Le matin du 13 novembre, la police a perquisitionné les domiciles de plusieurs membres de la direction du mouvement « Legio Hungaria », ainsi que des candidats, à Budapest et à travers le pays, puis arrêté et interrogé ceux-ci.
Les autorités les soupçonnent d’avoir brûlé des drapeaux LGTB et inscrit des graffiti, lors d’incidents qui ont eu lieu autour du « Club Aurora » (haut lieu de la subversion des mœurs en Hongrie) le 23 octobre, qui ont été qualifiés d’agression en réunion.
Tous nos camarades ont finalement été remis en liberté. Parmi les pièces saisies figurent des téléphones, des supports de données et des vêtements floqués du logo de « Légió Hungária », des cartes de membre, des autocollants de propagande.
Le mouvement juge injustifiée et condamne fermement l’action des autorités, qui auraient pu interroger tous les suspects sur convocation au lieu de troubler la paix de leurs familles à l’aube ou de faire pression sur un grand nombre de personnes pour qu’elles quittent leur travail immédiatement.
Ceci est clairement dû aux pressions lourdes exercées par la presse nationale et internationale et par de nombreux acteurs de la sphère publique.
Quelle que soit l’issue de l’affaire, « Légió Hungária » est en marche et ne se laissera pas intimider !
Légió Hungária
2019.11.13
Lien vers le compte-rendu de l’action au « Club Aurora » sur Legio Hungaria