À quelques jours de l’ouverture de l’exposition universelle de Milan, la capitale industrielle du nord de l’Italie a été le théâtre de trois attaques terroristes menées par l’extrême gauche.
Incendie criminel à la maison d’édition Ritter
La première attaque a visé les Éditions Ritter, qui se présentent comme spécialisée « dans l’histoire militaire, le fascisme et le national-socialisme, le militaria et les forces spéciales, le néofascisme, le mouvement ultra, la musique alternative et l’ethno-nationalisme ».
Après avoir brisé les fenêtres du sous-sol de l’éditeur, les terroristes ont jeté un engin incendiaire qui s’est déclenché, ravageant les lieux. Outre le symbole de l’attaque de la bibliothèque d’un éditeur diffusant de la culture non conforme, l’attaque est d’autant plus grave qu’elle aurait pu avoir des conséquences dramatiques dans un quartier d’habitation.
L’intervention des pompiers a permis l’évacuation de tout l’immeuble sans que personne ne soit blessé, autrement que pour avoir respiré des fumées. Si le bilan humain est bon, le bilan matériel est dramatique. Les dégâts commis sur les livres et le matériel présent sont très importants. L’éditeur nationaliste a perdu de nombreux ouvrages, mais encore des archives et du matériel divers, de bureaux, etc.
Les bureaux du syndicat UGL touchés
Si les terroristes marxistes n’hésitent pas à s’attaquer aux livres, ils n’hésitent pas non plus à attaquer ceux qui défendent les travailleurs italiens. La seconde attaque a visé en effet la section sécurité civile de l’Unione Generale del Lavoro (UGL, Union générale du travail).
Les racailles ont brisé plusieurs vitres du local, mais les dégâts sont plus légers que lors des deux autres attaques.
Le local de Forza Nuova visé
Pour la troisième fois en trois ans, le local milanais de Forza Nuova (FN, Force nouvelle) a été attaqué également. Les criminels marxistes ont dégradé les lieux après avoir cassé une fenêtre et détruit le grillage qui la protégeait, ont répandu de la peinture et divers engins fumigènes, avant d’y jeter une bombe incendiaire, comme ils l’ont fait pour détruire les livres chez Ritter. Par miracle, la bombe incendiaire n’a pas explosé.
L’incendie aurait pu avoir ici aussi des conséquences dramatiques, puisque le local du mouvement nationaliste se situe dans un immeuble d’habitation. Mais comme ils l’ont montré depuis plusieurs dizaines d’années, les criminels rouges ne reculent pas devant le meurtre d’innocents. 150 000 000 d’êtres humains sont déjà morts du communisme.
« Ce soir à Milan la racaille rouge a rappelé dignement les “gloires” d’avril 1945 : le siège de Forza Nuova Milan Sud, la Bibliothèque Ritter et le siège du syndicat UGL ont été “visités” par les dignes héritiers de ces mêmes partisans »
constate Forza Nuova.
Les terroristes rouges protégés par le régime
Les enquêteurs sont restés plusieurs heures sur place pour relever des preuves. Il est à craindre cependant que, comme lors des précédents attentats, les terroristes marxistes continuent à bénéficier de la protection du régime capitaliste, comme c’est le cas en Grèce où les assassins de Giorgos et Manos ne sont pas même recherchés, comme c’est le cas partout en Europe, où les groupuscules d’extrême gauche agissent comme le bras armé des mondialistes.
À Milan, en plus des attaques contre leur local, Forza Nuova a encore déploré en décembre dernier – Jeune nation y avait une importante délégation – une attaque contre l’établissement qui accueillait une conférence internationale.
Les trois attentats ont été perpétrés alors que Ritter s’apprête à publier un livre sur les crimes des partisans lors de la prétendue « libération » de 1945. Ils interviennent de surcroît la veille du rassemblement en mémoire de Sergio Ramelli, militant nationaliste assassiné par les rouges, ce soir à Milan. Il n’en aura que plus de force.
Comme en 1917 en Russie, en 1936 en Espagne, en 1930 en Allemagne, en 1945 dans toute l’Europe, dans les années 1970 en Italie, les tueurs n’ont pas changé de couleur : ils signent leur crime du rouge dont ils se parent, eux les forces de morts, quand les nationalistes combattent pour la vie et ce qu’il y a grand dans l’homme.
Contre la racaille criminelle, le système qui protège les terroristes, c’est, en échos aux nationalistes de Milan, nous et tous les nationalistes d’Europe qui répondront, à l’appel du nom de Sergio Ramelli : PRÉSENT !