Du 15 au 20 février 2018, une forte délégation du journal JEUNE NATION a répondu à l’invitation de nos camarades de l’UNION NATIONALE BULGARE et est venue honorer la mémoire du général Hristo LUKOV dans les rues de SOFIA.
Dès le vendredi après-midi, à l’appel des organisateurs bulgares, ceux d’entre-nous qui étions déjà sur place ont été conviés à retrouver la forte délégation allemande, venue de DORTMUND et menée par nos camarades de « DIE RECHTE », à l’entrée de l’avenue Vitocha, artère commerciale principale de SOFIA, juste à coté du Palais National de la Culture (NDK), afin de défiler, en ordre, devant les passants et les commerçants surpris mais attentifs, pour protester contre les tentatives d’interdiction de la marche, prévue pour le lendemain.
En effet, le général LUKOV, héros de la première guerre mondiale, brillant ministre de la guerre bulgare, auquel son pays doit la résurrection et la modernisation de son armée, réduite en 1919 par les clauses draconiennes du traité de NEUILLY, a été assassiné le 13 FEVRIER 1943 par la communiste apatride Violeta JAKOB, en raison de sa volonté affichée de faire entrer la BULGARIE dans le croisade européenne menée par l’ALLEMAGNE et ses alliés contre le Bolchevisme, alors en cours sur le front de l’est.
Les mêmes forces de dissolution apatrides ont tenté, cette année, alors que la BULGARIE accède à la présidence de l’UNION EUROPEENNE, de faire interdire la marche organisée pour honorer sa mémoire par l’UNION NATIONALE BULGARE.
La mairesse de SOFIA a même pris un arrêté d’interdiction, heureusement annulé par les juridictions bulgares, saisies à la requête de nos vaillants camarades.
Les nationalistes français, en soutien à nos camarades bulgares, avaient eux aussi préparé une action symbolique : en effet, il existe encore, dans au moins deux communes d’Isle de France, des rues portant le nom du sinistre assassin communiste bulgare Georges DIMITROV, zélé bourreau stalinien, qui, rentré en SEPTEMBRE 1944 en BULGARIE dans les wagons de l’occupant soviétique, a mis son pays à feu et à sang, avec la bienveillante cécité des ministres occidentaux, comme l’israélite francophone Romain GARY, alors ambassadeur français à SOFIA.
Quelques jours avant la manifestation bulgares, elles ont été débaptisées et son devenues, par la magie de la nuit, « Rue Hristo LUKOV » en l’honneur du héros du pays du Lion des Balkans.
Cela a fait l’objet d’un montage video, sous-titré en français et en Bulgare, sur le fond musical du vieil hymne de libération « SHUMI MARTSA ».
Après la dispersion, menée de main de maître, avec la précision d’un mouvement d’horlogerie, de la manifestation de protestation spontanée, arrivée au terme de son parcours sur le Boulevard VITOCHA, une soirée de franche camaraderie, organisée le vendredi soir par nos amis bulgares et animée par un chanteur russe, nous a permis de lier de nouveaux contacts avec les nationalistes locaux, mais également avec des camarades venus de l’EUROPE entière, hongrois, croates, allemands, scandinaves.
Nous avons pu, selon notre tradition maintenant bien établie, le samedi matin, visiter le superbe musée militaire de Sofia, où sont exposées les gloires des guerriers de ces confins de l’Europe, de l’antique Thrace aux deux conflits mondiaux du XXème siècle, en passant par les longues et héroïques années de lutte contre le joug ottoman.
Notre seul regret fut de ne pas y trouver à la juste place le portait du Général Hristo LUKOV, restaurateur de l’armée bulgare mutilée par les clauses du traité de NEUILLY, qu’il conduisit à marche forcée à un niveau de technicité et d’efficacité digne de celui de ses voisines européennes, après sa nomination, le 23 novembre 1935, au poste de Ministre de la guerre, qu’il occupa jusqu’au 4 janvier 1938.
Le samedi, en fin d’après-midi, nous pûmes prendre notre place, aux côtés de nos camarades européens, dans cet immense procession illuminée qui traversa SOFIA, en l’honneur du Général LUKOV, retrouvant cette année son parcours traditionnel, depuis le parvis de la superbe Basilique des SAINTS DIMANCHES (Sveta Nedelya) à la maison devant laquelle le héros tomba, le 13 FEVRIER 1943, sous les balles bolcheviques de l’infâme Violeta JACOB (dont la petite-fille est aujourd’hui membre du « BSP », l’organe soviétique d’occupation de la Bulgarie prétendument reconverti en « parti socialiste » lors de l’effondrement del’URSS, Empire du mal).
Cette année, notre immense cortège aux flambeaux défila devant la présidence bulgare, puis le monument aux morts jouxtant l’antique église SAINTE SOPHIE, avant de s’étirer tel un serpent de feu au pied de la monumentale Cathédrale Alexandre NEVSKI.
Sous l’œil plutôt favorable des riverains, nous avons défilé, malgré l’interdiction promulguée par le pouvoir corrompu en place, dans un calme et un ordre impressionnants, reprenant les slogans : « Pour la BULGARIE, la Liberté ou la mort ! » ou encore « Tous les communistes au poteau, au poteau, au poteau ! La BULGARIE suit le chemin national ! » , « BULGARIE libre, sociale et nationale ! », « BULGARIE : réveille-toi ! ».
Nous pûmes, arrivés devant la maison du héros, entendre les discours, traduits en bulgare, de toutes les délégations étrangères, ainsi que de notre représentant, fort applaudi lorsqu’il évoqua l’opération salutaire de changement de nom des plaques de rues française effectuée quelques jours plus tôt, ainsi que ceux des organisateurs de l’hommage tandis que, sanglés dans un impeccable uniforme, nos camarades de l’Organisation Sportive de l’UNION NATIONALE BULGARE montaient une hiératique garde à la Bannière.
Puis, l’immense foule se mit à genoux tandis que les drapeaux s’inclinaient en l’honneur du héros tombé, avant que ne monte vers le ciel nocturne le vieux chant de liberté bulgare, interdit par la dictature communiste mais si souvent entonné par ceux qui allaient tomber pour leur patrie, « Chumi Maritsa », la « Maritsa tumultueuse et sanglante».
Nous pensions à cette anecdote sur la vie de celui dont nous honorions la mémoire, le Général LUKOV : à la fin de la Première guerre mondiale, alors que tout s’effondrait en Bulgarie, que la propagande bolchevique était arrivée à manipuler et corrompre l’esprit d’un certain nombre de soldats, qui désertaient pour aller renverser le gouvernement à Sofia et proclamer la République de Radomir, des hommes comme le Général LUKOV permirent de sauver l’honneur.
Face à une situation interne critique pour la Bulgarie, l’infanterie Serbe s’avançait vers la ville de KYUSTENDIL dans la vallée du mont TSAREV et en profitait pour reprendre l’offensive.
L’armée serbe tirait une pluie d’obus sur les tranchées bulgares presque désertées.
Sur sa position, Hristo LUKOV restait seul avec quatre canons. À ce moment, alors que l’armée serbe s’avançait, les canons bulgares déchaînèrent sur elle un feu terrible et décisif !
L’offensive serbe fut stoppée et le lendemain, le cessez-le-feu entra en vigueur suivant l’armistice signé.
Le colonel serbe TOMIC tint à féliciter les artilleurs bulgares qui avaient arrêté son avance.
Les soldats lui désignèrent LUKOV dont le visage était encore noirci par la fumée.
– « Et les autres ? » demanda TOMIC. – « Il n’y avait que quelques bergers et gardiens de chèvres, qui, voyant LUKOV se démener pour tirer, lui ont servi les obus pendant le feu » répondirent-ils.
Le Serbe rugit de colère d’avoir été dupé, mais se maîtrisa et félicita LUKOV pour son héroïsme.
– « Dans l’histoire de France, poursuivit le colonel TOMIC, il y en a aussi un qui a défendu seul sa patrie : le maréchal NEY. La Bulgarie peut être heureuse d’avoir des officiers tels que lui. »
Voilà. Nos Nations sont millénaires. La France est née en 487 avec le baptême de Clovis et la Bulgarie en 682.
Après un repas qui nous a permis d’initier nos palais français à la gastronomie bulgare, suivi par une nouvelle soirée de franche camaraderie, nous visitâmes, le lendemain dimanche matin, SOFIA, capitale de cette antique nation.
Nous pûmes visiter la cathédrale Aleksander NEVSKI, mais aussi Sveta Nedelya, qui fut en partie détruite par un attentat communiste, au cours duquel 128 personnes perdirent la vie, commandité par Marko FRIEDMAN, chef apatride des bolcheviques locaux, le 16 AVRIL 1925.
Cette année, nous avons aussi visité la chapelle et l’émouvant monument, érigés dans le parc qui entoure le Palais National de la Culture (NDK), en mémoire de tous les ecclésiastiques bulgares tombés en martyrs durant la période de criminelle folie communiste et antichrétienne qui dévasta 40 années durant leur pays.
Nous partageâmes avec des camarades allemands et bulgares un repas du soir tardif dans un restaurant dont nous ignorions qu’il a appartenu, également, à l’histoire héroïque de ce pays, gardien des confins de l’EUROPE, avant de rentrer, les yeux emplis de souvenirs et le cœur d’espoir…
Puissent les âmes des morts héroïques de nos vieilles Patries inspirer le glaive de nos militants.
L’Empereur Napoléon disait que « la victoire appartient à celui qui dort sur le champ de bataille. »
Lui répond en écho cette phrase du Général LUKOV : « Aujourd’hui il est temps pour nous d’agir plutôt que de parler »
C’est pourquoi, au nom de cette fraternité d’armes des nationalistes d’Europe, nous avons convié nos camarades de l’UNION NATIONALE BULGARE à Paris, le samedi 12 MAI 2018, à notre « Forum d’Europe », aux côtés d’orateurs venus de tous nos vieux pays, puis le lendemain, le dimanche 13 MAI, pour occuper la rue le jour de la fête nationale de Sainte Jeanne d’Arc, afin de dire aux maîtres d’aujourd’hui que la fin de leur règne est proche et que rien n’arrêtera l’histoire de nos vieux peuples !
Vive le Général Hristo LUKOV !
Qui Vive ? FRANCE !
Je me demande pourquoi les patriotes brandissent t-ils le drapeau tricolore, inventé par les révolutionnaires Franc-Macs, au lieu d’utiliser le drapeau à fleur de Lys ?