Témoignage de Maxime :
Camarades, amis,
Je m’appelle Maxime, j’ai 20 ans et cela fait maintenant près de 3 ans que j’appartiens à la grande famille militante du nationalisme. Le 16 décembre 2012, je fondais avec un camarade la structure locale Lorraine Nationaliste. Cette dernière s’est dotée au fil des années de militants remarquables que je tiens à saluer. Malgré les coups durs du système essayant de me faire taire, je dirige toujours cette section aujourd’hui, qui, pour le plus grand malheur de nos ennemis, n’est pas prête d’arrêter son activité.
Malheureusement, je ne peux être présent devant vous en ce jour pour vous faire part de ma dernière condamnation. Je transmets ce compte-rendu au CLAN, qui, avec son équipe professionnelle, m’a apporté son soutien et une grande aide dans cette affaire.
Début 2014, nous commencions tout doucement à réfléchir avec les camarades de Lorraine Nationaliste à une action de choc que nous pourrions réaliser au cours de l’année. Les actions spectaculaires en 2013 des Jeunesses Nationalistes contre les parodies de mariages sodomites et saphiques nous ont beaucoup inspirées. En effet, qu’y a t-il de plus beau, de plus noble dans cette France rongée par le mal et la perversion, que de voir une poignée de courageux Français inaccessibles au découragement risquer les coups, parfois leur vie, leur liberté et la perte de leur travail, pour servir l’idéal d’amour et de grandeur pour lequel nos Pères ont combattu par le passé ?
Nous commencions petit à petit à entendre parler de l’arrivée en Lorraine de kermesses maudites, plus communément appelées « gay pride » ou son euphémisme « marche des fiertés ». Quel déshonneur nous frapperait si nous laissions passer ces pourritures une année de plus sans rien faire ? A l’image des actions lyonnaises, il était grand temps d’agir !
Au cours d’une conversation avec un ami sur le sujet, il me lança « qu’ils aillent brûler en enfer ! », mais oui bien sûr, provocant et radical, nous tenions à ce moment là le thème de notre ACP !
Le 31 mai 2014, un millier de pervers de ce que la dégénérescence comporte de plus rance s’apprêtaient à ramper dans les rues de la cité ducale. Notre antenne Nancéienne avait préparé quelques jours plus tôt le déroulement de l’action.
J’arrivais de Metz ce jour avec la banderole que j’avais peinte avec le plus grand soin pour l’occasion. Un parking aérien surplombait le supermarché du centre Saint-Sébastien, sur la grande place juste en dessous allait se terminer paisiblement l’ignoble défilé financé par la Mairie et des associations de l’Anti-France.
La fête fut gâchée par le déploiement de notre banderole au message sans ambiguïté au sommet du bâtiment : « ALLEZ BRÛLER EN ENFER » frappée de deux croix celtiques et signée Lorraine Nationaliste. Des fumigènes ont été allumés pour être certains d’attirer l’attention des manifestants plus que les malheureux gamins à moitié déshabillés paradant à leurs côtés.
Quelques minutes plus tard, un petit roquet chétif, agent de sécurité du centre commercial a prétendu faire retirer notre message. Il a alors tenté en nous suivant de nous livrer à la police politique en donnant notre position. Les entrées et les sorties du parking étaient bloquées par les CRS qui avaient également dressé des grilles tout autour de la place, espérant nous mettre la main dessus. Pas de chance pour les agents du système, une action préparée n’échoue pas. Les forces dites « de l’ordre » se sont précipitées sur le toit et ont enlevé la banderole que nous avions laissée derrière nous. Deux suspects ont été interpellés à notre place.
Ou comment une poignée de nationalistes portant en eux cette étincelle de volonté inébranlable est capable d’arrêter une manif d’un millier de personnes, de rendre la situation presque incontrôlable pour les chiens du gouvernement, tout en paralysant un centre commercial, véritable synagogue de la société de consommation. La presse locale enchaînait les jours qui suivirent les articles sur le sujet, ce fut pour nous une belle victoire.
Après ces péripéties, quelques mois s’écoulèrent… Un matin, je reçois avec un ami présent à l’action une convocation à l’hôtel de police de Nancy. Je m’y suis rendu le jour et l’heure indiquée. Sur place, deux policiers m’expliquent que je suis soupçonné avec mon camarade d’avoir participé à la mise en place de la banderole jugée « homophobe » lors de la marche anti-famille à Nancy quelques mois plus tôt. On m’annonce ma mise en garde à vue pour menaces de mort en raison de l’orientation sexuelle. Les flics hallucinaient quand je sortis de ma poche un petit papier avec inscrit dessus le numéro de téléphone de notre avocat et ami Pierre-Marie Bonneau, me demandant si j’avais prévu cet enfermement ayant laissé le soin de ne rien avoir sur moi.
J’ai gardé le silence du début à la fin de ma garde à vue, refusant de signer quoi que ce soit, tout en animant les cellules de chants nationalistes, ce que je vous invite à faire systématiquement dans ce cas. Durant l’enquête, toutes les bassesses ont été utilisées : pressions auprès de nos familles, perquisitions à leur domicile, mensonges et vices pour leur extorquer des informations…
Ma garde à vue a été prolongée de 24 heures à l’issue de la première journée, le maximum qui est cependant systématique pour les nationalistes. J’ai été photographié des pieds à la tête, les flics prenant mes empreintes digitales et des prélèvements salivaires. J’ai fini par constater que le type de ma cellule voisine qui était là pour exhibition sexuelle sur mineure allait sortir largement avant moi.
Au terme de mon enfermement dans les geôles de la république, j’ai été présenté devant le procureur et le juge des libertés et de la détention. Ils m’ont annoncé un placement sous contrôle judiciaire jusqu’au procès, prévu le mois suivant. Celui-ci stipulait l’interdiction de m’approcher du local LGBT de Nancy, ayant déposé deux plaintes, avec en prime, l’interdiction formelle de rentrer en contact avec mon camarade, sous menace de prison ferme.
Par cette banderole, nous avons appelé à refuser l’institutionnalisation du fléau de l’homosexualité. Il apparaîtra à quiconque doté d’un minimum de raison que de dire à autrui d’aller brûler en enfer n’est en aucun cas une menace de mort, à la limite un souhait post-mortem… En démocratie, tous les coups leur sont permis pour essayer de nous écraser, en vain !
Dès ma sortie de garde à vue, j’appris par plusieurs journaux que nous avions été retrouvés par nos empreintes ADN laissées sur la banderole, qui ont été, à ma grande stupéfaction, exploitées. Il s’agissait là d’une première en France. J’apercevais de près ce qu’un système à bout de souffle était capable de mettre en œuvre pour empêcher les véritables défenseurs de la nation d’agir.
Faute de temps, le procès a fini par être reporté par notre excellent avocat au 30 janvier 2015, grande date en passant, où nous nous sommes jovialement rendus mon camarade et moi-même.
Nous avons été condamnés à respectivement 8 et 6 mois de prison avec sursis, à la modique somme de 3000€ de dommages et intérêts pour préjudice moral, à 800€ de frais de justice et un stage de citoyenneté à nos frais, puant le républicanisme à plein nez. C’est donc plus de 4000€ que nous avons à débourser. Nous avons interjeté appel le jour même dans l’après-midi.
Fait extrêmement rare lors du procès et méritant d’être rapporté : le quasi-silence du ministère public et de l’avocat de la partie civile devant la brillante plaidoirie de Me Pierre-Marie Bonneau, que toute la salle écoutait avec la plus grande attention. Tous étaient conscients de la nullité de la citation qui aurait dû aboutir à une relaxe totale. Mais le tribunal, ne souhaitant pas dire le droit de peur de relaxer les affreux fascistes, s’est contenté de rendre une énième décision scandaleuse qui, si elle n’est pas annulée en appel, sera une médaille supplémentaire pour tous les soldats politiques qui luttent avec cette foi indéfectible dans laquelle est taillée tout révolutionnaire.
Pour conclure, le juge chargé de notre affaire en première instance, de qui nous attendons toujours les motivations de sa décision, a cédé aux caprices de la petite communauté rose organisée. Une autre plainte a été déposée peu après contre Lorraine Nationaliste pour « menace de mort contre personnes dépositaires de l’autorité publique » par le policier qui était chargé de cette enquête. La section Lorraine avait simplement, lors de notre première convocation au commissariat, appelé sur le réseau social du très gaulois Zuckerberg les flics républicains à refuser d’obéir ou à démissionner ; nous précisions par la suite que dans le cas contraire, on se souviendrait de leur tête le jour où la France se réveillera.
Pour l’anecdote, on a pu apercevoir à la « gay pride » de 2015 à Nancy une banderole où il était inscrit « fachos, machos, réacs, allez brûler en enfer », en réaction à notre ACP de l’année précédente. J’ai déposé plainte pour menaces de mort dans la semaine qui suivit, elle fut immédiatement classée sans suite. Les enquêteurs ne prirent même pas la peine d’interroger les témoins, le deux poids deux mesures fut frappant.
Le système finira par tomber, incapable de résister à l’inexorable auto-pourrissement qui le frappe. L’odeur de mort imminente plane déjà au-dessus de lui. Loin d’être impressionnés par ces attaques individuelles ou collectives, nous continuerons à œuvrer sans relâche à sa destruction.
En vous remerciant pour votre attention, je vous souhaite à tous de passer une agréable fête du CLAN !
QUI VIVE ? FRANCE !
Témoignage de Jérémie :
Bonjour,
Je suis, pour ceux qui ne me connaissent pas, Jérémie, et je laisse un ami parler à ma place, ne pouvant être présent parmi vous.
J’ai 23 ans et bien que fréquentant la mouvance depuis la fin de mon adolescence, je suis réellement militant depuis février 2012, jour où j’ai franchi les porte du VIIIème Congrès de l’Œuvre Française, dont j’allais devenir membre quelques mois plus tard. Je ne le savais pas encore mais j’allais nouer des liens extrêmement forts avec certaines des personnes que j’allais rencontrer ce jour-là et qui deviendront des amis. Ces amis, politiques d’abord, puis personnels, m’ont formé, aidé, instruit et élevé. Le Nationalisme, outre le combat pour un idéal, est pour moi la plus fabuleuse rencontre humaine que j’ai vécue et que bien sûr je continue de vivre.
Le militantisme m’a mené à Lyon après mon diplôme où j’ai pu faire mes « armes » : ACP, actions militantes, manifestations, camaraderie étaient notre quotidien.
Mais un quotidien militant peut parfois conduire devant la justice. Soit dit en passant, la plupart du temps pour des raisons futiles avec des outils qui frisent la traque des opposants aux régimes mortifères des cent dernières années. L’action étant nécessaire, le soutien devient indispensable. Je vais vous livrer ma petite expérience et tenter de vous montrer – ô combien – nous sommes une famille.
Je vais reprendre quelque passages de l’entretien avec Rivarol journal N°3094 du 17/5/13, entretien intitulé ‘Le système gouverne mal, mais se défend bien ». A cette époque j’étais responsable des JN LYON et je reprends cet entretien » à chaud « , ma vision n’ayant pas changé depuis.
« Le mardi 23 avril 2013, j’ai participé à une manifestation contre le « mariage pour tous » sur les quais du Rhône à Lyon. Plusieurs groupes étaient présents ce jour-là parmi lesquels les Jeunesses nationalistes. Un seul mot d’ordre, dire non et toujours non au vote de la loi contre-nature régissant l’union de personnes du même sexe. Alors que nous entonnions nos slogans, nous avons été encerclés puis chargés par les CRS appliquant à la lettre les consignes du préfet Carenco visant à écraser purement et simplement les mouvements défendant la famille traditionnelle. Les CRS n’ont pas hésité à user de violence en nous insultant et en nous provoquant. Ces même CRS qui supportent les jets de projectiles et qui ont ordre de ne pas bouger dans les zones urbaines où il ne fait plus bon vivre pour le peuple de France. Ne faiblissant pas et continuant à entonner nos slogans, nous avons été poussés vers le centre de la rue par les forces de l’ordre parmi lesquelles il y avait visiblement quelques excités qui avaient envie de calmer leurs nerfs car certains nous ont assené de discrets coups de genoux pour des motifs encore inconnus. Survient alors mon interpellation pour des motifs eux aussi inconnus. Peut-être m’ont-ils reconnu puisque j’avais été interpellé une semaine plus tôt, mis en garde à vue pour 48 heures et interrogé avec mes camarades pour avoir déployé une banderole devant la permanence du Parti socialiste de Lyon.
Lors de mon interpellation, les policiers m’ont saisi, amené et maintenu au sol en rouant de coup ceux qui me retenaient. Après une palpation poussée et un contrôle d’identité face à terre, les policiers m’ont assis au sol en attendant les ordres. Ils m’ont ensuite emmené vers un véhicule pour me conduire à l’hôtel de police prétextant un contrôle d’identité qui devait durer au maximum quatre heures. A mon arrivée, on m’a annoncé, à ma plus grande surprise, un placement en garde à vue pour rébellion. Commence alors un nouveau séjour dans les geôles de leur république qui durera jusqu’au jeudi après-midi, puis un procès en comparution immédiate. Il est intéressant de noter qu’à aucun moment je n’ai été menotté lors de mon interpellation, mon transfert et mon placement en garde a vue. Plutôt étonnant pour une prétendue rébellion. Il est aussi intéressant de relever que j’ai été le seul interpellé parmi les jeunesses nationalistes, ce jour-là, alors que je n’ai pas eu une attitude différente de celle des autres manifestants. J’avais en revanche des fonctions et des relations que d’autres n’avaient pas. »
Pendant ma garde à vue, les choses s’organisent à travers le CLAN. Maître Bonneau prend les choses en main et lorsque je patiente dans l’antichambre de la salle d’audience, un policier me dit « Gabriac est là avec tes amis, la salle n’a jamais été aussi blanche ». Il disait vrai : salle comble pour entendre les absurdités judiciaires. Le procureur lui même siégeait, ce qui arrive environ une fois par an. Hasard sans doute… Le policier qui a porté plainte était absent et représenté par son avocat. Sans doute la honte ou la peur de se contredire. A l’issue du procès, le juge renvoie le dossier devant le juge d’instruction, faute de preuve. Je serai soumis à un contrôle judiciaire m’interdisant de paraître à Lyon sous peine de placement en détention préventive. Je dois donc quitter sur le champ la ville où je vis, habite et travaille.
Tout de suite, de nombreux amis me proposent le gîte et le couvert, je serai accueilli au sein de la section Tolbiac de Saint-Étienne, chez mon vieil ami Sébastien que je remercie encore. J’y resterai deux mois, jusqu’à ce que la justice, avec l’aide de Maître Bonneau, m’autorise à retourner dans le VIIIème arrondissement uniquement. Je pouvais alors reprendre mon travail, mais impossible pour moi d’aller dans les autres arrondissements, je suis bloqué dans le VIIIème. S’ensuivent de multiples demandes de levée du contrôle judiciaire, qui aboutiront au printemps 2015, soit 27 mois après le début de l’affaire.
Je le disais tous à l’heure : l’action étant nécessaire, le soutien devient indispensable. Il n’est pas question de faire dans la plainte ou dans la lamentation. Les choses qui doivent arriver arrivent, il est indispensable de mettre en place un réseau. Pour nous c’est le CLAN. Mise en place d’un avocat, communication, aide financière, soutien, le CLAN a un rôle fondamental dans notre combat et, en ces temps de répression, son existence se justifie chaque jour.
Lorsqu’ils touchent à l’un d’entre nous, ils touchent à nous tous. Tel est l’esprit nationaliste et tel est l’esprit du CLAN.
Discours de clôture de Laura Lussaud, présidente du CLAN :
Pour conclure cette journée avant de passer au banquet je voudrais insister sur l’importance d’une communauté militante.
Le CLAN, vous l’avez vu aujourd’hui, est un bouclier qui se lève face à la répression. Mais pour que le bouclier soit solide et efficace il faut que nous soyons capables d’agir ensemble, d’une même voix et d’un même élan. C’est pour cela que la cohésion est importante. Nous sommes certes une association d’entraide mais nous sommes avant tout une communauté militante. Nous avons choisi comme nom « CLAN » et ce n’est pas par hasard.
Nous devons garder à l’esprit en permanence ce qui nous unit : notre idéal. Nous ne sommes pas seulement une bande de copains, nous sommes une famille. Et cela veut dire aussi que nous n’en choisissons pas les membres. Vous connaissez l’adage « on choisit ses amis, on ne choisit pas sa famille ». Ce qui lie une famille c’est le sang et les mariages. Ce qui nous lie nous, c’est notre idéal. Et c’est tout aussi fort que des liens de sang, ça doit l’être.
Pour que le CLAN soit un bouclier nous devons avoir une vraie cohésion, une vraie solidarité. Nous sommes une communauté de vie avant tout. On ne s’apprécie pas tous, car nous avons des caractères et des personnalités différentes bien évidemment. Et c’est Jean-Marie Le Pen qui disait « là où il y a des hommes il y a de l’hommerie ». Mais il est vital que nous agissions comme une famille, c’est-à-dire que lorsque l’un d’entre nous a un genou à terre nous l’aidions. Que ce soit politique, personnel ou financier. Notre association a pour but l’entraide politique et sociale. Cela veut dire que nous gardons en permanence une main tendue à ceux qui en ont besoin. Nous apportons notre aide à ceux qui le demandent parce qu’ils sont de notre CLAN. Cela ne veut pas dire se mêler de leur vie ou se permettre de juger, c’est un point important.
Les enjeux sont trop importants, la France compte sur nous car c’est en nous qu’elle vit. Qui défendra la famille, notre histoire, notre identité, notre race, le vrai catholicisme si nous ne le faisons pas ?
Si nous sommes là c’est pour servir. Nous ne sommes pas là pour nos intérêts propres ou avoir des amis. Nous sommes là pour servir notre Pays, la France. Nous sommes là pour nous battre ensemble pour rétablir la France.
Lorsque nos aïeux se battaient à Verdun ils ne choisissaient pas les camarades qui étaient sur leur gauche ou sur leur droite. Pourtant ils chargeaient ensemble, prenaient les balles et les bombes ensemble et célébraient leur victoire ensemble.
De même nous voulons avancer ensemble. Cela demande de la bonne volonté de chacun, des sacrifices et parfois un travail sur soi. Mais nous devons faire de notre mieux. Cela ne veut pas dire tout sacrifier à la cause, mais donner ce que l’on peut. Chacun à hauteur de ses moyens. Chacun a sa place dans notre CLAN, nous avons tous quelque chose à apporter. Et nous devons nous concentrer sur cela pour avancer : ce que chacun peut apporter au combat même si c’est peu. Parce que la somme de chaque effort fera la différence demain.
Demain une aube nouvelle viendra. Ou alors nous périrons. Mais cela dépend de nous et de la grâce de Dieu. Les hommes combattent et Dieu donnera la victoire disait Jeanne d’Arc.
Au CLAN nous sommes au combat ! Parce que nous savons que nous avons raison. Parce que notre âme brûle. Parce que nous sommes porteurs d’Espérance. Il y a deux sortes de personnes : les lions et les moutons. Nous ne croyons pas en cette fausse démocratie, au libéralisme ou au mondialisme. Nous savons que ce sont les minorités qui font l’histoire. Nous voulons être des Lions. Nous devons être des Lions. Pas pour nous, mais pour la France.
Au nom de notre Terre, au nom de nos aïeux, de leur sang versé, des larmes de leurs mères et de leurs femmes. Au nom de notre avenir, de nos enfants. Nous sommes la France. Et aucun gouvernement illégitime n’a le droit de prétendre le contraire. Aucun coup ne nous fera flancher ou reculer parce que nous servons un idéal qui nous dépasse. Nous ne devons pas les craindre, c’est à eux de nous craindre. Et s’il y a tant de répression, s’ils tentent de nous faire taire c’est qu’ils savent que nous ne sommes pas des moutons et que c’est nous qui les mettrons à bas.
Ce système s’effondre un peu plus chaque jour. Il s’effondre tout seul parce qu’il n’est pas viable. Les Français s’en rendent bien compte. Nous ne savons ni quand ni comment mais nous savons que le moment approche. Celui de la Révolution. Demain nous vivrons des moments décisifs. A nous d’être à la hauteurs pour être les lions qui amènerons et gagnerons la Révolution Nationale. Demain nous appartient si nous l’avons décidé. Alors hauts les cœurs, restons soudés. Gardons cet esprit de CLAN. Qu’ils le sachent, s’ils touchent à l’un d’entre nous, ils touchent à nous tous.
En avant la Victoire.
Qui vive ? France !
SOURCE : CLAN.