Plusieurs centaines – les rares médiats français à avoir évoqué l’information ont osé parler de quelques « dizaines » – de Finlandais ont bloqué le poste frontière de Tornio, qui fait face à la ville d’Haparanda en Suède, d’où attaquent de nombreux envahisseurs depuis plusieurs semaines. En une seule journée vendredi dernier, 800 prétendus « réfugiés » ont violé la frontière finlandaise à cet endroit. Jamais le pays n’avait connu une telle invasion, même aux pires heures de la révolution russe, pays pourtant frontalier.
« Nous sommes contre l’entrée de tant [d’envahisseurs] en Finlande. Ils ont traversé des pays européens sûrs avant d’arriver en Finlande, ils auraient dû y rester »,
a précisé un manifestant.
Quelques extrémistes pro-invasion, humanitaires subventionnés, élus payés par le contribuable, envahisseurs et Finlandais et Suédois reniés, ont organisé une contre-manifestation qui n’a réuni que quelques personnes.
Le gouvernement finlandais a annoncé sa volonté d’installer 25 000 à 30 000 envahisseurs dans le pays, soit huit fois plus que l’année précédente qui avait déjà été une année record. Tornio est le point de passage le plus important pour les colons. Ces derniers attaquent également, bénéficiant de la passivité coupable des autorités, par les ports Turku et d’Helsinki ainsi que Kemi, où une manifestation s’est également déroulée samedi, comme dans la capitale. Plusieurs centaines d’habitants ont également manifesté contre l’invasion.
Les autorités ont faiblement dénoncé l’existence d’une page Facebook mise en place par les réseaux criminels, expliquant comment envahir le pays, quels papiers avoir sur soi, quel genre de vêtements porter, comment se comporter, etc., et quels mensonges proférer pour abuser des Européens, sur son origine, sa (fausse) région de provenance, etc.
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