrième République,
– 1958 et la Cinquième République.
Émeutes, barricades, frondes, révolutions, assassinats, complots, coups d’État ou menaces de coups d’État, guerres civiles ou étrangères, perdues ou gagnées, territoires conquis ou occupés… tels sont les événements à l’origine des changements politiques et institutionnels majeurs en France. Le suffrage n’y est jamais intervenu que postérieurement, pour ratifier et légitimer un nouveau régime, un nouveau pouvoir, une nouvelle équipe, par un plébiscite, une constituante ou un référendum…
Sauf situation politique locale particulière, pour les nationalistes revendiqués, glisser un bulletin dans l’urne ne doit pas devenir un dérivatif, une manière de se donner bonne conscience et de ne pas s’interroger quotidiennement sur son action militante au service de la cause de la France et des Français. Et urner par dépit et sans plan politique réfléchi, c’est participer, accepter et donc légitimer un système politique qui a fait la preuve de sa nuisance et qui nous combat férocement !
Ne soyons pas dupes : refusons l’urne et l’isoloir, totems par lesquels les ennemis de la France tiennent enchaînés les esprits et tenons-nous prêts. Les nationalistes doivent être cette minorité révolutionnaire inaccessible au découragement, prête à saisir les opportunités au moment historique crucial où elles se présenteront. En attendant, travaillons à rallier nos compatriotes autour de notre saine doctrine nationaliste et de nos activités dans la fidélité à notre histoire et notre mémoire, semences de notre inexorable moisson future en vue de rétablir la France !
Tous à Paris le 14 mai pour honorer sainte Jeanne !