Le vendredi 22 mars, s’est tenue à Perpignan une conférence de presse, autour d’Yvan Benedetti, d’un journaliste envoyé par « L’Indépendant », choisi sans aucun doute aux enchères descendantes de la qualité littéraire, pour trahir le titre de son journal, et d’une (grosse) quinzaine de militants chargés d’assurer la sécurité. Il suffit de lire la présentation faite de la réunion pour réaliser la nullité abyssale du pisse-copie de service : « Dénoncé par le Comité de vigilance antifasciste des Pyrénées-Orientales, ce rendez-vous se revendique comme « une étape dans la création des Nationalistes », mouvement d’ultra-droite ne cachant pas ses amitiés révisionistes et antisémites, notamment avec l’essayiste Alain Soral ou l’humoriste Dieudonné. »

En effet, l’événement organisé par Les Nationalistes – Roussillon avait été annoncé depuis longtemps sur les réseaux sociaux ainsi que dans les colonnes de l’hebdomadaire Rivarol. Il avait donc suscité la colère des habituels supplétifs du régime, antifascistes crasseux et autres rebuts de l’ère soviétique réduits à venir défendre la société libérale.

Évidemment, le lieu de la réunion n’avait été dévoilé qu’aux inscrits… et au journaliste. Curieusement, les antifascistes l’ont appris durant la présence de ce dernier, qui s’est aussitôt empressé de partir, sans doute appelé à d’autres activités par sa belle conscience professionnelle. Le service d’ordre fit son œuvre et, après la venue des militants et sympathisants, évidemment conviés à la réunion et non pas à la conférence de presse qui la précédait, l’exposé se tint malgré la rage impuissante de ceux qui veulent empêcher tout changement politique majeur au nom de leurs vieilles lunes internationalistes.

Le lendemain, c’est en banlieue de Toulouse au cours du maintenant traditionnel « Cassoulet Nationaliste » organisé chaque printemps et devant une assistance attentive que Roberto Fiorini, syndicaliste et secrétaire général de Terre & Peuple, puis Yvan Benedetti, chef du mouvement Les Nationalistes, purent exposer leurs analyses sur les causes de la crise des « Gilets Jaunes », les espoirs qu’elle porte et la révolution dont nous, Nationalistes, devons faire en sorte qu’elle accouche.

Il est intéressant de noter que le troupeau grégaire des antifascistes a publié une adresse erronée, envoyant sans doute quelques crasseux perturber de bien innocents convives devant un établissement qui avait jadis accueilli certaines activités de Languedoc Nationaliste !
Moralité : pas de mouchard, pas d’article « au caca fumant » dans la presse locale mais pas d’antifa dans les parages !
Reportage photos
À Perpignan, vendredi 22 mars, sur l’invitation des Nationalistes – Roussillon :
À Toulouse samedi 23 mars, à l’invitation de Languedoc Nationaliste :