Les Doumbia font partie de ces innombrables étrangers importés par la République et qui utilisent la France comme un immense terrain de jeu, avec la complicité active des gouvernements. Ce phénomène particulièrement a connu une particulière accentuation sous le gouvernement Valls-Taubira, sous la double influence de l’idéologie procriminelle et antifrançaise de Christiane Taubira comme de son incompétence.
Actifs depuis les années 1980, les Doumbia ont bénéficié de nombreuses complicités et surtout de la tolérance de leur République, qui a imposé cette famille à la France. Menés par le frère aîné Kassoum Doumbia, ils ont enchaîné les agressions en tout genre durant trente ans, bénéficiant à plusieurs reprises de jugements favorables, grâce aux pressions, menaces – y compris contre des magistrats – et agressions contre des témoins. Grâce à ces méthodes, les Français vont devoir payer 20 000 euros à Kassoum Doumbia pour avoir été incarcéré dans une affaire de meurtre. Il avait été libéré après que les quatre témoins qui l’avaient identifié et finalement préféré changer d’avis.
« Dans une autre affaire, une de ses compagnes se présente devant la juge d’instruction qui doit l’interroger en décembre 2009, coiffée d’une perruque masquant une oreillette branchée à un téléphone connecté à celui de Kassoum Doumbia qui, depuis sa cellule, dicte les réponses à la jeune femme.
Peu avant, inquiété pour blanchiment lié au trafic de stupéfiants, le caïd francilien fait établir une fausse reconnaissance de dette par un ami canadien pour justifier de ses 200 000 euros en liquide. M. Doumbia poussant le raffinement jusqu’à payer l’avocat et l’huissier censés représenter les intérêts de son créancier qui, afin de rendre plus crédible son histoire, l’assigne pour non-paiement de sa dette… »
rapporte Le Monde, qui énumère les affaires de meurtres, de drogues, subornations de témoins, agressions, menaces, commises tant par le frère aîné que par Adams, Mohamed ou Ismaïl. À eux tous, ils ont été condamnés à vingt-deux reprises.
L’un des frères Doumbia, Ismaïl, 28 ans, condamné à de multiples reprises, va pourtant être libéré.
Il avait été condamné il y a un an pour avoir participé à un crime commis en bande organisée, sous la direction de son aîné. Ils avaient enlevé un agent de change, l’avaient séquestré et torturé : aspergé d’essence, la victime avait été menacée d’être brûlée vive avant de recevoir, entre autres, deux balles dans la main et dans le dos. Les criminels afro-maghrébins (la bande était constituée, outre les trois frères Kassoum, Ismaïl et Kader, par Samuel El Haik, Mohamed Haddaji et Jacinto da Silva) n’avaient écopé que de peines légères au vu de la gravité des faits. Malgré les réquisitions, la « justice » avait particulièrement épargné Ismaïl Doumbia.
Sa demande de libération fait suite à l’un de ses « couacs » coutumiers de l’administration de Christiane Taubira, des erreurs qui ont pour point commun de toujours bénéficier aux criminels et de toujours léser les honnêtes gens. La situation est d’autant plus scandaleuse dans ce cas que l’« erreur » a probablement été commise volontairement, avec la complicité d’une surveillante de prison. Cette dernière, Nelly D., n’aurait pas transféré, intentionnellement, une demande de remise en liberté formulée par Ismaïl Doumbia le 7 mai 2014.
Dans une note, la directrice adjointe de la prison de Fresnes a précisé que Nelly D. avait été révoquée « en raison de la relation inappropriée qu’elle a entretenue dans l’exercice de ses fonctions », en l’occurrence Kassoum Doumbia. En garde à vue, elle a évoqué une confusion « au niveau des sentiments » avec le criminel africain, mais a nié être responsable de cette « erreur ».
Suite à cette combine, l’avocat d’Ismaïl Doumbia a fait savoir que son client devait être libéré, comme tout prisonnier dont la demande n’a pas été examinée dans les deux mois. La cour d’appel de Paris va statuer ce mardi.
« Il y a eu un loupé. Pour se couvrir, l’administration pénitentiaire tente maintenant de faire porter le chapeau à la famille de mon client. On jette des suspicions sans aucun élément de preuve. Cela se résume à un procès d’intention. »
a déclaré l’avocat de la famille Doumbia, dont il est nécessaire de préciser le nom, Me Joseph Cohen-Sabban.
Thibault de Montbrial, l’avocat de l’une de victimes de cette famille de criminels africains a au contraire rappelé le danger que représentait cette famille pour la France et les Français.
« La famille Doumbia n’a aucune limite ni dans la violence, ni dans les manoeuvres les plus audacieuses pour échapper à la justice. Ils font peur aux témoins comme à leurs victimes. Il faut que cela cesse. »
Les politiciens fond bien pire et sans allé en prison comettre de multiples meurtres en France et à l’étranger commouflet en accident ou attentats Je pense que si les Doumbia et d’autre trouvent le moyen de sans sortir ba t’en mieux pour eux et il faut savoir que beaucoup d’histoire de banditisme sont enjolivées et que le vérité n’est pas si morobolantes !!!!!!!!!
Que de fautes….
Toi être dans le même sac… Toi sera rasé à la Libération.
Mort aux vaches